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Andy Murray quitte son entraineur Ivan Lendl... pour la 3e fois

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Andy Murray et Ivan Lendl ne sont plus ensemble (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Après une saison en-deçà de ses espérances, Andy Murray s'est séparé pour la troisième fois de son entraîneur Ivan Lendl, comme lui ancien no 1 mondial. Il l'a annoncé.

Murray a remporté sous l'égide de Lendl, de nationalité tchèque avant de devenir Américain, les trois titres du Grand Chelem inscrits à son palmarès et l'avait repris comme entraineur en mars dernier.

Si le joueur écossais, aujourd'hui âgé de 36 ans, est parvenu à remonter parmi les 50 premiers mondiaux (42e) après avoir connu de graves problèmes à une hanche, il n'a pas obtenu les résultats escomptés.

"Ivan a été à mes côtés lors des plus grands moments de ma carrière et je ne peux le remercier assez pour tout ce qu'il m'a aidé à réaliser", a déclaré Murray. "C'est une personnalité unique qui sait ce que gagner requiert et j'ai énormément appris de lui au fil des années".

Lendl avait déjà entraîné Murray de 2013 à 2014 puis de 2016 à 2017.

La réticence de Lendl, âgé de 63 ans, à se déplacer loin de ses bases aux Etats-Unis, serait l'une des raisons qui aurait incité les deux hommes à interrompre de nouveau leur collaboration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Biden tente de serrer les rangs démocrates autour de lui

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Les sondages menés depuis le débat ne montrent pas de bouleversement, ce qui prouve que les Américains n'avaient pas attendu pour s'inquiéter des capacités cognitives du président le plus âgé de l'histoire du pays, mais confirment pour la plupart un léger avantage pour Donald Trump. (© KEYSTONE/EPA/BONNIE CASH / POOL)

Joe Biden, bien conscient que sa candidature à la Maison Blanche est extrêmement fragilisée après un débat calamiteux face à Donald Trump, devait recevoir mercredi les gouverneurs démocrates.

Près d'une semaine plus tard, le président américain est loin d'avoir effacé la pénible impression laissée par ces 90 minutes lors desquelles il a bafouillé, regardé dans le vide et parfois perdu le fil de sa pensée.

"Il sait que s'il a encore deux événements de ce type, les choses seront très différentes", rapporte un proche anonyme, cité jeudi par le New York Times. Le même confie que Joe Biden s'interroge bien, en privé, sur l'avenir de sa candidature.

"C'est complètement faux. Si le New York Times nous avait donné plus de sept minutes pour commenter, nous le leur aurions dit", a immédiatement répliqué un porte-parole de la Maison Blanche, Andrew Bates, sur X.

Acuité mentale questionnée

Nombre de démocrates, dont des figures du parti comme Nancy Pelosi, ont questionné publiquement l'acuité mentale du président. Les appels ouverts à un retrait restent jusqu'ici cantonnés à de rares parlementaires peu connus.

La réunion avec le démocrate de 81 ans était prévue à 00h30 jeudi à la Maison Blanche. Les Etats-Unis comptent une vingtaine de gouverneurs d'Etats démocrates, mais la liste exacte des participants n'a pas été rendue publique.

"Discussion saine" prévue

"Nous aurons une discussion saine avec le président", a expliqué l'un des gouverneurs démocrates, J. B. Pritzker de l'Illinois, mardi soir sur CNN.

"Pour l'instant, Joe Biden est notre candidat, je suis 100% derrière sa candidature, à moins qu'il ne prenne une autre décision, et dans ce cas nous échangerons alors tous sur la meilleure marche à suivre," a-t-il ajouté.

Le gouverneur de l'Illinois mais aussi ceux de Californie (Gavin Newsom), du Michigan (Gretchen Whitmer) ou de Pennsylvanie (Josh Shapiro) sont considérés comme de potentiels candidats futurs à la Maison Blanche.

Aucun n'a jusqu'ici remis publiquement en cause la candidature de Joe Biden, qui a écrasé la primaire démocrate.

Sondages: léger avantage pour Trump

Les sondages menés depuis le débat ne montrent pas de bouleversement, ce qui prouve que les Américains n'avaient pas attendu pour s'inquiéter des capacités cognitives du président le plus âgé de l'histoire du pays, mais confirment pour la plupart un léger avantage pour Donald Trump.

Un pointage rendu public mercredi par CBS donne à l'ancien président 50% des intentions de vote contre 48% à son rival démocrate au niveau national, et 51% contre 48% dans les Etats décisifs, le tout dans la marge d'erreur statistique.

Wisconsin et Pennsylvanie

Joe Biden sera en campagne dans les prochains jours au Wisconsin et en Pennsylvanie, deux "swing states", des Etats décisifs dans la course à la Maison Blanche.

Son équipe de campagne a diffusé mercredi une nouvelle vidéo, après que la Cour suprême a étendu lundi l'immunité présidentielle, une victoire pour Donald Trump, plusieurs fois inculpé au pénal.

La plus haute juridiction américaine "a décidé que le président peut s'affranchir de la loi même pour commettre un crime parce que Donald Trump le lui a demandé", assure le narrateur, sur fond d'images de l'attaque du Capitole le 6 janvier 2021 par des partisans de l'ancien président.

Trop voyagé

Joe Biden a prévu de donner vendredi une interview à la chaîne télévisée ABC et de tenir une conférence de presse en solo la semaine prochaine, l'objectif étant de prouver sa capacité à s'exprimer de manière fluide sans prompteur.

Quant à la contre-performance de jeudi dernier, il s'agit, selon les partisans de Joe Biden, d'une "mauvaise nuit" pour un candidat qui souffrait de plus d'un "rhume".

Le principal intéressé a avancé mardi une autre explication. Il a déclaré devant des donateurs que ce n'était "pas très malin" d'avoir "voyagé à travers le monde plusieurs fois" peu avant le débat, et que cela l'avait amené à "presque (s')endormir sur scène".

Joe Biden s'est rendu en France et en Italie en juin, puis est rentré aux Etats-Unis le 15 juin, douze jours avant le duel télévisé contre Donald Trump, qu'il a passé six jours à préparer, sans agenda officiel ni apparition publique pendant cette période.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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"C'était un gros pari d'être sur le Tour", souligne Cavendish

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Cavendish savoure son 35e succès sur le Tour (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Mark Cavendish a reconnu que "c'était un gros pari d'être sur le Tour de France". A la recherche d'une 35e victoire sur la Grande Boucle, le Britannique l'a décrochée mercredi à Saint-Vulbas.

"J'ai du mal à y croire. Quand je suis reparti c'était vraiment un gros pari d'être là, sur le Tour de France. On a parié qu'on pouvait gagner au moins une victoire d'étape. C'est un grand pari de la part d'Alexandre Vinokourov mon boss, celui de mon équipe", a déclaré à l'arrivée le sprinter de 39 ans, qui compte désormais une victoire de plus que le grand Eddy Merckx sur le Tour.

"Les mecs ont bien improvisé. Ils m'ont mis dans une superbe position, j'ai été capable de gagner", a commenté le coureur de la formation Astana. "Tout le monde a tout donné, c'est tellement de petits détails qui viennent s'ajouter pour arriver ici. Une étape ça peut faire toute une carrière et moi j'ai toujours eu besoin d'en gagner une de plus", a-t-il ajouté.

A l'arrivée, Mark Cavendish a été félicité par la moitié du peloton, avant de tomber dans les bras de sa femme et de ses enfants. "Ils sont arrivés hier, c'est un super timing, c'est incroyable qu'ils aient été là pour le voir", s'est-il réjoui.

Saisir l'opportunité

En difficulté lors des premières étapes en Italie le "Cav" s'est accroché pour écrire l'histoire mercredi dans l'Ain: "pas besoin de se flatter l'ego à essayer de rester avec le peloton. On s'en moque que les gens disent: +il est rincé, il finira pas+. Il faut juste montrer ce qu'on sait faire, gérer et donner le meilleur pour arriver à saisir cette opportunité."

Une nouvelle chance de victoire se présentera dès jeudi du côté de Dijon pour le sprinteur de l'île de Man. "On va essayer, chaque sprint où on aura l'occasion d'aller, on ira. C'est le Tour de France quand même. Ce n'est pas seulement la plus grande course cycliste du monde, c'est le plus grand événement sportif du monde pour moi", a-t-il conclu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'influent tabloïd The Sun apporte son soutien aux travaillistes

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Le "Sun" rejoint ainsi plusieurs médias étiquetés à droite ou centre-droit qui ont appelé à voter pour le Labour. Celui-ci s'est recentré depuis que Keir Starmer en a pris la tête en 2020 et devrait sauf coup de théâtre devenir Premier ministre vendredi. (© KEYSTONE/AP/Jon Super)

L'influent tabloïd britannique The Sun, idéologiquement plutôt proche des conservateurs, a apporté mercredi, à la veille des législatives, son soutien aux travaillistes. Ces derniers sont donnés largement en tête par les sondages.

"Le temps du changement est venu", affirme dans une tribune publiée sur son site internet le journal, propriété de la famille du milliardaire australo-américain Rupert Murdoch, estimant que "les Tories sont épuisés", après 14 ans au pouvoir.

Son ralliement figurera en Une du journal de jeudi, jour du vote, avec pour titre "Le temps est venu pour un nouvel entraîneur" sur fond de photo de terrain de foot, avec la précision qu'il ne s'agit pas de "virer (le sélectionneur anglais Gareth) Southgate".

Le quotidien populaire rejoint ainsi plusieurs médias étiquetés à droite ou centre-droit qui ont appelé à voter pour le Labour, qui s'est recentré depuis que Keir Starmer en a pris la tête en 2020 et devrait sauf coup de théâtre devenir Premier ministre vendredi.

C'est ainsi le cas du quotidien des milieux d'affaires The Financial Times ou du magazine The Economist, ou encore The Sunday Times, l'édition dominicale du journal The Times, qui se sont tous montrés très critiques envers les conservateurs.

Influence considérable

"Il ne fait aucun doute que Sir Keir Starmer s'est battu avec acharnement pour améliorer son parti", admet The Sun, malgré des "inquiétudes" persistantes notamment sur l'immigration.

The Sun a longtemps été le tabloïd le plus lu du Royaume-Uni et garde une influence considérable, même s'il ne publie plus ses chiffres de diffusion et a été rattrapé selon des spécialistes du secteur par le Daily Mail ces dernières années.

Une éventuelle prise de position était très attendue, d'autant que ce quotidien a plusieurs fois joué un rôle majeur dans la vie politique britannique.

En 1997, Tony Blair avait ainsi obtenu le soutien du Sun avant de porter le Labour au pouvoir, après avoir fait le voyage personnellement en Australie pour plaider sa cause auprès du magnat.

Risque de décalage avec ses lecteurs

Le tabloïd avait en revanche retiré son soutien à Gordon Brown en 2009 en plein congrès travailliste, lui préférant le conservateur David Cameron qui avait remporté les législatives de 2010.

Ces derniers temps, The Sun conservait un positionnement plutôt à droite, comme une grande partie de la presse britannique, avec des éditos anti-immigration et anti-"woke", très pro-Brexit, critiques des politiques climatiques, décrivant souvent Keir Starmer comme manquant de fermeté.

Même si la presse écrite a beaucoup perdu de son influence, le tabloïd risquait, faute de prise de position, d'apparaître comme en décalage avec ses lecteurs s'il restait à l'écart de ce qui s'annonce comme une victoire historique des travaillistes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un 35e succès historique pour Cavendish sur le Tour

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Cavendish a dépassé Merckx avec une 35e victoire d'étape sur le Tour (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Mark Cavendish a signé un succès historique mercredi sur le Tour de France.

Vainqueur du sprint à Saint-Vulbas, le Britannique est devenu le seul recordman de victoires d'étapes sur la Grande Boucle avec 35 succès. Tadej Pogacar reste lui en jaune au terme de cette journée de transition.

Cavendish (39 ans) a donc bien fait de poursuivre sa carrière d'une année. Le sprinter d'Astana, dont les derniers bouquets reçus sur le Tour de France remontaient à 2021 (quatre étapes et le maillot vert), a dépassé la légende Eddy Merckx grâce à cette 35e victoire d'étape.

Le champion du monde sur route de 2011, qui compte aussi 17 succès sur le Giro - mais seulement 3 sur la Vuelta - s'est imposé devant le Belge Jasper Philipsen et le Norvégien Alexander Kristoff à l'issue d'un sprint houleux marqué par une chute dans les derniers mètres.

Après sa victoire, le "Cav" a été félicité par la moitié du peloton avant de tomber dans les bras de sa femme et de ses enfants. Il avait dû abandonner l'an dernier à cause d'une fracture à la clavicule après une chute lors de la 11e étape de ce qui devait être son dernier Tour de France.

Animé par l'ambition de détenir seul ce record d'un autre temps, le sprinter de l'île de Man a remis son départ à la retraite à plus tard. Il a beaucoup souffert lors des premières étapes difficiles en Italie, au point de vomir sur son vélo. Mais il s'est accroché pour écrire l'histoire mercredi dans l'Ain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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