International
Biden accueilli en "grand ami" au Canada, accord sur l'immigration
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Joe Biden a été accueilli vendredi en "grand ami" au Canada pour sa première visite officielle dans le pays. Elle a débouché sur un accord concernant l'immigration irrégulière, un sujet délicat du moment entre les deux voisins et alliés.
"C'est un grand plaisir d'avoir un grand ami ici", a dit le Premier ministre canadien Justin Trudeau à l'entame d'une réunion bilatérale dans l'enceinte du Parlement à Ottawa.
Le président américain a ensuite été plusieurs fois applaudi lors de son discours devant les parlementaires canadiens, en particulier quand il a salué l'engagement des deux pays à soutenir l'Ukraine.
Les Etats-Unis et le Canada, a-t-il dit, sont "deux peuples" qui partagent "un même coeur". Et "en cas de désaccord", ils s'attachent à résoudre leurs problèmes "avec amitié et bonne volonté".
Le démocrate de 80 ans, entre deux plaisanteries sur le hockey et sur l'échec de ses quelques années d'apprentissage du français, a d'ailleurs annoncé un accord sur l'un de ces points de friction: l'immigration irrégulière.
Washington et Ottawa vont "travailler ensemble pour décourager les traversées illégales" de leur frontière partagée, un sujet très débattu actuellement dans la sphère politique canadienne.
Le président américain a aussi "salué" un engagement du Canada à accueillir de manière régulière 15'000 migrants supplémentaires venus de tout le continent américain.
A l'arrière-plan de cette annonce, la question du "chemin Roxham": une voie de fortune par laquelle environ 40'000 migrants sont arrivés depuis les Etats-Unis au Québec l'an dernier, en contournant les points d'entrée officiels.
Organisations inquiètes
Sa fermeture inquiète déjà les organisations d'aide aux migrants. "L'impact sur des réfugiés en situation de danger extrême est dévastateur. Le résultat sera de pousser les gens soit à tenter des traversées encore plus dangereuses dans des zones reculées, soit de les pousser vers des passeurs", a déploré Julia Sande, d'Amnesty International, auprès de l'AFP.
Les nombreuses arrivées l'an dernier ont provoqué un vif débat politique au Canada. Le sujet est également d'actualité aux Etats-Unis, dans de tout autres proportions.
En janvier, les autorités américaines ont procédé à plus de 128.000 arrestations pour des tentatives d'entrée illégale sur le territoire américain depuis le Mexique, et l'opposition de droite ne manque pas une occasion d'accuser Joe Biden de laxisme en la matière.
Haïti
Un autre sujet de discussion a été Haïti, en proie à une violence extrême et à une crise humanitaire grave.
Une source gouvernementale canadienne a dit à l'AFP attendre une annonce "de financement importante" vendredi, peut-être pendant la conférence de presse à venir de Joe Biden et Justin Trudeau, portant sur de l'aide humanitaire et la formation des forces de l'ordre haïtiennes.
Les Etats-Unis verraient par ailleurs d'un bon oeil que le Canada joue un rôle moteur dans l'envoi d'une force internationale vers le pays des Caraïbes.
Les dépenses militaires sont également en débat, à l'heure où Washington pousse pour un effort des membres de l'Otan, sur fond de guerre en Ukraine et de tensions montantes avec la Chine.
Ottawa est loin de consacrer 2% de son produit intérieur brut à son budget de la défense, le seuil fixé pour les pays de l'alliance transatlantique.
Les Etats-Unis souhaitent par ailleurs une modernisation du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (Norad).
Enjeux économiques
Enfin, l'économie est un sujet incontournable pour les deux voisins.
Justin Trudeau, dont le pays est le premier client des Etats-Unis en matière de commerce extérieur, a déclaré vendredi devant le Parlement: "On va continuer de travailler ensemble pour créer des emplois, bâtir des économies et des sociétés plus saines et plus durables."
La source gouvernementale canadienne a indiqué s'attendre lors de la conférence de presse commune à des annonces sur les semi-conducteurs et sur le renforcement des chaînes d'approvisionnement en Amérique du Nord.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Turquie: la boîte noire de l'avion libyen accidenté retrouvée
La boîte noire de l'avion qui s'est écrasé mardi soir près d'Ankara, tuant tous ses passagers dont le chef d'état-major libyen et ses conseillers, a été retrouvée. C'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre turc de l'Intérieur Ali Yerlikaya.
"L'enregistreur vocal et la boîte noire de l'appareil ont été retrouvés (...) Les autorités compétentes ont entamé leur examen", a déclaré le ministre qui s'est rendu sur le site de l'accident. La boîte noire sera analysée dans un pays neutre, a annoncé sur X le ministre turc des Transports, Abdulkadir Uraloglu.
Les données de ces appareils permettent souvent de déterminer la cause de l'accident de l'avion. Les résultats de l'analyse seront partagés "avec notre nation et le monde entier avec une totale transparence", a-t-il ajouté.
En revanche, les dépouilles des huit personnes qui se trouvaient à bord sont toujours sur le site du crash où les débris sont éparpillés sur 3 km2, a précisé le ministre de l'Intérieur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante". L'armée israélienne a été impliquée récemment sur plusieurs fronts régionaux.
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté. Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza. Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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Israël va investir 110 milliards dans son industrie d'armement
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a annoncé mercredi que son pays allait dépenser 110 milliards de dollars en dix ans pour construire une "industrie d'armement indépendante".
A l'occasion d'une cérémonie sur une base aérienne militaire dans le sud d'Israël, M. Netanyahu a dit avoir "approuvé un total de 350 milliards de shekels (110 milliards de dollars) pour construire au cours de la prochaine décennie une industrie d'armement indépendante" pour Israël.
"Nous voulons réduire notre dépendance, même vis-à-vis de nos amis", a-t-il ajouté.
Israël est le premier récipiendaire de l'aide militaire américaine et se fournit également auprès de plusieurs pays européens.
Mais le pays est aussi confronté à des restrictions imposées par ses partenaires concernant les livraisons d'armes, en raison de la guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque sanglante du 7 octobre 2023 perpétrée par le mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël.
Un deuxième front s'était rapidement ouvert dans le nord d'Israël avec des combats contre le mouvement pro-iranien libanais Hezbollah, qui se sont transformés à l'automne 2024 en une guerre ouverte de deux mois.
Une guerre de 12 jours a aussi opposé Israël à l'Iran en juin dernier, déclenchée par une attaque d'une ampleur inédite d'Israël contre des sites militaires, nucléaires et des zones résidentielles.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Sur les marchés agricoles, colza et soja prennent froid avant Noël
Les cours des oléagineux continuent de s'enfoncer face à la perspective d'une forte production et aux doutes sur les débouchés à l'export, tandis que le blé et le maïs résistent dans un marché peu fréquenté avant Noël.
A la Bourse de Chicago, le prix du boisseau de soja (27 kg) a lâché mardi 0,24% à 10,50 dollars, évoluant à des niveaux plus vus depuis deux mois.
La Chine "a commandé pour un peu plus de 6 millions de tonnes" de soja américain ces dernières semaines, selon Rich Nelson, analyste de la maison de courtage Allendale, soit la moitié de l'engagement pris par Pékin auprès de Washington dans le cadre des négociations commerciales entre les deux puissances.
Cela n'a cependant pas suffi à rassurer les marchés qui continuent à avoir "beaucoup de questions" concernant les débouchés du soja produit aux Etats-Unis, "en particulier face au Brésil, qui propose désormais des prix réduits" sur ses récoltes, plus compétitifs que ceux américains, ajoute l'expert.
Le pays d'Amérique du Sud "prévoit de produire et d'exporter des volumes records de soja au cours de la saison 2025-2026, malgré les inquiétudes liées aux conditions météorologiques défavorables", souligne le cabinet Argus Media dans une note publiée mardi.
Pour Dewey Strickler, analyste pour Ag Watch Market Advisors, il ne fait donc guère de doute que "la Chine va rester fidèle au Brésil" lors de la prochaine récolte, d'autant que Pékin "a investi des milliards de dollars dans les infrastructures" brésiliennes pour "réduire (sa) dépendance vis-à-vis des Etats-Unis".
En Europe aussi, "le marché des oléagineux prend le bouillon", souligne Gautier Le Molgat, PDG d'Argus Media France, face à la concurrence du canola (colza OGM canadien) et de l'huile de palme, mais également la perspective d'une hausse des surfaces cultivées en France.
Volumes faibles
Du côté du maïs, les cours restent soutenus aux Etats-Unis par de bons chiffres à l'export et "les attentes d'une baisse des rendements" lors de la prochaine actualisation des données du ministère de l'Agriculture américain (USDA), estime Rich Nelson.
Selon les chiffres de l'USDA, les Etats-Unis ont encore augmenté leurs exportations de maïs la semaine passée, à 1,74 million de tonnes contre 1,60 million deux semaines plus tôt.
Le blé, lui, évolue différemment des deux côtés de l'Atlantique.
Les prix américains sont soutenus notamment par l'absence d'avancée concrète concernant la guerre en Ukraine.
En Europe, les cours de la céréale du pain patissent de l'évolution des taux de change entre euro et dollar qui détourne des acheteurs du blé européen.
"Nous sommes en période de fêtes et les volumes sont très faibles", pointe Dewey Strickler, estimant même que "les opérateurs ont plié bagage jusqu'à la nouvelle année".
Les marchés clôtureront plus tôt mercredi, et seront fermés jeudi, jour de Noël. Les cotations à Euronext ne reprendront que lundi tandis que la séance de vendredi sera assurée à Chicago.
"On restera attentifs, bien sûr, à la situation géopolitique et aux conditions météo avec les premiers gels d'hiver notamment sur la Russie", assure Gautier Le Molgat.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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