Culture
De l'opéra au Vibiscum Festival Vevey
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Le festival Vibiscum à Vevey (VD) se met à l'opéra. Pour sa prochaine édition - du 30 mai au 2 juin -, il accueillera le ténor péruvien Juan Diego Florez, qui sera accompagné des Strumentisti del Teatro alla Scala de Milan et du Vevey Spring Classic Festival Orchestra.
Avant cette quatrième journée consacrée à l'opéra, le Vibiscum organisera une soirée "explosion de rock" avec les Anglais du groupe Crawlers et les Français de Shaka Ponk, en tournée d'adieux l'an prochain, ont annoncé jeudi les organisateurs.
La soirée rap réunira Benjamin Epps, Josman et Zola. Celle dédiée à l'électro verra notamment la présence du DJ et producteur belge Lost Frequencies. D'autres artistes viendront s'ajouter ultérieurement à ces différentes soirées.
L'an dernier pour sa deuxième édition, mais la première sur la place du Marché, le Vibiscum avait attiré plus de 32'000 spectateurs en trois soirs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Visions du Réel: The Prince of Nanawa et Les Vies d’Andrès primés
La réalisatrice argentine Clarisa Navas remporte le Grand Prix de la compétition Internationale longs métrages à Visions du Réels avec "The Prince of Nanawa". "Les Vies d’Andrès" du Fribourgeois Baptiste Janon et du Belge Rémi Pons remporte la compétition nationale.
"The Prince of Nanawa" suit sur 10 ans les métamorphoses d’Ángel, de l’enfance à l’âge adulte à la frontière entre l’Argentine et le Paraguay, indiquent les organisateurs vendredi. "The Vanishing Point" de l'Iranien Bani Khoshnoudi remporte la compétition Burning Lights. Le film brise le silence familial au sujet d’une cousine disparue, exécutée durant les purges de 1988 dans les prisons du régime iranien.
Du côté la compétition nationale, le film "Les Vies d’Andrès" met en lumière le quotidien de quatre chauffeurs routiers pris dans une spirale de performance et de contraintes logistiques, qu’il croise avec un roman sur un charretier du début du 20e siècle.
Le Prix du public revient à "Cutting Through Rocks" de Sara Khaki et Mohammadreza Eyni.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Nids de flamants roses détruits: société de production condamnée
Une société de production française a été jugée coupable vendredi de la destruction de 520 oeufs de flamants roses de Camargue lors du tournage d'un film en 2018, avec des ULM.
Le tribunal correctionnel a condamné Radar Film à 50'000 euros d'amende pour la "destruction non autorisée d'oeufs ou de nids" d'une espèce protégée, et à 2000 euros supplémentaires pour la "perturbation volontaire" et l'"atteinte à la conservation" des oiseaux.
Une partie du tournage du long-métrage "Donne-moi des ailes" de Nicolas Vanier, qui avait fait 1,5 million d'entrées en France en 2019, avait eu lieu au coeur d'un site protégé abritant le seul site de nidification en France des flamants roses.
La Camargue est une zone humide du sud-est de la France située entre les bras du Rhône et connue pour ses chevaux blancs et ses nuées de flamants roses.
Flamants roses paniqués
En juin 2018, deux ultralégers motorisés (ULM) de la production avaient survolé à basse altitude quelque 8000 flamants roses en pleine période de couvaison. Effrayés, les oiseaux s'étaient envolés, détruisant leurs nids dans la panique et abandonnant les oeufs. Environ 520 oeufs, soit 11,5% de la reproduction annuelle en France de cette espèce protégée, avaient ainsi été perdus.
A l'audience début mars, le parquet avait requis de "80'000 à 100'000 euros" à l'encontre de Radar Film, fustigeant sa "méconnaissance" des enjeux environnementaux".
Dans son jugement, le tribunal a accordé 10'000 euros de dommages moraux à six ONG parties civiles, et 2000 euros à l'association de défense de l'environnement Robins des bois pour réparation du préjudice écologique.
Les parties civiles demandaient plus de 400'000 euros de dommages moraux et de dommages environnementaux.
Le réalisateur Nicolas Vanier, le pilote de l'ULM qui s'était le plus approché des oiseaux et le directeur de la photographie, qui se trouvait à bord, ont bénéficié d'un non-lieu.
"Message" aux producteurs
Tout en jugeant l'amende "un peu légère", Simon Popy, président de France Nature Environnement Occitanie-Méditerranée, a estimé qu'un "message" était adressé aux producteurs de films animaliers et aux utilisateurs de drones.
"Il faut écouter les gestionnaires d'espaces naturels quand ils vous disent qu'il y a des sites qu'il ne faut pas fréquenter ou qu'il faut éviter à certains moments car ils sont très sensibles pour la faune", a-t-il dit.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Unesco: fonds d'Annemarie Schwarzenbach et Ella Maillart distingués
Les fonds des écrivaines suisses Annemarie Schwarzenbach (1908–1942) et Ella Maillart (1903–1997) ont été inscrits au Registre international "Mémoire du monde" de l'Unesco, annonce vendredi l'OFC. Cette distinction rend hommage à deux pionnières du carnet de voyage.
L'inscription de ces fonds a été avalisée par le Conseil exécutif de l'Unesco à Paris, précise l'Office fédéral de la culture (OFC). Conservées à la Bibliothèque de Genève, au musée Photo Elysée à Lausanne et aux Archives littéraires suisses de la Bibliothèque nationale suisse à Berne, ces archives témoignent de "leurs regards artistiques et critiques portés sur les grands conflits du XXe siècle, dont il faut relever la saisissante actualité", écrit-il.
La candidature "Annemarie Schwarzenbach et Ella Maillart: deux regards de femmes sur le monde" a été déposée à l'automne 2023 par la Bibliothèque nationale suisse, la Bibliothèque de Genève et Photo Elysée.
Deux regards de femmes sur le monde
Les deux écrivaines comptent parmi les figures majeures de l'histoire culturelle suisse du XXe siècle, poursuit l'OFS. Dans les années 1930, elles ont largement contribué à faire du carnet de voyage – un domaine jusque-là dominé par les hommes – un véritable genre littéraire et visuel porté par des femmes.
Leurs expéditions dans des régions reculées du monde, menées en toute autonomie sur les plans financier et technique, tout comme leurs reportages sur la vie des femmes dans les pays en développement, "illustrent de manière remarquable ce qu'il était possible d'accomplir à l'époque".
L'½uvre littéraire et photographique de ces deux voyageuses anticonformistes s'est imposée depuis comme une référence dans le paysage artistique suisse et jouit d'un statut culte bien au-delà des frontières nationales.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Valais: l'Abobo se restructure pour attirer plus d'abonnés
L’idée est née durant la pandémie de Covid-19. L’Abobo, sorte de Magic Pass culturel valaisan, entamera, le 3 juin, sa quatrième année d'existence. L’offre se veut un complément à l’AG culturel réservé aux moins de 26 ans.
Jusqu’ici, l’Abobo suivait la temporalité d’une saison culturelle. Quelque 80 à 90% des abonnements étaient ainsi vendus en juin. Désormais, la durée de l’offre sera de 12 mois, quel que soit le jour d’achat. Son prix ne fluctuera donc plus entre 365 et 750 francs, selon le moment de l’année, mais sera fixé à 465 francs, y compris le trajet en train jusqu'au lieu du spectacle choisi.
"Nous avons fixé ce tarif en tenant compte du fait qu'on ne touche plus de fonds Covid de la Confédération (ndlr : 400'000 francs avaient été alloués sur 3 ans) et de notre volonté d’augmenter le taux de rétribution à nos salles partenaires, soit plus que les 50% actuels", précise le président de la coopérative de l’Abobo, Lorenzo Malaguerra. Le Canton, lui, continuera d’investir 30'000 francs annuellement dans ce projet.
Le public voyage davantage
"Le public de l’Abobo est essentiellement lié aux pièces de théâtre. Il nous faut désormais mieux communiquer sur les concerts de musiques classique ou actuelles", poursuit le directeur du Théâtre du Crochetan de Monthey.
"Si l’on tire un bilan des trois premières saisons, l’Abobo a permis de renforcer la fréquentation des lieux culturels, jusqu’à 20 à 30%", révèle Lorenzo Malaguerra. "Ce sésame a permis de fédérer les lieux autour d'un projet et de développer les liens entre le Haut-Valais et le Valais romand. Le public voyage davantage dans le canton, intéressé à découvrir de nouveaux lieux et spectacles.
Création d’un mini-Abobo
Cinquante-trois lieux culturels, dont environ 17% situés dans la partie germanophone du canton, font partie de l’offre. "D’autres lieux nous ont contactés, intéressés à l’intégrer", révèle Sara Mi-Song Bürer, la directrice de Culture Valais. L’option cinéma à 99 francs va, elle, perdurer, mais sans les salles germanophones. Au total, l’Abobo regroupe près de 800 événements annuels.
Cette année, un mini-Abobo voit également le jour. Il permettra de se rendre à cinq événements pour 199 francs. "C’est une offre idéale pour les touristes ou les résidants secondaires", conclut Sara Mi-Song Bürer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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