Football
Anthony Racioppi à Cologne
Après une parenthèse malheureuse à Hull City, Anthony Racioppi rebondit en Allemagne. Le portier de 26 ans a été prêté au FC Cologne par le club anglais, qu'il a rejoint l'été dernier.
Champion de Suisse à deux reprises avec les Young Boys, Anthony Racioppi (26 ans) arrive dans l'un des clubs les plus prestigieux d'Allemagne, qui est l'actuel leader de la 2e Bundesliga et qui a engagé cet hiver Joël Schmied, l'un des hommes de base du FC Sion. Le prêt d'Anthony Racioppi court jusqu'à la fin de la saison avec une option d'achat.
Après la France et l'Angleterre, Anthony Racioppi tente ainsi l'expérience allemande. Avec l'ambition de s'affirmer comme le nouveau no 1 du FC Cologne. Le titulaire actuel est Marvin Schwäbe, un gardien de 29 ans qui évolue à Cologne depuis 2021.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Le Football Club Concordia Lausanne lance un Pôle social
Le FC Concordia Lausanne lance un projet inédit en mettant en place, dès mars, un Pôle social. Le club basé sur les hauts de la ville souhaite faire du sport un vecteur d'inclusion, de cohésion sociale et de soutien pour les jeunes et leurs familles, au-delà de la simple pratique du football.
Le club, l'un des plus grands de Suisse en termes de membres (plus de 1000 et plus de 50 équipes), veut ainsi jouer un rôle actif pour répondre aux besoins sociaux grandissants, notamment dans le quartier en pleine mutation des Plaines-du-Loup.
"Oui, nous sommes un club de football et les performances sportives sont importantes. Mais le foot est aussi un facteur d'inclusion", explique Malick Gehri, directeur technique et coordinateur du projet Pôle social du FC Concordia. "Nous voulons que le club participe à répondre aux différents besoins des gens", affirme-t-il, interrogé par Keystone-ATS.
Intervenant social
Le Pôle social s'articule autour de deux axes principaux. Le premier est l'engagement d'un intervenant social au sein du club. Présent les jours d'entraînement et lors de certains matchs, cette personne aura pour mission de créer du lien avec les familles et de les orienter vers les ressources publiques existantes.
"Nous ne voulons pas remplacer ce qui se fait déjà à Lausanne. L'idée est d'aider les gens qui manquent de connaissances ou qui ont peur des démarches administratives", précise Malick Gehri. L'intervenant social sera également un point de contact pour les jeunes qui changent d'école ou qui cherchent un apprentissage, par exemple.
Le club constate un taux d'impayés de 30% concernant les cotisations. Grâce à l'intervention de l'assistant social, les familles en difficultés pourront bénéficier de son accompagnement pour explorer les solutions disponibles et ainsi régulariser leur situation.
Prévention du harcèlement
Une autre mission essentielle de l'intervenant social sera la prévention du harcèlement. "Le centre sportif de la Tuilière ressemble à une fourmilière, il y a tellement de gens", remarque Malick Gehri, soulignant que les retours sur les cas de harcèlement sont en augmentation.
Selon lui, le club n'a pas à se déresponsabiliser de cette situation. L'objectif est que l'intervenant social devienne une personne de référence, tant pour les jeunes et leurs parents, que pour les entraîneurs.
Le soutien scolaire représente le second axe du Pôle social. Dispensé du lundi au jeudi avec trois créneaux adaptés aux différents âges, ce dispositif permettra aux jeunes joueurs de faire leurs devoirs avant l'entraînement afin de mieux concilier scolarité et sport.
"Seize jeunes se sont déjà inscrits aux devoirs accompagnés" se réjouit Malick Gehri. Ces sessions seront encadrées par un enseignant professionnel ainsi que par des joueurs de la première équipe - qui évolue en deuxième ligue interrégionale - dotés d'une expérience universitaire et ayant déjà travaillé dans l'accompagnement scolaire.
Un soutien de 150'000 francs
Le Pôle social a été créé grâce au financement de la Fondation Leenaards, qui a accordé un soutien de 150'000 francs sur deux ans.
La pérennisation du projet reste toutefois un enjeu majeur pour le FC Concordia Lausanne, qui souhaite que son dispositif soit repris par des fonds publics. "L'objectif est aussi de pouvoir démontrer l'ampleur des besoins", précise Malick Gehri.
Est-ce le rôle des clubs de mettre en place de tels projets? "Je pense qu'il faut être précurseur et que ce genre de démarche doit venir du terrain. Mais à terme, cela ne devrait plus relever du ressort des clubs", conclut le directeur technique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Strappazzon x LS: du BMX au foot en passant par le textile
Le créateur Sébastian Strappazzon a lancé une collection avec le Lausanne-Sport. Si le Vaudois a plutôt pour habitude d’habiller des rappeurs, cette collaboration sportive ne sort pas de nulle part. Rencontre.
Entre Sébastian Strappazzon et le sport, il y a un réel lien. “Je suis un sportif avant d’être un créatif”, glisse-t-il en début d’interview. Mais pas autour des terrains de foot. Celui qui a grandi dans le Jura, avant de s’installer à Lausanne aux prémices de l’adolescence, a en effet pratiqué le BMX, plus précisément, le BMX race et ensuite freestyle.
Une expérience très formatrice donc. “Le BMX a créé ce que je suis aujourd’hui, même si je n’en fais plus”, approuve le créateur. À l’époque, ce serait-il vu faire carrière dans ce sport?
Strappazzon a troqué le petit vélo pour les ciseaux et le tissu. Mais le BMX a, inconsciemment, eu un impact sur son esprit créatif.
Le Vaudois garde encore aujourd’hui les enseignements du BMX, et ça se ressent dans ses créations.
Une histoire d’émotions
Une fois lancé dans le monde de la mode, la popularité de Strappazzon a explosé lorsqu’il a créé la marque Avnier avec le rappeur Orelsan. Depuis plus de 10 ans, il dessine des vêtements dans un style urbain. À présent, la marque veut aussi proposer des habits plus fonctionnels, notamment pour les professionnels de l’audiovisuel. Il a également une belle expérience dans les collaborations. Migros, la fusée Ariane ou encore Quicksilver font partie des marques qui ont fait appel à lui.
En début de saison, Strappazzon a relevé un nouveau défi: créer une collection avec le Lausanne-Sport. Le Vaudois n’a jamais baigné dans le monde du ballon rond, “je viens d’une époque où on était même anti-foot”, sourit-il. C’est donc dans un milieu “street” qu’il a été confronté au LS pour la première fois.
Le temps a donc fait que les esprits se sont ouverts. Il a notamment fallu un événement pour finir de faire changer d’avis Strappazzon sur le foot. “Quand j’ai vu le match France-Suisse (lors de l’Euro 2021), j’ai compris ce que c’était le foot. Avec toutes les émotions qui allaient avec, je me suis dit que je ratais un truc.”
Il a ensuite assisté à plusieurs match du Lausanne-Sport, c’est là qu’il a “enfin compris pourquoi c’est quelque chose qui soulève autant de gens. Je ne suis toujours pas quelqu’un qui collectionne les Panini ou qui suit les résultats, mais j’ai un plaisir à regarder un match que je n’avais pas il y a quelques années”, confie Sébastian Strappazzon. C’est notamment l'ascenseur émotionnel qui accompagne un match de foot que le créateur apprécie particulièrement. “Je sais que ça ferait sourire quelques potes du BMX de m’entendre raconter ça”, rigole-t-il.
Est-ce que c’est ce côté émotionnel qui l’a inspiré pour créer cette collection avec le LS?
Les joueurs du LS arborent la collection de Strappazzon, notamment lorsqu'ils sont en déplacement. © FC Lausanne-Sport
Course contre la montre
L’idée d’avoir une ligne de vêtements griffée Strappazzon était dans les têtes depuis un moment du côté de la Tuilière. Mais au moment où la machine a été lancée, tout est allé très vite. “Tout à coup, j’ai été convoqué dans les bureaux du club et quand je suis sorti, je me suis rendu compte que j’avais deux semaines pour dessiner la collection, se souvient le créateur. J’ai dû mettre tout ce que je faisais de côté.”
À savoir que la collection comprend des t-shirts, pantalons, vestes, sweatshirts ou encore des chaussettes pour un total de onze pièces. Comment a-t-il donné vie à cela en seulement deux semaines? “Tu dors peu et tu vas creuser au fin fond de ton cerveau”, lance-t-il. Le plus dur étant de canaliser les idées, de faire des choix, et de tenir en compte les coûts. “Les pièces ne doivent pas non plus être complètement fofolles, ne pas entrer dans le costume, il faut que ce soit intemporel et portable, détaille-t-il encore. C’est plein de petits compromis, puis t’essaies d'affiner. C’est un peu une recette.”
Dans ce processus créatif, le Vaudois aurait voulu s’investir avec les joueurs. Le temps imparti et l’agenda des footballeurs ne l’a malheureusement pas permis. Il s’est donc tourné vers les réseaux sociaux pour glaner un maximum d’informations. “Dans les yeux des joueurs, tu vois un peu ce qu’ils cherchent, tu vois aussi leur goût vestimentaire, décrit-il. J’ai essayé d’aller dans ce sens-là et c’est assez proche des miens au final.”
Au-delà du défi technique et créatif, le fait d’être contacté par un club tel que le LS a représenté un véritable honneur pour Strappazzon.
La collection est disponible à la boutique du Lausanne-Sport au Stade de la Tuilière ainsi qu’en ligne.
Football
Coupe d'Espagne: 4-4 entre le Barça et l'Atlético Madrid
Le FC Barcelone et l'Atlético Madrid se sont séparés sur un spectaculaire nul 4-4 en demi-finale aller de la Coupe d'Espagne. Tout reste donc possible avant le retour prévu le 2 avril.
Le scénario de cette rencontre a été fou. Les visiteurs ont marqué deux fois en tout début de match par Alvarez (1re) et Griezmann (6e). Mais le Barça a répliqué avec trois buts avant la pause inscrits par Pedri (19e), Cubarsi (21e) et Martinez (41e). Lewandowski a bien cru assurer la victoire catalane à la 74e, mais les Colchoneros n'ont rien lâché.
Llorente a réduit l'écart (84e) avant que Sorloth n'inscrive le 4-4 dans les arrêts de jeu (93e). Les deux équipes, également à la lutte dans la course au titre en Liga, s'affronteront au retour au Metropolitano le 2 avril prochain, pour décrocher leur place en finale.
"C'est un résultat terrible quand on gagne 4-2.... Nous devons être plus prudents, ce sont des choses dont nous devons apprendre. C'était déjà arrivé en Liga, et c'est arrivé encore ce soir" a regretté Pedri.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Etoile Carouge et Bienne pour une surprise
La hiérarchie sera-t-elle bousculée ce mercredi lors des deux quarts de finale de la Coupe de Suisse au programme ? Coleaders de la Super League, le FC Bâle et le FC Lugano font face à un réel péril.
Le FC Bâle se déplace à Carouge pour ne pas vivre les mêmes tourments que le 27 octobre 2021. Ce soir-là, les Rhénans avaient été battus 1-0 en huitième de finale face à des Carougeois qui évoluaient alors en Promotion League. Aujourd’hui, Etoile Carouge vit une très belle saison en Challenge League. Néo-promue, la formation d’Adrian Ursea est un solide troisième qui a malheureusement dû laisser filer Thoune et Aarau.
La seule présence de Xherdan Shaqiri sur la pelouse devrait attirer la grande foule à la Fontenette. Adulé dans tout le pays, le capitaine du FC Bâle sera, avec sa précision diabolique sur les balles arrêtées, l’atout no 1 d’une équipe qui marque toutefois le pas. Battu à Genève par le Servette FC puis tenue en échec par Lausanne et St. Gall, le onze de Fabio Celestini n’a pas franchement le droit à l’erreur pour sortir de l’hiver avec une certaine sérénité.
Une flamme retrouvée
A Bienne aussi, on va battre le record d’affluence de la saison. Finaliste des trois dernières éditions de la Coupe de Suisse, le FC Lugano s’avance comme le favori logique de ce quart de finale. Les deux classes qui séparent les Tessinois du deuxième de la Promotion League semblent rédhibitoires.
Mais "bourreau" de Neuchâtel Xamax au premier tour, le FC Bienne aborde cet immense défi avec le soutien d’une ville qui est en passe de retrouver la flamme pour son équipe de football. Même si la promotion en Challenge League est la priorité du club, le FC Bienne aura vraiment une carte à jouer face à des Luganais affaiblis par les absences de Milton Valenzuela, de Martim Marques, d’Ignacio Aliseda, de Mattia Bottani, d’Uran Bislimi, d’Anton Grgic et peut-être de Mattia Zanotti. Cela commence à faire beaucoup...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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