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Culture

Disney lève le voile sur les prochains "Avatar" et "Star Wars"

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Après une série, le Mandalorien va revenir dans le prochain film "Star Wars" (archives). (© KEYSTONE/EPA EFE/JAVIER LIZON)

"Feu et cendres" sera le titre du prochain "Avatar", a révélé vendredi Disney. Quant au nouveau volet de la saga "Star Wars", il sortira en 2026, sept ans après le dernier épisode.

James Cameron, réalisateur d'"Avatar", a annoncé en personne le nom ("Fire and Ash", en anglais) du nouveau volet de sa franchise de science-fiction. Sa sortie n'est pas prévue avant décembre 2025.

"Le nouveau film n'est pas ce que vous attendez. Mais c'est sans aucun doute ce que vous voulez", a promis le réalisateur canadien. Les deux précédents "Avatar" figurent parmi les trois films les plus rentables de tous les temps, avec des recettes cumulées de 5,2 milliards de dollars.

Des images du nouveau film, actuellement en production en Nouvelle-Zélande, montrent les personnages emblématiques de la saga, les Na'vis, un peuple autochtone de la planète imaginaire Pandora, dansant autour d'un feu de camp, mais aussi des images de vaisseaux géants flottants et de bêtes volantes.

"The Mandalorian and Grogu"

James Cameron a aussi promis "de nouvelles cultures, de nouveaux décors, de nouvelles créatures et de nouveaux biomes". "Vous verrez beaucoup plus de choses que Pandora, la planète, que vous n'avez jamais vues auparavant", a-t-il assuré. Les quatrième et cinquième volets d'"Avatar" sont prévus pour 2029 et 2031.

Autre saga, les fans de Disney ont également eu vendredi un premier aperçu de "The Mandalorian and Grogu" (Le Mandalorien et Grogu, en français), dont la sortie est prévue pour mai 2026. Quelques images dévoilées montrent la célèbre créature verte aux longues oreilles et son ami chasseur de primes sur une planète enneigée.

Il s'agira du premier "Star Wars" depuis "L'Ascension de Skywalker" en 2019. Disney, qui produisait jusqu'alors un nouveau "Star Wars" chaque année, a donné un coup de frein spectaculaire face à la baisse des recettes au box-office.

Toujours sur la franchise "Star Wars", mais du côté des séries cette fois, l'acteur Jude Law incarnera un Jedi dans "Skeleton Crew", diffusée en décembre sur la plateforme de streaming Disney+. Lui aussi présent au grand raout de Disney en Californie, Jude Law a promis une série "dans l'esprit des films sur le passage à l'âge adulte des années 1980, comme 'Les Goonies' et 'E.T.'".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Musée d'art de Pully se met à la figuration narrative

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Une personne regarde le tableau "La Vitre brisée" de Fernand Teyssier dans l'exposition "Figuration narrative, un autre langage pop" au Musee d'art de Pully. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Musée d'art de Pully consacre sa nouvelle exposition à la figuration narrative. Au travers de plus de 80 oeuvres, il propose de (re)découvrir un mouvement souvent méconnu de la scène artistique française des années 1960 et 1970.

A voir jusqu'au 15 décembre, les oeuvres proviennent de la Fondation Gandur pour l'Art de Genève, qui organise conjointement l'exposition, indique le musée pulliéran dans son communiqué de presse.

Il y rappelle que la figuration narrative est née à Paris au début des années 1960, où elle émerge "en réaction aux différents courants abstraits" dominant la scène artistique de l'époque. Nourrie de l'actualité politique, sociale, économique et culturelle, elle entretient "des liens esthétiques étroits avec le pop art anglo-saxon, tout en conservant son identité propre".

Critique et ironique

A Pully, l'exposition est divisée en six sections thématiques. Celles-ci montrent comment les artistes ont utilisé les images de la pop culture, de la bande dessinée, de la photographie, du cinéma ou de la publicité "pour développer un langage pictural porteur d'un engagement politique et social basé sur la représentation du quotidien".

Les artistes exposés à Pully viennent majoritairement de France, mais aussi d'autres pays européens. Leur regard est "à la fois critique et ironique" sur les années 1960-1970, deux décennies marquées notamment par la guerre froide et l'essor de la société de consommation des Trente Glorieuses.

Ces artistes ont su insuffler à leurs oeuvres "une réflexion authentique sur la production et la réception des images des médias de masse, ainsi que sur leur impact dans notre société contemporaine", résume le musée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Musée Jenisch présente le peintre-graveur Ferdinand Springer

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La nouvelle exposition au Pavillon de l'estampe du Musée Jenisch à Vevey est à découvrir jusqu'au 12 janvier prochain (archives). (© KEYSTONE/NOEMI CINELLI)

A la suite d'une donation exceptionnelle, le Musée Jenisch à Vevey expose dès vendredi des oeuvres du peintre-graveur Ferdinand Springer (1907-1998). A la croisée entre plusieurs disciplines artistiques, elles sont à découvrir au Pavillon de l'estampe jusqu'au 12 janvier prochain.

Né à Berlin d'un père allemand et d'une mère suisse, Ferdinand Springer étudie l'histoire de l'art et la philosophie à Zurich. Il commence sa carrière artistique en tant que peintre à Milan puis à Paris. Dans les années 30, toujours dans la ville lumière, "il se familiarise avec le médium de l'estampe", attiré par son aspect "artisanal" et se découvre une passion pour le burin, raconte l'institution veveysanne dans son dossier de presse.

Ferdinand Springer expose ses oeuvres à Paris, Bâle et New York, puis installe en 1938 son atelier à Grasse (F). Avec la Seconde Guerre mondiale, il est interné environ un an dans un camp en Provence en raison de sa nationalité allemande.

De retour à Grasse, sa pratique artistique change. De graveur figuratif, "il s'oriente alors peu à peu vers l'abstraction, jouant avec des formes colorées au sein de compositions linéaires", poursuit le document.

Influences multiples

En 1942, il se réfugie dans l'Oberland bernois et découvre l'oeuvre de Paul Klee, qu'il décrit comme un véritable "choc émotionnel et artistique". Après la guerre, il retourne en France et se consacre avant tout à l'estampe et aux expérimentations techniques.

Dès les années 1960, il s'intéresse aux civilisations anciennes comme les cultures amérindiennes, les Aborigènes d'Australie ou l'Egypte ancienne. Son oeuvre est également marquée par une grande sensibilité à la musique. Ses combinaisons de formes "rappelant même parfois les portées d'une partition".

La nature occupe également une place de plus en plus importante dans son oeuvre avec "des formes suggérant végétaux, pierres aux textures et couleurs diverses dont la surface a été patinée par le temps". Le motif des galets lui parle particulièrement, comme en témoigne l'affiche de l'exposition.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Harris est arrivée à Philadelphie à la veille du débat avec Trump

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La Vice-présidente Kamala Harris a atterri hier en fin d'après-midi à Philadelphie, la ville de Pennsylvanie où la démocratie américaine a vu le jour. (© KEYSTONE/AP/Jacquelyn Martin)

Kamala Harris est arrivée lundi à Philadelphie, à la veille de son débat très attendu face à Donald Trump, dans une présidentielle que tous les sondages prédisent extrêmement serrée.

La vice-présidente a atterri en fin d'après-midi dans cette ville de Pennsylvanie où la démocratie américaine a vu le jour.

L'ancien président républicain s'y rendra lui mardi, vers 18h30 locales (00h30 Heure Suisse), quelques heures seulement avant la confrontation organisée dans cet Etat déterminant en vue du scrutin du 5 novembre.

Dans une interview enregistrée la semaine dernière et dont un extrait a été diffusé lundi sur X par son camp, Kamala Harris juge que devant les caméras son rival utilisera "ses vieilles recettes éculées. Il n'a aucune limite dans la bassesse et nous devons être préparés à ça."

La démocrate de 59 ans, qui s'attend à ce que Donald Trump "dise de nombreux mensonges", veut attaquer son adversaire comme un homme "qui se bat pour ses propres intérêts, pas pour les Américains."

Avant ce temps fort annoncé d'une campagne hors normes, complètement chamboulée par le retrait en juillet du président Joe Biden, le camp démocrate a aussi diffusé lundi une nouvelle vidéo compilant de violentes critiques d'anciens grands noms de l'administration de Donald Trump, dont l'ancien vice-président Mike Pence, afin de décrire le milliardaire de 78 ans comme un "danger" pour le pays.

Une version plus détaillée du programme de Kamala Harris, qui fait campagne sur une promesse de "nouveau chemin", mais qui jusqu'ici a seulement distillé quelques propositions concrètes, vient par ailleurs d'être mise en ligne.

L'ancien président républicain a lui multiplié les apparitions publiques pendant que sa rivale passait l'essentiel des trois derniers jours retranchée à Pittsburgh, en Pennsylvanie, avec son équipe de préparation, ne sortant que pour une promenade avec son époux Doug Emhoff ou des emplettes dans une épicerie.

Sondages fluctuants

Une épicerie "anti-Trump", a fustigé le candidat républicain lundi, qui dans une publication sur sa plateforme Truth Social, a une nouvelle fois qualifié son opposante de "marxiste".

Samedi, le républicain avait prévenu qu'une fois de retour à la Maison Blanche, il imposerait de "longues peines de prison" à tous ceux qui, selon lui, prévoient de "tricher" en novembre.

Donald Trump, qui est poursuivi pour avoir cherché à renverser les résultats de la dernière élection, ne s'est pas engagé à concéder une éventuelle défaite.

La Pennsylvanie, avec ses 19 voix au collège électoral, et cette tendance à basculer d'un camp à l'autre, est l'un des "swing states" les plus convoités. Donald Trump avait remporté l'Etat de peu en 2016 et l'avait perdu d'un rien en 2020.

Comme les deux précédentes présidentielles, celle de 2024 pourrait se jouer à quelques milliers de voix dans certains comtés stratégiques de six ou sept Etats pivots, en raison du mode de scrutin au suffrage universel indirect.

Pour les intentions de vote à l'échelle nationale, les sondages donnent l'avantage tantôt à la démocrate, qui a réussi à galvaniser son parti, mais qui doit encore se faire connaître d'une bonne partie de la population, tantôt au républicain, dont le socle électoral ne semble entamé ni par ses ennuis judiciaires ni par ses déclarations outrancières ou décousues.

Une enquête d'opinion rendue publique lundi par ABC crédite Kamala Harris de 50% des intentions de vote contre 46% pour son rival parmi les Américains inscrits sur les listes électorales et de 52% contre 46% parmi les électeurs qui prévoient de se rendre aux urnes.

Une étude publiée dimanche par le New York Times donne l'ancien président, visé par une tentative d'assassinat en juillet, en avance d'un point sur la vice-présidente (48% contre 47).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le Digital Dreams Festival à l'UNIL attire près de 5000 personnes

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La première édition du Digital Dreams Festival à l'Université de Lausanne (UNIL) a offert une multitude d'activités et animations digitales. (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

La première édition du Digital Dreams Festival sur le campus de l'Université de Lausanne s'est terminée dimanche. Après les Numerik Games et la Maison d'Ailleurs à Yverdon, le nouveau projet de Marc Atallah dédié à la créativité numérique a attiré 4900 personnes.

"L'Association Digital Dreams Festival est extrêmement satisfaite de cette première édition", écrite-elle dimanche soir dans un communiqué. Les organisateurs avaient initialement indiqué s'attendre plutôt à une fourchette entre 5000 et 10'000 visiteurs sur trois jours de manifestation.

A titre de comparaison, les deux dernières éditions des Numerik Games à Yverdon-les-Bains, créés par Marc Atallah en 2016, avaient attiré 14'300 spectateurs en 2023 et 10'400 en 2022.

Pour rappel, le patron du Digital Dreams Festival et maître d'enseignement et de recherche à l'UNIL a passé douze ans à la tête de la Maison d'Ailleurs, musée yverdonnois de la science-fiction et des utopies qu'il a contribué à développer et à faire connaître. Il a démissionné en début d'année après qu'on a refusé son souhait de monter sur le site de l'UNIL un festival dédié au numérique.

Plus de 70 activités

De vendredi à dimanche, le nouveau festival a proposé des concerts, jeux vidéo, ateliers, conférences, diverses performances artistico-numériques, une silent disco (vendredi soir) ou encore une soirée techno (samedi). Le nouveau rendez-vous s'est décliné en six centres d'intérêt pour près de 70 activités au total: gaming, arts visuels, société, familles, littératures et soirées festives.

Coproduit avec l'UNIL, l'événement se veut "multidisciplinaire, intergénérationnel, tourné vers le futur et dédié aux créativités digitales", selon ses organisateurs. La manifestation est imaginée "autour des valeurs de communauté, de fête, de créativité et d'éducation", disent-ils.

Elle se veut aussi durable et inclusive. Elle s'est tenue en plein air et sous tente entre l'Anthropole et l'Internef, à l'entrée du campus universitaire en venant de Lausanne. Le budget se chiffre à quelque 650'000 francs. Une deuxième édition est prévue en septembre 2025, selon Marc Atallah.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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