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Australie: un adolescent porté disparu, "attaqué par un crocodile"

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Les attaques de crocodiles sont rares, mais ont déjà été recensées dans le Territoire du Nord, en Australie. (© KEYSTONE/AP/SAKCHAI LALIT)

Un adolescent de 12 ans porté disparu dans une région reculée du nord de l'Australie pourrait avoir été "attaqué par un crocodile", a déclaré la police mercredi, alors que les équipes de recherche ratissaient une crique à la recherche d'indices.

"Les premiers rapports ont indiqué que l'enfant avait été attaqué par un crocodile", a déclaré dans un communiqué la police de l'Etat du Territoire du Nord, ajoutant que ses agents étaient en train de "fouiller une grande partie de la crique en bateau".

L'adolescent a été porté disparu mardi soir après s'être baigné dans une crique près de Palumpa, une localité aborigène isolée située à environ sept heures de route au sud-ouest de Darwin, la capitale de l'Etat. Les attaques de crocodiles sont rares, mais ont déjà été recensées dans le Territoire du Nord, une région peu peuplée d'Australie.

A la mi-juin, un crocodile marin de 3,60 mètres de long qui terrorisait une communauté aborigène du nord de l'Australie en s'attaquant aux habitants et en dévorant des chiens, a lui-même été dégusté dans un festin traditionnel, après avoir été abattu par la police.

Le crocodile avait migré lors d'un épisode d'inondations au début de l'année, dans une rivière proche des habitations de la région, à environ six heures de route au sud de Darwin, la capitale du Territoire du Nord.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Des vols suspendus à l'aéroport à la suite d'une éruption de l'Etna

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L'Etna est souvent entré en éruption au cours des 500'000 dernières années. (© KEYSTONE/AP)

L'aéroport de Catane en Sicile a annoncé sa fermeture vendredi en raison d'une éruption de l'Etna, plus grand volcan en activité d'Europe. Ses cendres se retrouvent dans l'espace aérien.

"La piste est inutilisable en raison d'importantes retombées de cendres volcaniques. Par conséquent, les arrivées et les départs sont suspendus", a annoncé la société de gestion de l'aéroport dans un communiqué. Les vols devraient reprendre à 15h00 locales, a-t-elle estimé.

Culminant à 3324 mètres, l'Etna est souvent entré en éruption au cours des 500'000 dernières années. Ces derniers jours, son cratère central crache des coulées de lave et des nuages de cendres affectant l'aéroport de Catane, situé en contrebas.

Les panaches de cendres ont atteint une hauteur de 4,5 kilomètres, a indiqué l'Institut national de géophysique et de vulcanologie (INGV) jeudi sur X (ex-Twitter). Des images publiées sur les réseaux sociaux vendredi montrent des rues du centre de Catane recouvertes d'épaisses couches de cendres noires, qui ont provoqué des ralentissements de la circulation.

Les autorités italiennes ont également émis une alerte rouge pour un autre volcan, le Stromboli, qui domine l'île éponyme de l'archipel des Éoliennes (au nord de la Sicile), dont l'éruption a provoqué d'importants nuages de cendres.

Ce volcan, dont le sommet culmine à 920 mètres et la base se trouve à 2000 mètres sous la mer, est l'un des rares au monde à manifester une activité quasi continue, selon l'INGV. Des millions de passagers transitent chaque année par l'aéroport international de Catane, qui dessert la partie orientale de la Sicile, l'une des destinations touristiques les plus populaires d'Italie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Viktor Orban à Moscou pour rencontrer Poutine, tollé dans l'UE

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Le chef de la diplomatie européenne a précisé que Viktor Orban agissait "sans mandat de l'UE" (archives). (© KEYSTONE/AP/Geert Vanden Wijngaert)

Le président russe Vladimir Poutine a accueilli au Kremlin le Premier ministre hongrois Viktor Orban pour parler du conflit en Ukraine. La visite de ce dirigeant, taxé d'être pro-russe, a été décriée par l'UE, dont il assure la présidence tournante du Conseil.

"Vous étiez à Kiev récemment. Vous êtes venu ici pour discuter de toutes les nuances existantes dans le dossier ukrainien", a déclaré vendredi M. Poutine, en référence à la visite en Ukraine de M. Orban en début de semaine.

Trois jours après son premier déplacement à Kiev depuis le début de l'offensive russe, le dirigeant nationaliste hongrois s'est rendu à Moscou "dans le cadre de sa mission de paix", selon le gouvernement hongrois.

Dmitri Peskov, porte-parole de Vladimir Poutine, a assuré à un journaliste d'une télévision d'Etat, que les deux dirigeants allaient s'entretenir de la guerre en Ukraine "entre autres choses".

"Aucun mandat"

Budapest, qui assure depuis le 1er juillet la présidence semestrielle du conseil de l'Union européenne, n'a reçu "aucun mandat" de l'UE, a affirmé vendredi son chef de la diplomatie Josep Borrell. Ce déplacement "a lieu, exclusivement, dans le cadre des relations bilatérales entre la Hongrie et la Russie", a-t-il ajouté.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a de son côté jugé sur X que la tentation d'"apaisement n'arrêtera pas Poutine". "Seules l'unité et la détermination ouvriront la voie à une paix juste, durable et globale en Ukraine", a-t-elle souligné.

Charles Michel, le président du Conseil européen, qui rassemble les dirigeants des Vingt-Sept, avait réagi dès jeudi soir à l'annonce non officielle de ce déplacement.

"La présidence tournante de l'UE n'a pas de mandat pour engager le dialogue avec la Russie au nom de l'UE", a écrit M. Michel jeudi sur X. "La position du Conseil européen est claire: la Russie est l'agresseur, l'Ukraine est la victime. Aucune discussion ne peut avoir lieu sans l'Ukraine".

M. Borrell a également souligné vendredi que la position de l'UE, réaffirmée à plusieurs reprises par le Conseil européen, excluait "des contacts officiels entre l'UE et le président Poutine". M. Orban "ne représente donc pas l'UE, en aucune manière", a-t-il insisté.

La solidarité de l'UE envers l'Ukraine ne faiblira pas, a assuré de son côté le chancelier allemand Olaf Scholz.

"Médiateur impartial"

"Si nous restons assis à Bruxelles, nous ne pourrons pas nous rapprocher de la paix. Des actions doivent être entreprises", a argué M. Orban vendredi matin lors d'une interview radiophonique, interrogé sur sa visite à Kiev mardi.

"La Hongrie n'a pas le mandat ni le poids politique international (...) mais nous pouvons être un instrument au service de Dieu et de ceux qui veulent la paix", a-t-il estimé, tout en reconnaissant que "le chemin sera long tant les positions des deux camps sont éloignées".

La Hongrie assure jusqu'à fin décembre la présidence semestrielle du conseil de l'Union européenne, qui rassemble les ministres des Vingt-Sept.

Cette présidence tournante permet au pays qui la détient de contrôler l'agenda des réunions des 27, à l'exception de celles des ministres des Affaires étrangères, un pouvoir non négligeable mais pas absolu, selon plusieurs diplomates européens.

La Hongrie avait promis d'assurer une présidence "normale" en présentant à la presse ses priorités pour les six mois à venir.

"Tout le monde est ravi que ce soit à notre tour de rendre sa grandeur à l'Europe" (Make Europe Great Again), avait assuré à cette date M. Orban, reprenant le décrié slogan trumpien choisi par Budapest. "Nous agirons en tant que médiateur impartial", a affirmé de son côté le ministre des Affaires européennes Janos Boka.

"Redresser la barre"

Mais, a-t-il aussitôt ajouté, la Hongrie profitera de la lumière pour mettre en avant sa "vision de l'Europe" et "redresser la barre (...) dans la bonne direction".

"Les Hongrois vont s'attacher à être super professionnels", a jugé sur ce point un diplomate européen habitué des négociations entre les 27. Mais cela n'empêchera probablement pas Viktor Orban, qui aime être au centre de l'attention, d'essayer d'"imprimer sa marque" pendant ces six mois, avait-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Keir Starmer nommé Premier ministre britannique

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Troisième Premier ministre du souverain en moins de deux ans de règne, après les conservateurs Liz Truss et Rishi Sunak, Keir Starmer doit entrer dans la foulée au 10, Downing Street. (© KEYSTONE/AP/Jon Super)

Le chef des travaillistes britanniques Keir Starmer a été nommé Premier ministre par le roi Charles III vendredi, selon une photo de leur rencontre diffusée par le palais de Buckingham. Cela après la victoire écrasante de son parti de centre-gauche aux législatives.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Raid israélien à Jénine, l'Autorité palestinienne annonce 5 morts

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Au moins cinq personnes ont été tuées à Jénine, selon l'Autorité palestinienne. (© KEYSTONE/EPA/ALAA BADARNEH)

L'Autorité palestinienne a annoncé vendredi la mort de cinq Palestiniens tués lors d'un raid israélien à Jénine, dans le nord de la Cisjordanie occupée. L'armée israélienne a annoncé mener une "opération antiterroriste" dans cette zone.

Le ministère de la Santé palestinien a identifié quatre des morts comme des jeunes hommes âgés de 20 à 30 ans. L'identité du cinquième mort n'était pas encore connue.

D'après les données du ministère, 10 Palestiniens ont été tués en 48h en Cisjordanie. A ce bilan s'ajoutent un enfant et une femme, tués lundi lors d'une incursion israélienne dans la région de Tulkarem, également dans le nord du territoire.

Selon l'agence de presse officielle palestinienne Wafa, "une frappe de drone" a visé vendredi le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967. Des véhicules militaires ont encerclé une maison et les forces de l'ordre "ont utilisé des haut-parleurs pour exiger la reddition de l'un des occupants, avant d'attaquer la maison avec des missiles tirés à l'épaule", d'après Wafa.

"Echanges de tirs"

Peu avant 09h00 (08h00 en Suisse), l'armée israélienne a indiqué dans un communiqué que des soldats étaient "en train d'encercler un bâtiment dans lequel des terroristes (s'étaient) barricadés" et qu'il y avait "des échanges de tirs". Au cours de ces affrontements, "un aéronef a frappé plusieurs terroristes armés dans la zone".

Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien le 7 octobre, les violences se sont intensifiées en Cisjordanie occupée. Selon les autorités palestiniennes, au moins 566 Palestiniens y ont été tués par des tirs de soldats ou de colons israéliens depuis le 7 octobre.

Au moins 16 Israéliens y ont également été tués dans des attaques au cours de la même période, selon un décompte de l'AFP à partir des chiffres officiels israéliens. Un soldat est mort lundi lors d'une opération dans le nord de la Cisjordanie, d'après l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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