International
Au sommet du G20, Scholz exhorte Poutine à mettre fin au conflit
Le chancelier allemand Olaf Scholz a dit mercredi avoir exhorté Vladimir Poutine à cesser l'agression de l'Ukraine, lors du premier G20 en ligne auquel participait le président russe depuis le début de la guerre.
"Je l'ai appelé à retirer ses troupes du territoire de l'Ukraine afin que cette guerre se termine enfin", a déclaré le dirigeant allemand, lors d'une conférence de presse à Berlin avec la Première ministre italienne Giorgia Meloni.
La participation de M. Poutine à ce G20 était "une bonne occasion" de dire clairement comment rétablir la paix en Ukraine: "C'est la Russie qui a agressé l'Ukraine et pour rétablir facilement la paix, il suffit que la Russie retire ses troupes", a-t-il dit.
Giorgia Meloni, à Berlin pour des consultations gouvernementales germano-italiennes, a estimé qu'il était "facile" pour Poutine de participer au G20 car il n'avait pas à quitter Moscou.
La dirigeante italienne, qui a elle aussi assisté au G20 en ligne, a abondé dans le sens de M. Scholz: "Nous avons encore une fois insisté sur notre position" auprès de la Russie lors du sommet virtuel du G20. "Le plus simple serait un retrait des troupes (russes, ndlr)", a-t-elle dit.
Le président russe Vladimir Poutine avait boudé la rencontre des dirigeants du G20 en septembre en Inde et celle en Indonésie l'an passé. Il avait envoyé à sa place son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov.
Le G20 comprend les 19 plus grandes économies du monde ainsi que l'UE et l'Union africaine.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le couple Biden accueille le couple Trump à la Maison Blanche
Le président américain sortant Joe Biden a accueilli lundi matin à la Maison Blanche Donald Trump et son épouse Melania pour un entretien de courtoisie avant la cérémonie d'investiture.
"Bienvenue à la maison", lui a lancé son successeur, et bientôt prédécesseur Joe Biden en l'accueillant pour une visite de courtoisie, à connotation davantage privée que politique.
Le 45ème (2017-2021) et bientôt 47ème président des Etats-Unis a gravi les marches menant à la principale entrée de la Maison Blanche, dans le froid mordant d'un matin de janvier ensoleillé.
Donald Trump, accompagné de son épouse Melania, dont le visage était en partie dissimulé par un chapeau, a été accueilli par Joe et Jill Biden, tous deux souriants.
"Démocratie en action"
Peu avant, la vice-présidente sortante Kamala Harris et son époux Doug Emhoff avaient reçu au même endroit le futur vice-président J.D. Vance et sa femme Usha Vance.
"C'est la démocratie en action", a lancé la candidate malheureuse du parti démocrate aux journalistes qui lui demandaient comment elle se sentait.
Le milliardaire républicain, élu le 5 novembre au terme d'une campagne marquée par deux tentatives d'assassinat et une condamnation pénale historique, avait commencé sa journée en assistant à un service religieux.
A ses côtés, confirmant leur ralliement spectaculaire au nouveau pouvoir, les patrons des géants de la tech: Mark Zuckerberg (Meta), Jeff Bezos (Amazon), Tim Cook (Apple). Et bien sûr Elon Musk (X, SpaceX, Tesla), allié omniprésent de Donald Trump.
Le républicain reprendra pleinement possession de la Maison Blanche dans l'après-midi, après être devenu à midi précise, heure de Washington (18h00 en Suisse), président de la première puissance mondiale . Il sera aussi, à 78 ans, le chef d'Etat américain le plus âgé jamais investi.
Il jurera de protéger la Constitution sous la coupole du Capitole, là même où le 6 janvier 2021, ses partisans avaient tenté d'empêcher le Congrès de certifier la victoire de son rival démocrate.
Froid
La cérémonie se déroule habituellement à l'extérieur, mais le protocole a été chamboulé à cause des températures glaciales.
Faute de grand rassemblement sur le Mall, l'esplanade historique au centre de Washington, des milliers de partisans de Donald Trump ont patienté des heures pour accéder à une immense salle où leur champion doit apparaître dans l'après-midi.
Dès lundi, le républicain a annoncé un déferlement de décrets, notamment pour endiguer ce qu'il qualifie d'"invasion" de migrants sans papiers.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Meurtres de Southport: le suspect plaide coupable
L'auteur présumé du meurtre de trois fillettes fin juillet dans le nord-ouest de l'Angleterre a plaidé coupable lundi, au premier jour de son procès devant la cour criminelle de Liverpool. Cette attaque au couteau avait déclenché de violentes émeutes dans le pays.
Le jeune homme de 18 ans a reconnu ces meurtres, commis l'année dernière lors d'un cours de danse inspiré de Taylor Swift à Southport. Dix autres personnes avaient été blessées, dont huit enfants, dans l'une des pires attaques à l'arme blanche dans ce pays depuis des années.
Le suspect a aussi admis avoir produit de la ricine, un poison extrêmement toxique, et avoir détenu un manuel d'entraînement d'Al-Qaïda. La motivation "terroriste" n'a toutefois pas été retenue pour ces meurtres.
Lundi à son procès, il a refusé de se tenir debout devant le tribunal et a répondu "coupable" à chaque chef d'inculpation. Le fait qu'il plaide coupable écourte la procédure et le juge a annoncé qu'il prononcerait sa condamnation jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
International
L'AMA ne fera pas appel après la suspension de Swiatek
L'Agence mondiale antidopage (AMA) a annoncé lundi qu'elle ne ferait pas appel après la suspension d'un mois d'Iga Swiatek.
La Polonaise, actuelle 2e joueuse mondiale, avait été sanctionnée pour un contrôle positif à une substance interdite effectué mi-août 2024.
Les experts scientifiques de l'AMA ont estimé que la raison invoquée par la joueuse polonaise, une contamination médicamenteuse, était "plausible" et "qu'il n'y aurait aucun motif scientifique de le contester devant le TAS (Tribunal arbitral du sport)".
Swiatek, 23 ans, avait été contrôlée positive à la trimétazidine (TMZ), un médicament pour le coeur, dans un échantillon prélevé hors compétition en août, alors qu'elle était no 1 mondial. L'affaire n'a été révélée que trois mois plus tard, après que la joueuse a accepté une suspension d'un mois. Absente de trois tournois en Asie, elle avait alors argué de motifs personnels.
Pour sa défense, Swiatek avait ensuite souligné que le résultat du contrôle était accidentel et qu'il avait été provoqué par la contamination d'une substance en vente libre, la melatonine, utilisée pour lutter contre les problèmes de sommeil.
Un scénario accepté
"L'AMA a procédé à un examen complet du dossier relatif à la décision de l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (Itia), qu'elle a reçue le 29 novembre. Les experts scientifiques de l'AMA ont confirmé que le scénario spécifique de la mélatonine contaminée, tel que présenté par la joueuse et accepté par l'Itia, est plausible et qu'il n'y a pas de raisons scientifiques de le contester devant le TAS", a expliqué l'AMA dans un communiqué.
Dans une affaire semblable, Jannik Sinner, numéro un mondial chez les hommes, avait été contrôlé positif à deux reprises en mars dernier en raison de traces du stéroïde clostébol. Il avait ensuite été disculpé par l'Itia, mais l'AMA a néanmoins fait appel et celui-ci sera examiné les 16 et 17 avril par le TAS.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Ukraine: au moins deux morts et 13 blessés dans une frappe de Kiev
Une frappe ukrainienne en territoire occupé par la Russie a fait lundi au moins deux morts et 13 blessés dans la région de Kherson (sud), selon l'agence russe Ria Novosti. L'armée russe a dit également avoir intercepté lundi 31 drones ukrainiens.
En parallèle, l'armée russe poursuit sa poussée en différents points du front, ayant revendiqué lundi la prise de Chevtchenko, au sud de Pokrovsk, ville clé pour la logistique des forces ukrainiennes, ainsi que de Novoïegorivka, dans la région de Lougansk.
Les troupes russes, qui avancent depuis des mois face à des forces ukrainiennes en manque d'hommes et moins bien armées, sont désormais à environ six kilomètres de la région de Dnipro.
"A la suite du bombardement du village de Bekhtery, deux adultes ont été tués et 13 personnes ont été blessées. Parmi les blessés se trouvent trois enfants", a indiqué le service de presse de Vladimir Saldo.
Le responsable a de son côté évoqué sur sa chaîne personnelle Telegram "des morts" et 13 blessés.
"Deux attaques", menées par l'armée ukrainienne "avec des bombes à sous-munitions", "ont eu lieu près d'une école où des enfants et des enseignants se rendaient en cours", a déploré M. Saldo.
La localité de Bekhtery se trouve à moins de 50 kilomètres de la ville de Kherson, sous contrôle ukrainien, de l'autre côté du fleuve Dniepr, qui fait office de démarcation naturelle dans la région entre les armées ukrainienne et russe.
En Russie, un dépôt pétrolier de la région de Voronej (ouest) était toujours en feu lundi matin, cinq jours après avoir été touché par une frappe ukrainienne de drones.
"Dans certaines zones, le feu a été éliminé. Dans d'autres (...) l'intensité des flammes a diminué. Parallèlement, le travail se poursuit pour empêcher la propagation de l'incendie", a indiqué le gouverneur régional Alexandre Goussev.
Drones abattus
Des vidéos, publiées par des médias russes et sur les réseaux sociaux, montraient ces derniers jours un important brasier sur le site.
Par ailleurs, dans la région de Kalouga, limitrophe de Moscou, la chute de débris de drones abattus a provoqué dans la nuit de dimanche à lundi un incendie sur le territoire d'une entreprise locale qui a rapidement été maîtrisé, selon le gouverneur régional Vladislav Chapcha.
Au total, l'armée russe a dit avoir intercepté lundi 31 drones ukrainiens qui ont notamment visé des entreprises industrielles, y compris au Tatarstan (Volga), à environ 1000 kilomètres de la frontière ukrainienne, selon les autorités régionales, sans faire "de victimes ni de dégâts".
De leur côté, les forces ukrainiennes affirment que 141 drones russes ont visé leur territoire dans la nuit, dont 93 ont été interceptés et 47 autres "perdus".
L'Ukraine frappe régulièrement des cibles militaires et des sites énergétiques en Russie, en riposte aux frappes quotidiennes du Kremlin qui endeuillent son territoire depuis février 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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