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Chili: le Parlement approuve une réforme du système de retraite

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Le Chili va réformer le système de retraite privé. (© KEYSTONE/EPA/ELVIS GONZALEZ)

Le Parlement chilien a approuvé mercredi un projet de loi, impulsé par le président de gauche Gabriel Boric, visant à réformer le système de retraite privé hérité de la dictature du général Augusto Pinochet (1973-1990).

Le texte, adopté lundi par le Sénat, a été approuvé à la Chambre des députés avec 110 voix pour et 38 contre. Jusqu'à présent, seuls les travailleurs finançaient leur retraite, sans contribution de leur employeur.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le Kremlin veut parler sécurité européenne et pas juste d'Ukraine

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La rencontre à Ryad des négociateurs russes et américains marque une première à ce niveau et dans un tel format depuis l'invasion russe de l'Ukraine le 24 février 2022. (© KEYSTONE/AP/Evelyn Hockstein)

Le Kremlin a signifié que le règlement de la guerre en Ukraine était indissociable de la réorganisation de l'architecture sécuritaire européenne. Cela au moment où s'ouvrent à Ryad des pourparlers russo-américains, auxquels ni l'Europe ni Kiev n'ont été conviés.

La Russie réclame de longue date un retrait des forces de l'Otan d'Europe orientale, car elle considère l'Alliance comme une menace existentielle. Elle avait notamment utilisé cet argument pour justifier son invasion de l'Ukraine en 2022.

L'administration du président Donald Trump s'est montrée, elle, très critique de ses alliés européens et moins disposée à soutenir l'Ukraine.

La rencontre mardi à Ryad des négociateurs russes et américains, menés par les chefs de la diplomatie des deux pays, Sergueï Lavrov et Marco Rubio, marque une première à ce niveau et dans un tel format depuis l'invasion russe de l'Ukraine le 24 février 2022.

Elle intervient après l'appel téléphonique la semaine dernière entre Donald Trump et Vladimir Poutine, qui a fait voler en éclats l'union occidentale et la stratégie d'isolement visant le président russe.

Relancer les relations

Le président américain a présenté cette conversation comme étant le début de pourparlers de paix pour l'Ukraine. Moscou a signifié que cette guerre ne pouvait être arrêtée sans un accord plus large, et vise la relance des relations russo-américaines dans leur ensemble.

"Un règlement à long terme, un règlement viable (en Ukraine) est impossible sans un examen global des questions de sécurité sur le continent", a encore indiqué mardi le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, en réponse à une question de l'AFP lors de son briefing quotidien.

La Russie avait réclamé fin 2021 de redessiner l'architecture de la sécurité européenne et, de facto, un retrait des forces de l'Otan d'Europe orientale, ainsi qu'un engagement occidental à ne pas élargir l'Alliance vers l'Est. Peu après avoir vu ces revendications rejetées, Moscou a déclenché son attaque contre l'Ukraine.

A terme, d'autres sujets clés sur lesquels Washington et Moscou coopéraient avant l'invasion pourront se retrouver sur la table : désarmement nucléaire, forces conventionnelles en Europe, nucléaire iranien, conflit israélo-palestinien...

Ambiance tendue

Si Washington et Moscou ont renoué le dialogue, l'ambiance au début de la rencontre à Ryad, peu avant 10h30 locales dans un centre de conférences, le palais Diriyah, était clairement tendue.

Assis autour d'une grande table en acajou, les visages fermés, le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio et son homologue russe Sergueï Lavrov se faisaient face.

Le conseiller à la Sécurité nationale du président américain, Mike Waltz, l'envoyé spécial pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, et Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique de Vladimir Poutine, étaient aussi présents.

Les deux camps se sont efforcés de minimiser les attentes s'agissant de cette première rencontre. Celle-ci marque néanmoins un rebondissement spectaculaire que les Européens et les Ukrainiens redoutent.

La partie américaine a insisté sur le fait que Washington souhaitait voir avant toute chose "si (les Russes) sont sérieux" dans leur volonté de renouer le dialogue.

Côté européen, les dirigeants cherchent les moyens de rester dans le jeu. Le président français Emmanuel Macron a convié à la hâte lundi à Paris des dirigeants de pays-clefs pour tenter d'afficher une posture commune sur la sécurité européenne. Mais aucune décision concrète n'est sortie de la réunion.

Ravie des tensions américano-européennes, la Russie a exclu une participation européenne à des pourparlers, car selon M. Lavrov, l'Europe veut la poursuite de la guerre.

De son côté, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a dit mardi sur X que l'UE voulait "faire équipe" avec les Etats-Unis pour une paix "juste et durable" en Ukraine, après une rencontre avec l'envoyé spécial du président américain, Keith Kellogg. Ce dernier est attendu à Varsovie puis à Kiev cette semaine.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui se trouve en Turquie mardi et est attendu mercredi en Arabie saoudite, a déclaré n'avoir même pas été informé de la rencontre de Ryad.

Sommet Trump-Poutine ?

Il a donc martelé lundi que l'Ukraine "ne reconnaîtrait" aucun accord conclu sans elle, et jugé qu'Ukrainiens et Occidentaux devaient avoir une position commune avant de parler avec le Kremlin.

Washington et Moscou ont dit que Kiev participerait aux pourparlers au moment voulu, et le porte-parole du Kremlin a assuré mardi que Vladimir Poutine était "si nécessaire (...) prêt à négocier avec Zelensky".

Il a également indiqué que le Kremlin ne s'opposait pas à une entrée de l'Ukraine dans l'UE, mais s'opposait à son adhésion à l'Otan.

Enfin, la Russie, visée par de lourdes sanctions occidentales, a dit mardi s'attendre à "des progrès" rapides, "dans les deux-trois mois", dans le volet économique des pourparlers avec les Etats-Unis.

Enfin, Russes et Américains doivent discuter d'un éventuel futur sommet Trump-Poutine, qui selon le président américain pourrait avoir lieu aussi en Arabie saoudite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Venezuela: l'opposant Gonzalez exclut une intervention américaine

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L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez admet ne pas voir de changement arriver pour le moment qui lui permetrtait d'être investi comme président de son pays. (© KEYSTONE/EPA/SALVATORE DI NOLFI)

L'opposant vénézuélien Edmundo Gonzalez, considéré comme le vainqueur de la présidentielle par de nombreux Etats, estime que Nicolas Maduro est "faible". Mardi à Genève, le Prix Sakharov 2024 a dit que la solution ne viendra pas d'une intervention américaine.

Quand le régime de Nicolas Maduro "recourt à la force, c'est parce qu'il n'a pas raison", a affirmé M. Gonzalez à des journalistes suisses en marge du Sommet de Genève pour les droits humains et la démocratie. "Ils ne sont pas plus forts qu'avant, ils sont plus faibles même", dit-il.

Appelant à nouveau le chef de l'Etat à honorer le résultat du scrutin de juillet dernier, il admet qu'il ne "voit pas" de changement arriver pour le moment. Mais "nous devons trouver la solution nous-mêmes au problème. Il n'est pas question de demander aux Etats-Unis qu'ils interviennent", insiste M. Gonzalez.

Nicolas Maduro avait été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil électoral, qui n'a pas rendu publics les procès-verbaux. L'opposition dit que M. Gonzalez a obtenu plus de 67% des voix.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'ONU cible des exécutions sommaires d'enfants par le M23 à Bukavu

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Les rebelles du M23 ont perpétré des exécutions sommaires d'enfants dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC) (archives). (© KEYSTONE/AP/Brian Inganga)

Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a vérifié des cas d'exécutions sommaires d'enfants la semaine dernière à Bukavu, dans l'Est de la République démocratique du Congo (RDC). La situation "se détériore gravement", a dit mardi une porte-parole à Genève.

L'ONU sait que des enfants sont en possession d'armes, a-t-elle affirmé à la presse. "Nous n'avons pas de chiffre total" des exécutions sommaires tant la situation est volatile, a-t-elle ajouté. Elle mentionne trois enfants tués dimanche dernier à Bukavu alors qu'ils collectaient des armes dans des sites abandonnés par l'armée congolaise. "Ils ont reçu l'ordre de déposer leurs armes. Ils ont refusé et ils ont été tués", a ajouté la porte-parole.

Le Haut-Commissariat appelle le Rwanda et le M23 à honorer les droits humains et le droit international humanitaire (DIH). Il a documenté aussi des violations, des violences sexuelles ou encore des menaces.

Il a reçu des indications d'arrestations et de détentions arbitraires. De même que des accusations de retours forcés de jeunes Congolais fuyant les violences dans des pays voisins.

L'ONU a également reçu des demandes de protection de victimes et de témoins de violations des droits humains après des mutineries il y a quelques jours depuis plusieurs prisons dans lesquelles des détenus se sont échappés. Le haut commissaire Volker Türk demande au Rwanda et au M23 de garantir la protection de tous les individus.

De son côté, le Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR) a précisé qu'entre 10'000 et 15'000 personnes ont rejoint le Burundi ces derniers jours, surtout depuis le Sud-Kivu. Dans l'Est de la RDC, environ 350'000 sont sans toit.

Les violences des dernières semaines qui ont abouti à la prise de Goma par les rebelles M23 ont fait environ 3000 victimes au total, selon l'ONU et les autorités congolaises. Des milliers de personnes ont elles été blessées.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Baidu a vu son chiffre d'affaires baisser en 2024

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Le chinois Baidu se diversifie depuis plusieurs années dans l'informatique en nuage, les voitures autonomes et l'intelligence artificielle. (archives) (© KEYSTONE/AP/MARK SCHIEFELBEIN)

Le mastodonte chinois de l'internet Baidu a annoncé mardi une baisse de son chiffre d'affaires en 2024, sur fond de forte concurrence locale. Le groupe veut renforcer sa présence dans l'intelligence artificielle.

L'entreprise, basée à Pékin, exploite notamment le principal moteur de recherche chinois. C'est un acteur-clé du secteur chinois des nouvelles technologies, aux côtés de rivaux tels que Tencent (jeux vidéo, internet) et Alibaba (e-commerce).

Baidu tire traditionnellement une grande partie de ses revenus de la publicité, un créneau exposé au niveau de confiance des consommateurs. Il se diversifie depuis plusieurs années dans l'informatique en nuage, les voitures autonomes et l'intelligence artificielle (IA).

Le chiffre d'affaires du groupe pour 2024 a été de 133,13 milliards de yuans (16,5 milliards de francs), en baisse de 1% par rapport à l'année précédente, a précisé l'entreprise dans un communiqué. Sur le seul quatrième trimestre, la baisse était de 2% en glissement annuel.

Année charnière

"Malgré les pressions à court terme, nous sommes convaincus que nos investissements stratégiques dans l'IA permettront de réaliser des progrès significatifs et de favoriser notre réussite sur le long terme", a estimé He Junjie, le directeur financier par intérim de Baidu, cité dans le communiqué. Sur une note plus positive, Baidu a vu son bénéfice net au 4e trimestre bondir de 100% sur un an à 5,19 milliards de yuans.

L'entreprise a également enregistré une hausse de 17% sur un an de son bénéfice net annuel à 23,76 milliards de yuans. 2024 a été "une année charnière dans notre transformation d'une entreprise centrée sur internet à une entreprise axée en priorité sur l'IA", a affirmé Robin Li, cofondateur et directeur général de Baidu, cité dans le communiqué.

Le modèle d'intelligence artificielle de Baidu, Ernie Bot, faisait office de principale alternative à ChatGPT, bloqué en Chine, avant l'irruption il y a quelques semaines sur le marché de son rival chinois DeepSeek. Les actions de Baidu à Hong Kong ont chuté d'environ 7% lundi, son PDG n'ayant pas été aperçu lors d'une rare réunion entre le président chinois Xi Jinping et des chefs d'entreprises privées à Pékin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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