Culture
Profit trimestriel record de 36 milliards de dollars pour Apple
Apple a réalisé 124,3 milliards de dollars de chiffre d'affaires au premier trimestre de son exercice décalé, dont le groupe américain a dégagé un bénéfice net record de 36,3 milliards, mais les ventes de son produit phare, l'iPhone, sont inférieures aux attentes.
Sa première gamme de smartphones avec de l'intelligence artificielle (IA) générative, les iPhone 16, part moins vite qu'espéré, notamment en Chine.
En tout, les recettes des iPhone se sont élevées à un peu plus de 69 milliards de dollars pendant la saison des fêtes.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Douglas Kennedy va enseigner un semestre à l'Université de Lausanne
Douglas Kennedy est l'invité de marque de l'Université de Lausanne (UNIL) pour le semestre de printemps. L'écrivain américain, auteur de nombreux best-sellers, dispensera une fois par semaine un cours sur l'écriture romanesque.
Son cours, réparti sur quatorze séances, est intégré au programme d'enseignement de la Section d'anglais de la Faculté des lettres. Il prévoit un enseignement axé sur "l'art et la pratique de l'écriture fictionnelle", indique l'UNIL sur son site internet. Cela sera l'occasion "de réfléchir à la question de la recherche-création" et représentera "une occasion précieuse pour les étudiantes et étudiants attirés par la création littéraire."
L'enseignement de Douglas Kennedy va combiner des lectures de textes littéraires (principalement anglophones) à une série d'exercices d'écriture, lesquels aboutiront à la production d'une nouvelle rédigée par chaque étudiant.
Agé de 70 ans, le New-Yorkais s'est fait connaître avec ses romans "L'Homme qui voulait vivre sa vie" (1997), "La Poursuite du bonheur" (2001), "Les Charmes discrets de la vie conjugale" (2005) ou encore "La Femme du Ve" (2007). Ses livres ont séduit un large public pour leur suspense, mais aussi pour la façon dont leur auteur décortique la condition humaine et les travers de la société américaine. Son dernier ouvrage, "Ailleurs, chez moi", a paru l'an dernier.
Chevalier des Arts et des Lettres en France, Douglas Kennedy a publié près de 30 livres, traduits dans une vingtaine de langues et vendus à plus de huit millions d'exemplaires.
Fan de la Cinémathèque et de l'OCL
Pour lancer son semestre lausannois, Douglas Kennedy donnera une première conférence ce mardi à la salle Métropole. Le lendemain, il sera à l'Amphimax de l'UNIL pour un événement organisé par la Faculté des lettres avec le soutien de la Société académique vaudoise et de la Fondation pour l'Université de Lausanne. A cette occasion, il partagera les réflexions, inspirations et défis rencontrés au fil de sa carrière d'écrivain.
Francophile et parfaitement bilingue, Douglas Kennedy connaît bien Lausanne. Dans une récente interview accordée à L'Illustré, il disait "adorer" la capitale vaudoise, à commencer par ses institutions culturelles. "La Cinémathèque suisse est formidable, l'Orchestre de chambre de Lausanne l'un des meilleurs du monde et Chorus un bon club de jazz", relevait-il, rappelant que la musique et le cinéma étaient ses deux passions.
Outre Lausanne, Douglas Kennedy sera également présent en mars du côté de Genève pour la 23e édition du Festival international du film sur les droits humains (FIFDH). Il interviendra dans le cadre d'une table ronde intitulée "Où vont les Etats-Unis?".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le réalisateur Ali Abbasi s'excuse après avoir peloté un acteur
Le réalisateur du film sur la jeunesse du président américain Donald Trump, Ali Abbasi, s'est excusé samedi après avoir été épinglé pour avoir peloté un acteur lors d'une soirée en marge de Golden Globes. Il a reconnu un geste "trop familier" qui a créé du malaise.
Vendredi, le site spécialisé The Hollywood Reporter a affirmé dans un article que le cinéaste danois et iranien a été lâché par son agence, Creative Artists Agency (CAA), parce qu'un acteur s'était plaint d'avoir été peloté par le réalisateur lors d'une soirée de CAA en marge de la cérémonie des prix des Golden Globes, le 5 janvier dernier à Beverly Hills.
"Je comprends tout à fait que mes actes ont créé un malaise chez quelqu'un, quelles qu'aient été mes intentions. Et j'en suis profondément désolé", a réagi le réalisateur samedi sur le réseau social X.
Ali Abbasi a expliqué avoir eu "un geste trop familier, une tape sur le derrière", qu'il n'a pas "du tout perçue comme ayant un caractère sexuel", avec quelqu'un qu'il était "content de retrouver".
Une scène de viol
"Je me suis vite rendu compte que j'avais mal évalué la situation. Je me suis excusé auprès de lui sur-le-champ et je me suis assuré que ces excuses soient réitérées le lendemain par le biais de mes représentants", a écrit Ali Abbasi.
Le réalisateur a démenti avoir été lâché pour cette raison par CAA, assurant que cette séparation était due à un choix de carrière de long terme. "J'ai commis une erreur [...] Je me suis excusé", a-t-il ajouté, en espérant, à une semaine de la cérémonie des Oscars, que l'attention resterait portée sur le film et ses équipes.
Biopic explosif sur les débuts dans les affaires du président des Etats-Unis, "The Apprentice" concourt aux Oscars dans les catégories meilleur acteur, avec Sebastian Stan pour son rôle de Donald Trump, et meilleur acteur dans un second rôle, avec Jeremy Strong, qui joue son premier mentor, l'avocat à la réputation sulfureuse et impitoyable Roy Cohn.
Une scène du film dépeint Donald Trump en train de violer son ex-femme, Ivana, décédée en 2022. Ali Abbasi dit s'être inspiré d'accusations réelles d'Ivana Trump durant sa procédure de divorce avec le milliardaire républicain, qu'elle avait finalement retirées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
L'amour au féminin et Rosa Byrne en mère à bout primés à Berlin
La 75e Berlinale a mis le focus sur les femmes en décernant samedi son Ours d'or à un film norvégien sur les premiers émois amoureux, "Dreams", et récompensé l'actrice australienne Rose Byrne, pour son interprétation d'une mère au bout du rouleau.
A la veille d'élections législatives cruciales en Allemagne, et un mois après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, la soirée de clôture a été émaillée de plusieurs prises de position politiques.
Mais le président du jury, le réalisateur américain Todd Haynes, s'en est tenu au cinéma: "en compétition, il y avait tellement de films avec des femmes derrière et devant la caméra, racontant des histoires sur des vies de femmes et leurs expériences, que ça a produit une très forte impression sur nous", a-t-il déclaré.
A commencer par l'Ours d'or, qui met en scène trois générations de femmes: "Dreams" suit une jeune étudiante de 17 ans, qui tombe amoureuse de sa professeure, et montre les répercussions de cette passion sur sa mère et sa grand-mère.
Pour le magazine américain Variety, ce long-métrage livre "une exploration subtile mais nuancée de l'éveil amoureux, du déséquilibre des pouvoirs et de la catharsis créative. The Guardian a salué un film "malin, espiègle et bavard".
"Dreams" est, après "Sex" et "Love", le troisième volet d'une trilogie à Oslo, dont les deux premiers avaient été présentés à Berlin et Venise. Les trois doivent sortir en France le 2 juillet.
L'autre star de la soirée est l'actrice australienne Rose Byrne, prix d'interprétation pour son rôle dans "If I Had Legs I'd Kick You". Ce film coup de poing de l'Américaine Mary Bronstein renouvelle le regard sur la maternité et les injonctions et pressions sociales auxquelles sont soumises les mères.
L'Irlandais Andrew Scott repart avec le prix du meilleur rôle secondaire pour "Blue Moon" de Richard Linklater.
"Sous pression de toutes parts"
La Berlinale avait débuté sur une note très politique, rythmée par les prises de position contre Donald Trump de Tilda Swinton, invitée d'honneur, ou de Todd Haynes. La cérémonie de clôture a poursuivi sur ce ton, à la veille d'élections législatives anticipées dimanche en Allemagne, où l'extrême droite de l'AfD espère un score historique.
Le réalisateur roumain Radu Jude, figure du cinéma d'auteur radical, a mis les pieds dans le plat: "Comme il y a des élections ici demain, j'espère que, l'an prochain, le festival n'ouvrira pas avec +Le triomphe de la volonté+ de Leni Riefenstahl", l'un des plus célèbres films de propagande nazie de l'Allemagne hitlérienne.
Celui qui repart avec un prix du meilleur scénario pour "Kontinental'25" a également dit espérer "davantage de solidarité en Europe, en ces temps où nous sommes sous pression de toutes parts".
L'an dernier, une vive polémique avait éclaté en Allemagne après des déclarations sur scène condamnant la guerre israélienne à Gaza, sans mentionner en même temps l'attaque du Hamas sur Israël qui l'a déclenchée, ni le sort des otages.
Cette année, le prix du documentaire est allé à un film sur la famille d'un otage du Hamas, Liat Beinin Atzili, tourné après son enlèvement le 7 octobre 2023. Filmer "les nuances d'une famille, explorer leurs différences, leur chagrin et leur empathie pour les autres semble quelque chose d'universel et d'urgent, maintenant plus que jamais", a souligné son réalisateur Brandon Kramer.
Membre du jury de l'une des sections parallèles, la réalisatrice canado-tunisienne Meryam Joobeur, montée sur scène pour remettre le prix du meilleur premier film à une oeuvre mexicaine, a appelé à "ne pas abandonner notre devoir sacré envers les enfants, quelles que soient leur religion, couleur de peau ou identité". Elle a dénoncé "l'anéantissement de milliers d'enfants, réduit à de simples dommages collatéraux par les politiques et les médias".
Cette 75e Berlinale était aussi un test pour sa nouvelle directrice, l'Américaine Tricia Tuttle. Elle est parvenue à faire venir sur le tapis rouge l'un des favoris des Oscars en mars, Timothée Chalamet, ainsi que l'équipe de "Mickey 17", le nouveau film de Bong Joon-ho avec Robert Pattinson.
Deux films suisses étaient en compétition à Berlin: "La cache" de Lionel Baier et la coproduction "Mother's baby".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Des airs qui parlent du Léman au Pont de la Machine
Quartier SIG propose une exposition musicale originale du 5 mars au 29 juin au Pont de la Machine à Genève. Réalisée et présentée au Musée du Léman de 2022 à 2024, "Ici, le lac ressemble à la mer" rassemble 40 chansons évoquant des paysages et des eaux du lac. Parmi elles, onze ont été enregistrées par des artistes romands.
Le Léman et ses rivages enchanteurs inspirent depuis des siècles de nombreux artistes, peintres, poètes, compositeurs ou cinéastes. Parmi ces ½uvres, les chansons sont souvent les plus méconnues, relève SIG dans un communiqué.
A travers une scénographie immersive et interactive, le visiteur écoute, découvre ou redécouvre aujourd'hui les airs du Léman en version originale. Ces chansons sont présentées sur une grande fresque représentant le lac permettant de localiser les lieux évoqués dans les textes.
Sur la soixantaine de titres recensés par le Musée du Léman, 40 sont présentés à Quartier Libre SIG. Ces mélodies dont les premières datent du 19e siècle ont toutes comme point commun: rendre hommage à l'emblématique lac, à sa nature et à ses rivages.
De tous horizons
Cet univers sonore hétéroclite, fait de ballades, de tubes internationaux et de mélodies inconnues, est le fruit d'artistes de tous horizons, de célèbres musiciens ou d'anonymes auteurs de talent. Parmi eux, Prince, Queen, Marie Laforêt ou Sarclo.
Pour donner un coup de modernité à cet univers sonore, onze chansons ont été interprétées dans des versions nouvelles par des artistes suisses d'aujourd'hui, Aliose, Jérémie Kisling, François Vé, Marc Aymon, Michel Bühler ou encore Milla. Ces onze mélodies sont illustrées par les couleurs vives du peintre Cyrille Chatelain, qui s'est inspiré des airs et des paroles.
"Cette exposition est née d'une idée folle de Marc Aymon: accrocher des chansons aux murs d'un musée. Tout de suite, son idée me plaît. Créer une exposition qui se donne autant à voir, qu'à écouter, est un défi que j'ai eu envie de relever", a raconté Lionel Gauthier, commissaire d'exposition et conservateur du Musée du Léman, cité dans le communiqué. Des visites guidées et des animations sont proposées sur inscription.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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