Culture
Le nouveau Musée d'histoire naturelle de Fribourg ouvrira en 2028

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Le Musée d’histoire naturelle de Fribourg (MHNF) devrait ouvrir ses portes sur son nouveau site à la route des Arsenaux en 2028. Le Conseil d'Etat demande au Grand Conseil, pour concrétiser le projet, un crédit d'engagement de 65,5 millions de francs.
La phase d’études et d’appel d’offres partiel est terminée, se sont réjouies lundi la Direction des affaires culturelles et celle des infrastructures. Un pas qui permet de passer à l’élaboration d’un projet détaillé pour la transformation de l'ancien arsenal et la réalisation de la nouvelle exposition permanente sur deux étages.
Les coûts s'élèvent à 60,3 millions de francs pour le bâtiment et à 10,8 millions pour l'exposition permanente, précise le communiqué. Déduction faite du crédit d'étude de 5,6 millions, le gouvernement demandera aux députés, cet automne encore a priori, un crédit d'engagement de 65,5 millions pour la concrétisation du projet.
Votation en 2023
La votation populaire devrait avoir lieu courant 2023. Dès l'octroi du permis de construire, les travaux pourront débuter, tout comme le lancement du concours de scénographie pour l'exposition permanente. Les travaux de construction du bâtiment devraient durer environ quatre ans, avec une ouverture du nouveau musée au public en 2028.
L'agrandissement et de la modernisation du MHNF sont souhaités depuis des décennies. L'institution, bientôt bicentenaire, disposera des infrastructures nécessaires pour offrir au public une expérience muséale de qualité, tout en continuant de développer, étudier et valoriser ses collections scientifiques, conformément à sa mission.
Dans son nouvel écrin, le MHNF gagnera en attractivité dans le paysage muséal du 21e siècle, tant sur le plan cantonal que national, et contribuera au rayonnement du canton et de la ville. En tant que centre culturel vivant, il participera au développement du quartier des Arsenaux, en faveur de la population également.
Surfaces doublées
Le musée intéressera aussi les visiteurs extérieurs, en étoffant au passage l’offre touristique. Le projet architectural du bureau fribourgeois Zamparo Architectes résout les problèmes actuels d'infrastructure du musée, tout en valorisant un bâtiment historique protégé en le rénovant et en le mettant à disposition du public.
Le projet comprend en outre des jardins dédiés à la sensibilisation et au soutien à la biodiversité, selon le communiqué des deux directions. Grâce à la surélévation du bâtiment, le nouveau musée offrira un total de 6064 mètres carrés de surfaces utiles, soit pratiquement le double des surfaces disponibles aujourd'hui.
L'augmentation concerne principalement les espaces destinés au public, poursuit le communiqué. Le projet accorde une attention particulière à l’utilisation du bois, en conservant la structure historique du bâtiment et en utilisant de l'épicéa provenant des forêts du canton pour les nouveaux éléments.
Elément de communication
Le caractère de l’ancien arsenal sera ainsi préservé, tout comme l’atmosphère chaleureuse du musée actuel. Le nouveau bâtiment répondra au standard Minergie-P. L'accès aux personnes à mobilité réduite est garanti. Au coeur du projet, le foyer bénéficiera d’un volume généreux et accueillera réception, cafétéria et boutique.
La grande cage d’escalier centrale, inondée de lumière, a été conçue comme un élément de communication et de liaison entre les différents espaces muséaux. Un peu plus de 2200 mètres carrés sont prévus pour les expositions permanentes et temporaires.
La nouvelle exposition permanente développera des thématiques globales et régionales liées à la nature. Dans la surélévation, un grand espace sera consacré aux expositions temporaires. Enfin, les collections scientifiques seront hébergées dans le futur centre de stockage interinstitutionnel cantonal (SIC), à Givisiez.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Quatre jours pour découvrir la Croix-Rouge et ses valeurs
Les valeurs humanitaires seront à l'honneur à Genève du 7 au 10 mai à l'occasion de la Journée mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (JMCR). Spectacles et visites guidées figurent au programme de ces quatre journées.
Le 8 mai est le jour anniversaire de la naissance du fondateur du Mouvement de la Croix-Rouge, le Genevois Henry Dunant. L'occasion, pour le comité de la JMCR, de mettre en avant les valeurs humanitaires ainsi que l'engagement de plus de 16 millions de volontaires dans le monde. Au vu des enjeux qui pèsent sur la Genève internationale, cette édition se veut aussi signe d'espoir.
Du mercredi au samedi, le parc des Bastions abritera un "village" où les différents acteurs du mouvement présenteront leurs activités sur des stands d'information. Contes, exercices de simulation cardiaque, jeu de piste ou encore démonstrations avec des chiens de sauvetage figurent parmi les animations qui seront proposées.
Sphère miroir
Le jeudi, le Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (MICR) organisera, dans ses murs, des ateliers et une visite de l'exposition temporaire. Le samedi, des visites guidées au centre-ville feront le tour des lieux où le plus grand mouvement humanitaire au monde a vu le jour et où le droit humanitaire international s'est développé.
Côté artistique, le parc des Bastions accueillera un spectacle de danse sur le thème de l'universalité, une pièce de théâtre de Serge Bimpage sur la vie d'Henry Dunant, incarné par Vincent Aubert, et un concert de la Fanfare du Loup. Et une sphère miroir de dix mètres de diamètre, créée par François Abélanet et reflétant les principes fondamentaux du mouvement, y sera installée.
Tous les événements sont gratuits, sauf ceux au MICR, et certains d'entre eux nécessitent une inscription préalable. A noter encore que le drapeau du mouvement flottera sur de nombreux édifices, que le Jet d'eau sera illuminé de rouge et que les statues des pères fondateurs du premier comité de la Croix-Rouge seront drapées pour la JMCR.
www.croix-rouge-ge.ch/nos-evenements
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Grandson met en lumière ses liens invisibles avec le Japon
A découvrir jusqu'à la fin mai à Grandson (VD), "Yatagarasu Grandson-Japon, une histoire de corbeaux" propose un dialogue entre patrimoine suisse et culture japonaise. A travers des arts visuels, des conférences et des ateliers participatifs, la manifestation rend hommage au Yatagarasu, le corbeau mythologique japonais.
"Yatagarasu" propose un parcours immersif mêlant installations, photographies, calligraphies et empreintes naturelles. Ce projet s'inspire des similitudes entre le blason de Grandson et la mythologie japonaise, ainsi que par la forte présence du corbeau dans ces deux cultures.
Une rencontre littéraire avec Corinne Atlan, traductrice et spécialiste du Japon, sera organisée autour de son livre "Haïkus de Kyoto". Parmi les temps forts figurent également des échanges avec les auteurs Sophie Gallé-Soas, Guillaume Gagnière et Florence Marville.
Le public pourra prendre part à des ateliers de calligraphie, d'haïkus, d'origami et à une cérémonie du thé. De plus, un "popup store" sera dédié à l'artisanat japonais.
Patronné par l'Ambassade du Japon en Suisse, l'événement prendra place dans différents lieux à Grandson jusqu'au 28 mai 2025. Le vernissage de l'exposition est programmé le 1er mai à l'Ancien Couvent des Cordeliers.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'UNIGE propose un nouveau festival culturel ouvert au public
Carac est le nom qui a été donné au nouveau festival culturel de l'Université de Genève (UNIGE). La manifestation se déroule jusqu'au 25 mai. A l'initiative des associations et troupes universitaires, elle propose des dizaines d'événements dans divers lieux.
Carac Festival s'adresse tant à la communauté universitaire qu'au grand public, indique l'UNIGE dans un communiqué. La grande majorité des événements programmés est gratuite et ouverte à tous. Le public aura le choix entre du théâtre, de la danse, des concerts, du cinéma, des ateliers d'arts manuels, des jeux et une exposition.
Le choeur des musiques actuelles donnera une représentation au Temple de la Madeleine. Le choeur de gospel, lui, réchauffera les âmes au Temple de Plainpalais, qui abritera aussi une soirée cabaret. Le choeur de l'Université, pour sa part, aura les honneurs de la scène du Victoria Hall.
L'UNIGE compte près de 150 associations étudiantes actives dans de nombreux domaines. Ces structures ont pour but premier de favoriser l'échange et l'émulation au sein de l'institution.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Tessino-Neuchâtelois Luca Brunoni écrit désormais en français
Le Tessinois Luca Brunoni continue sa route d'écrivain, même s'il est toujours professeur de droit à la HEG de Neuchâtel. Après le succès de "Les silences" paru en 2023 et traduit de l'italien, il vient de sortir "En surface", son premier roman rédigé directement en français.
"Mon premier jet était en italien. Ma langue maternelle permet à l'écriture de fuser et de donner un rythme et ensuite, lorsque l’histoire est en place, je retravaille le tout en français", a déclaré à Keystone-ATS Luca Brunoni.
Avec "En surface", son premier roman écrit directement en français le 2e publié par Finitude, Luca Brunoni décrit le réveil d'une femme endormie qui vivait en surface et qui se demande si elle doit livrer son fils à la justice. L'intrigue principale se passe autour du lac, non situé par l'auteur, mais qui pourrait correspondre à celui de la Vallée de Joux (VD).
Les traitements, infligés par le passé aux personnes déclassées par la société, hantent les romans du Tessinois. Dans "les silences", la thématique des enfants placés chez des paysans d'un village de montagne était mise en lumière et dans "En surface" est abordée la question des filles mères, dont on donnait les enfants à l'adoption.
Plusieurs solitaires ou marginaux gravitent dans le roman, dont certains logent dans un camping d'une petite station touristique hors saison. Le livre se lit facilement avec des dialogues bien menés, des personnages attachants et une intrigue qui donne envie au lecteur d'avancer dans l'histoire.
En lice pour plusieurs prix
Le roman a eu un bon accueil au Festival du livre de Paris. Il est en lice pour plusieurs prix littéraires.
Les livres de Luca Brunoni s’insèrent dans l’univers du roman noir, même si ce ne sont pas des thrillers et même s'ils ne sont pas forcément très sombres. Avant "En surface", l'écrivain a sorti "Indelebile", écrit en italien, qui évoque la situation de Lugano, au début des années 2000, où il y avait alors de gros problèmes de trafic de drogue.
La version originale de "Les silences", en italien, a gagné le prix Leggimontagna et a connu une certaine notoriété. Il a tapé dans l'oeil de l'écrivain Joseph Incardona, qui a proposé à sa maison d'édition Finitude, basée à Bordeaux (F), de le traduire en français.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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