International
Accord entre Washington et Berlin pour le gazoduc controversé
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Les gouvernements américain et allemand ont annoncé mercredi un accord pour clore leur dispute au sujet du gazoduc controversé Nord Stream 2 reliant la Russie à l'Allemagne. Les opposants à Joe Biden dénoncent un "cadeau" au président russe Vladimir Poutine.
Dans une déclaration commune, les Etats-Unis et l'Allemagne font planer la menace de nouvelles sanctions en cas de dérapage de Moscou dans l'utilisation de ce projet, et s'engagent à tenter de compenser les pertes pour l'Ukraine, qui sera privée d'une partie du transit de gaz russe par le futur gazoduc.
"Si la Russie devait tenter d'utiliser l'énergie comme une arme ou commettre d'autres actes agressifs à l'égard de l'Ukraine, l'Allemagne prendra des mesures au niveau national, et fera pression pour des mesures efficaces au niveau européen, y compris des sanctions, pour limiter les capacités d'exportation russes vers l'Europe dans le secteur énergétique", affirment les deux pays alliés.
Un émissaire spécial
Ils plaident aussi pour que le gaz continue de "transiter par l'Ukraine après 2024", échéance actuellement prévue dans un accord avec la Russie. "L'Allemagne s'engage à utiliser tous ses moyens de pression pour faciliter une extension pouvant aller jusqu'à dix ans supplémentaires" de cet accord sur le transit, et va nommer "un émissaire spécial pour soutenir ces négociations" d'ici le 1er septembre, selon la déclaration commune.
Dans une conversation téléphonique, la chancelière allemande Angela Merkel et le président Poutine ont d'ailleurs "envisagé" dès mercredi "la possibilité" d'une telle prolongation "au-delà de 2024", a rapporté le Kremlin.
Enfin, Berlin a promis de "créer" un "fonds vert" pour "soutenir la transition énergétique de l'Ukraine", initialement abondé par l'Allemagne à hauteur d'au moins 150 millions d'euros, afin de "promouvoir et soutenir des investissements pour au moins un milliard de dollars" venant notamment du secteur privé.
Soulagement et satisfaction
Le chef de la diplomatie allemande Heiko Maas a fait part de son "soulagement" face à cette "solution constructive". Et, selon Moscou, Angela Merkel et Vladimir Poutine se sont dits de concert "satisfaits de voir que la construction de Nord Stream 2" était "sur le point d'être achevée".
De fait, l'accord américano-allemand semble lever les derniers obstacles à son achèvement. Le gouvernement américain a fait valoir que la fin des travaux était désormais inéluctable et a donc tout fait pour présenter ce compromis comme un moindre mal.
Opposition américaine
Les Etats-Unis s'opposent vivement, et depuis des années, à ce gazoduc. Ils déplorent qu'il passe par la mer Baltique, mais pas par l'Ukraine, menaçant de priver ce pays d'une partie des revenus perçus sur le transit, mais aussi d'un moyen de pression sur Moscou.
Joe Biden a toutefois fini au printemps par renoncer à imposer des sanctions pour bloquer le projet, estimant qu'il était trop tard et qu'il valait mieux miser sur la coopération avec l'Allemagne -- favorable, elle, à Nord Stream 2.
Cette marche arrière a valu au président américain les critiques des républicains, mais aussi de nombreux ténors de son camp démocrate.
Lors de sa visite à Washington la semaine dernière, Angela Merkel avait réaffirmé que l'Ukraine devait rester "un pays de transit" pour le gaz russe, tandis que Joe Biden avait dit partager avec elle "la conviction qu'il ne faut pas laisser la Russie utiliser l'énergie comme une arme". Des déclarations qui avaient posé les jalons de l'accord annoncé mercredi.
Accusations des républicains
Sans attendre les détails, les républicains avaient dénoncé dès mardi ce compromis. "On a toujours su que Biden partageait le lit de Poutine, voilà que maintenant ils se font des câlins", a raillé, provocateur, le sénateur trumpiste Ted Cruz, évoquant un "cadeau" permettant aux "dictateurs russes" de "faire du chantage énergétique" à l'Europe.
La numéro trois de la diplomatie américaine Victoria Nuland lui a répliqué mercredi, lors d'une audition au Sénat, que le gouvernement Biden avait hérité d'un Nord Stream 2 "terminé à plus de 90%", et donc impossible à stopper, alors qu'en 2016, lorsque Donald Trump est arrivé à la Maison Blanche, les Etats-Unis étaient selon elle "en passe de bloquer le gazoduc".
Elle a aussi dû démentir les informations selon lesquelles Washington avait fait pression sur les autorités ukrainiennes pour qu'elles taisent leurs critiques, évoquant des "consultations étroites" avec Kiev.
Zelensky invité fin août
La Maison Blanche a fait savoir dans la foulée que le président Biden recevrait son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky le 30 août.
Mais l'Ukraine et la Pologne ont néanmoins réaffirmé, dans la foulée de l'accord américano-allemand, que Nord Stream 2 était une menace pour toute l'Europe centrale.
International
Charles III héraut de la paix en Italie pour ses 20 ans de mariage
Charles III s'est posé en héraut de la paix et de la démocratie mercredi devant le Parlement italien à Rome, où il est en visite d'Etat, avant de fêter son 20e anniversaire de mariage avec Camilla lors d'un dîner de gala.
"La paix ne doit jamais être tenue pour acquise", a affirmé le roi d'Angleterre, premier monarque britannique à avoir l'honneur de s'exprimer devant les deux chambres du Parlement réunies en session conjointe.
"La Grande-Bretagne et l'Italie sont aujourd'hui unies dans la défense des valeurs démocratiques", a affirmé le monarque de 76 ans, qui s'est d'abord exprimé dans la langue de Dante avant de poursuivre en anglais.
"Nos pays sont tous deux aux côtés de l'Ukraine (...) et ont accueilli des milliers d'Ukrainiens cherchant refuge", a-t-il ajouté.
Le roi, qui effectue en Italie sa 18ème visite officielle mais sa première depuis son couronnement, a également mis en avant la coopération de Londres avec Rome et Tokyo sur le projet d'avion de combat du futur. Ce projet "créera des milliers d'emplois dans nos pays et en dit long sur la confiance que nous plaçons les uns dans les autres", a-t-il souligné.
Fervent militant du développement durable et de la lutte contre le réchauffement, le souverain a aussi évoqué les bouleversements climatiques de la planète qui provoquent "des sécheresses en Sicile et des inondations dans le Somerset".
"Les tempêtes extrêmes, qui ne surviennent normalement qu'une fois par génération, reviennent maintenant chaque année. D'innombrables espèces végétales et animales sont menacées d'extinction", a déploré le souverain.
Un roi pour des empereurs
Cette visite d'Etat de quatre jours intervient moins de quinze jours après que Charles eut été brièvement hospitalisé pour des effets secondaires de son traitement contre le cancer.
Mercredi matin, Charles a eu une brève rencontre privée avec la Première ministre Giorgia Meloni, dans le cadre champêtre de la Villa Doria Pamphili, une demeure historique entourée de grands jardins.
Après une inspection de la garde d'honneur, ils ont posé pour une photo alors que les drapeaux britannique, italien et de l'UE flottaient sur le toit de la villa. Mme Meloni défend l'aide à l'Ukraine depuis l'invasion russe en février 2022 malgré de fortes oppositions au sein de sa coalition ultraconservatrice.
Le roi a ensuite été conduit à bord de sa Bentley à Testaccio, un quartier populaire de Rome. Dans un abattoir reconverti accueillant des événements culturels, il a rencontré des étudiants en théâtre qui ont interprété un extrait d""Othello" de Shakespeare en italien.
Etait également présent un ancien élève de l'école, l'acteur Luca Zingaretti, célèbre pour son rôle dans la série policière "L'inspecteur Montalbano".
A l'extérieur du lieu, la plupart des habitants du quartier semblaient indifférents à sa venue, comme Carlotta, une femme de 70 ans ayant refusé de donner son nom de famille.
"Je me fiche du roi mais ils ont passé trois jours à nettoyer le quartier, à frotter les trottoirs, à ramasser les crottes de chien, donc il peut venir chaque semaine s'il veut", a-t-elle confié à l'AFP.
Une autre habitante, Ninetta, 66 ans, était encore plus désinvolte : "Rome a vu des empereurs, à quel point est-ce impressionnant un roi ? Je m'en fiche".
Dîner de gala
Benedetta Ciarlo, 21 ans, s'est montrée plus enthousiaste, d'autant qu'elle est venue spécialement de Bénévent, près de Naples, pour voir le roi.
"Mon personnage royal préféré était le prince Philippe, maintenant c'est Charles," a-t-elle dit.
Pendant ce temps, Camilla a rendu visite à des écoliers apprenant l'anglais et a distribué des prix aux gagnants d'un concours littéraire du British Council.
Avant son départ, elle a reçu une pizza Margherita, nommée ainsi en hommage à une reine italienne du XIXe siècle, Marguerite de Savoie.
La livreuse de pizza, Federica Viola, a décrit une scène "surréaliste" lorsqu'elle est arrivée et a vu la reine. "On m'a commandé une pizza et je n'ai pas compris pourquoi (...) puis j'ai compris que c'était pour la reine, donc c'était une énorme émotion", a-t-elle raconté à l'AFP.
Le couple royal célébrera son 20e anniversaire de mariage mercredi soir lors d'un dîner de gala au palais du Quirinal, la résidence officielle du président de la République Sergio Mattarella, qui devrait présenter un toast marquant leurs noces de porcelaine. Le roi et la reine s'étaient mariés le 9 avril 2005 après une longue liaison durant le mariage de Charles avec la défunte princesse Diana.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Le nouveau gouvernement fera "avancer notre pays" , assure Merz
Le chancelier désigné Friedrich Merz a promis mercredi "de faire de nouveau avancer" l'Allemagne après la conclusion d'un accord de son camp conservateur avec le centre-gauche pour former un gouvernement. Ce dernier promet un "soutien complet" à l'Ukraine.
"L'accord de coalition est le signe d'un nouveau départ et d'un signal fort pour notre pays", a déclaré M. Merz lors d'une conférence de presse à Berlin. Et d'assurer que "l'Europe peut compter sur l'Allemagne" et son futur gouvernement face aux bouleversements économiques et géopolitiques en cours.
Le nouveau gouvernement promet son soutien à l'Ukraine et veut augmenter "significativement" ses dépenses de défense. "Nous apporterons un soutien complet à l'Ukraine afin qu'elle puisse se défendre efficacement contre l'agresseur russe et s'affirmer dans les négociations", est-il écrit dans le texte de coalition entre conservateurs de Friedrich Merz et sociaux-démocrates présenté mercredi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Hérault: arrêt d'un parc éolien ordonné après la mort d'un aigle
Le tribunal de Montpellier a ordonné mercredi l'arrêt pour un an du parc éolien de Bernagues (Hérault). Il a jugé ses exploitants responsables de la mort d'un aigle royal, 3 jours après avoir ordonné l'arrêt pour 4 mois des éoliennes d'Aumelas, aussi dans l'Hérault.
Le tribunal a ordonné l'"exécution provisoire" de la mesure "pour éviter la réitération de l'infraction", a précisé le président de la chambre correctionnelle.
La société Energie Renouvelable du Languedoc (ERL), filiale du groupe Valeco, qui exploite sept éoliennes sur le massif de l'Escandorgue, sur les contreforts du Massif central, a également été condamnée à 200'000 euros d'amende, dont 100'000 avec sursis, et son dirigeant, François Daumard, a écopé d'une amende de 40'000 euros, dont 20'000 avec sursis.
Système de détection défectueux
Le 10 janvier 2023, vers 08H15, un aigle royal muni d'un GPS, volant à 50 km/h, avait percuté une pale d'une des sept éoliennes de Bernagues, selon le rapport d'enquête sur cet incident de l'Office français de la biodiversité (OFB).
L'OFB avait mis en évidence un "dysfonctionnement du système de détection des oiseaux" lors de l'approche de l'aigle, qui avait, après avoir été percuté, "chuté lourdement" au pied de l'éolienne, où il sera retrouvé six jours plus tard.
Espèce protégée
L'oiseau, qui appartient à une espèce protégée, était le mâle reproducteur d'un couple ayant installé son nid dès 2008 à trois kilomètres du lieu où ERL a construit ses éoliennes en 2016, selon France Nature Environnement (FNE), l'une des six associations parties civiles dans cette affaire.
Le tribunal a condamné ERL et son dirigeant à verser un total de 35'000 euros à ces six associations au titre de dommages et intérêts, ainsi que 3000 euros au titre de réparation du préjudice écologique et 1000 pour les frais de justice à chacune d'entre elles.
Autre réseau d'éoliennes arrêté
Dans une décision qui constituait alors une première sur le plan pénal, le tribunal de Montpellier avait déjà ordonné lundi l'arrêt pour quatre mois des 31 éoliennes du parc d'Aumelas, également situé dans l'Hérault, soit la période de présence sur le site du faucon crécerellette, et infligé de lourdes amendes à la société EDF Renouvelables et neuf de ses filiales, jugées responsables de la mort de 160 oiseaux d'espèces protégées.
Il avait aussi condamné chacune des 10 sociétés à 500'000 euros d'amende (dont 250'000 avec sursis) et l'ex-PDG d'EDF Renouvelables, Bruno Bensasson, à six mois de prison avec sursis et 100'000 euros d'amende (dont 30'000 avec sursis).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Gaza: les secours annoncent 23 morts dans une frappe israélienne
Une attaque israélienne a tué mercredi à Gaza au moins 23 Palestiniens, dont des enfants, selon la Défense civile locale. L'armée israélienne affirme avoir ciblé un commandant du mouvement islamiste Hamas.
La frappe a visé le quartier de Choujaïya à Gaza-ville, dans le nord du territoire palestinien dévasté et assiégé par Israël depuis le début, il y a 18 mois, de la guerre déclenchée par l'attaque du Hamas dans le sud israélien le 7 octobre 2023, dernier épisode du long conflit israélo-palestinien.
"Plusieurs missiles" ont ciblé un immeuble de quatre étages et la zone alentour où se trouvaient des tentes de déplacés, a raconté Ayoub Salim, 26 ans, un habitant de Choujaïya.
"Des éclats ont volé dans toutes les directions (...). On entendait les cris des gens paniqués", a-t-il ajouté, décrivant "une scène terrifiante" et faisant état de corps déchiquetés et d'autres ensevelis sous les décombres.
Huit enfants et huit femmes tués
Le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal, a recensé "23 martyrs dont huit enfants et huit femmes" et plus de 60 blessés dans le raid.
Les secouristes, accourus sur place, ont "extrait les corps de femmes et d'enfants. Il y a encore des personnes ensevelies sous les décombres", a indiqué l'un d'eux, Ibrahim Abou al-Rish, à l'AFP.
"Le bâtiment abritait de nombreuses personnes qui se croyaient en sécurité. Il a explosé au-dessus de leurs têtes", a-t-il dit. Plusieurs enfants jouaient à l'intérieur au moment de la frappe "qui a ciblé l'habitation et détruit toute la zone", selon lui.
"L'un des pires actes odieux de génocide"
Interrogée par l'AFP, l'armée israélienne a indiqué avoir "frappé un terroriste de haut rang du Hamas qui était responsable de la planification et de l'exécution d'attaques terroristes" depuis ce secteur. Elle a assuré avoir "pris nombre de mesures pour limiter les dommages aux civils".
L'armée n'a pas précisé l'identité du membre du Hamas visé et accusé de nouveau ce mouvement palestinien islamiste d'utiliser les civils comme des "boucliers humains". Le Hamas a condamné la frappe comme "l'un des pires actes odieux de génocide".
"L'armée d'occupation terroriste sioniste a commis un massacre en bombardant une zone résidentielle densément peuplée de civils et de déplacés", a-t-il affirmé dans un communiqué.
"Administration américaine complice"
"Ces massacres incessants contre notre peuple sans défense - avec le soutien total de l'administration américaine, complice de cette agression - sont une tâche sur la conscience de la communauté internationale", a-t-il ajouté.
Après deux mois de trêve dans la guerre à Gaza, l'armée israélienne a repris le 18 mars ses bombardements aériens puis son offensive terrestre afin de contraindre, selon Israël, le Hamas à libérer les otages israéliens qu'il retient encore.
Près de 51'000 morts
Mercredi, le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a annoncé que 1482 personnes avaient été tuées depuis la reprise des opérations israéliennes.
Selon le ministère, le bilan total depuis le début de la guerre, s'élève désormais à 50'846 morts dans la bande de Gaza dévastée et assiégée, des données jugées fiables par l'ONU.
Un membre du bureau politique du Hamas, Hossam Badran, a jugé mardi "nécessaire de parvenir à un cessez-le-feu", ajoutant que le contact avec les médiateurs qui avaient négocié la trêve de deux mois entrée en vigueur le 19 janvier était maintenu, mais qu'aucune nouvelle proposition n'était sur la table.
Lors d'une rencontre à Washington lundi avec Donald Trump, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lui affirmé travailler à un nouvel "accord" sur la libération des otages. Sur les 251 personnes enlevées en Israël le 7-octobre, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 mortes selon l'armée israélienne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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