Culture
Beyoncé reine des Grammys, le meilleur album lui échappe encore
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Beyoncé est devenue dimanche l'artiste la plus couronnée de tous les temps aux Grammy Awards, à Los Angeles. Mais le prix suprême du meilleur album lui a encore échappé, au profit de la popstar britannique Harry Styles.
Avec quatre nouveaux gramophones, dont la meilleure chanson R&B ("Cuff it") ou le meilleur album dance/électronique ("Renaissance") "Queen B" repartira les bras chargés et elle devra faire de la place sur son étagère pour y disposer les 32 récompenses de toute sa carrière, un record absolu, une de plus que le chef d'orchestre Georg Solti dans les années 1990.
"J'essaye de ne pas être trop émue", a-t-elle lancé, remerciant tour à tour ses parents, son "magnifique mari" Jay-Z, ses "trois beaux enfants" et "la communauté queer" qui l'a toujours soutenue.
Dans l'histoire
Beyoncé entre donc dans l'histoire. Mais une fois de plus, une récompense majeure lui échappe: comme en 2017 avec "Lemonade", devenu un classique, "Renaissance", son dernier opus house et dance, a échoué à obtenir le prix du meilleur album.
Sur la scène rougeoyante de la Crypto.com Arena, c'est la sensation pop Harry Styles qui a raflé le lot, grâce à "Harry's House", qui lui a aussi valu le Grammy du meilleur album de pop chantée.
Vêtu tout entier de franges scintillantes, il a interprété son tube "As It Was" lors d'une soirée qui a fait le plein de stars, de Jay-Z à Kendrick Lamar et Dr Dre, en passant par Stevie Wonder, Madonna, Lizzo et Mary J. Blige.
La surprise Bonnie Raitt
Autre surprise, la vétérane du blues, folk et country Bonnie Raitt, 73 ans, a gagné le prix de la chanson de l'année avec "Just Like That", une récompense que lui a remise la Première dame américaine Jill Biden. La concurrence était pourtant rude avec les tubes de Beyoncé ("Break my soul"), Adele ("Easy on me") ou Taylor Swift ("All too well").
Lizzo a de son côté remporté le prix de l'enregistrement de l'année pour "About Damn Time", tandis que la star britannique Adele a dû se contenter de la meilleure performance solo pop.
En 2017, l'interprète d'"Hello" avait écrasé ses concurrents dans les principales catégories, remportant cinq récompenses avec son album "25", au détriment de Beyoncé, dont l'album "Lemonade", avait dû se contenter du Grammy Award du "meilleur album de musique urbaine contemporaine".
L'Académie des arts et sciences de l'enregistrement, qui décerne les récompenses, avait été accusée une fois de plus d'un manque de diversité.
Bad Bunny, le succès hispanophone
La soirée, animée par l'humoriste sud-africain Trevor Noah, s'est ouverte sur une prestation du prince du reggaeton portoricain Bad Bunny, l'un des artistes au plus gros succès commercial dans le monde en 2022. Nommé dans trois catégories, il a remporté un gramophone.
L'histoire était déjà en marche pour Beyoncé: avec les nominations pour cette édition, elle avait égalé le record de son mari, Jay-Z, comme artiste le plus nommé de l'histoire de ces récompenses (88).
D'autres stars ont brillé, comme le rappeur Kendrick Lamar qui a engrangé trois récompenses avec la meilleure performance rap et la meilleure chanson rap pour "The Heart Part 5" et le meilleur album, avec "Mr. Morale & the Big Steppers".
"C'est l'un des disques les plus difficiles que j'ai faits", a lancé l'apôtre du rap social et politique, le seul artiste de hip-hop déjà récompensé d'un prix Pulitzer pour un de ses précédents albums.
"En revenant en arrière et en repensant à mes débuts dans le rap, au chemin parcouru, je voulais remercier la culture de m'avoir permis d'évoluer pour faire une chanson", a-t-il ajouté.
La star américaine de folk-rock Brandi Carlile, qui comptait sept nominations, en a transformées trois en gramophones, dont la meilleure chanson rock et meilleure performance rock avec "Broken Horses".
Révélation
Parmi les premières sensations de la pré-cérémonie, l'actrice Viola Davis est entrée dans le club très fermé des artistes ayant remporté les quatre grandes récompenses américaines, l'Oscar (cinéma), l'Emmy (télévision), le Tony (théâtre) et dimanche soir un Grammy, dans la catégorie "livre audio, narration" pour ses mémoires "Finding Me".
C'est la 18e artiste à accomplir cette performance exceptionnelle, baptisée "EGOT", après notamment Whoopi Goldberg, Mel Brooks, ou Rita Moreno.
La course était grande ouverte pour la révélation de l'année, entre la Brésilienne Anitta, les rockeurs italiens de Maneskin, la rappeuse Latto...
Mais, encore une surprise, c'est finalement la chanteuse de jazz originaire du Bronx, Samara Joy, 23 ans, qui a reçu le prix. Impressionnés par sa voix, des critiques la comparent déjà aux grandes chanteuses afro-américaines de jazz comme Ella Fitzgerald, Billie Holiday, Sarah Vaughan ou Nina Simone.
Mme Biden, saluant "un appel fort et poétique à la liberté et aux droits des femmes" en Iran a remis un prix spécial de la "meilleure chanson pour un changement de société" au titre "Baraye" de l'artiste iranien Shervin Hajipour, qui avait été arrêté pour la diffusion de cette chanson en vidéo.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Quatre jours pour découvrir la Croix-Rouge et ses valeurs
Les valeurs humanitaires seront à l'honneur à Genève du 7 au 10 mai à l'occasion de la Journée mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (JMCR). Spectacles et visites guidées figurent au programme de ces quatre journées.
Le 8 mai est le jour anniversaire de la naissance du fondateur du Mouvement de la Croix-Rouge, le Genevois Henry Dunant. L'occasion, pour le comité de la JMCR, de mettre en avant les valeurs humanitaires ainsi que l'engagement de plus de 16 millions de volontaires dans le monde. Au vu des enjeux qui pèsent sur la Genève internationale, cette édition se veut aussi signe d'espoir.
Du mercredi au samedi, le parc des Bastions abritera un "village" où les différents acteurs du mouvement présenteront leurs activités sur des stands d'information. Contes, exercices de simulation cardiaque, jeu de piste ou encore démonstrations avec des chiens de sauvetage figurent parmi les animations qui seront proposées.
Sphère miroir
Le jeudi, le Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (MICR) organisera, dans ses murs, des ateliers et une visite de l'exposition temporaire. Le samedi, des visites guidées au centre-ville feront le tour des lieux où le plus grand mouvement humanitaire au monde a vu le jour et où le droit humanitaire international s'est développé.
Côté artistique, le parc des Bastions accueillera un spectacle de danse sur le thème de l'universalité, une pièce de théâtre de Serge Bimpage sur la vie d'Henry Dunant, incarné par Vincent Aubert, et un concert de la Fanfare du Loup. Et une sphère miroir de dix mètres de diamètre, créée par François Abélanet et reflétant les principes fondamentaux du mouvement, y sera installée.
Tous les événements sont gratuits, sauf ceux au MICR, et certains d'entre eux nécessitent une inscription préalable. A noter encore que le drapeau du mouvement flottera sur de nombreux édifices, que le Jet d'eau sera illuminé de rouge et que les statues des pères fondateurs du premier comité de la Croix-Rouge seront drapées pour la JMCR.
www.croix-rouge-ge.ch/nos-evenements
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Grandson met en lumière ses liens invisibles avec le Japon
A découvrir jusqu'à la fin mai à Grandson (VD), "Yatagarasu Grandson-Japon, une histoire de corbeaux" propose un dialogue entre patrimoine suisse et culture japonaise. A travers des arts visuels, des conférences et des ateliers participatifs, la manifestation rend hommage au Yatagarasu, le corbeau mythologique japonais.
"Yatagarasu" propose un parcours immersif mêlant installations, photographies, calligraphies et empreintes naturelles. Ce projet s'inspire des similitudes entre le blason de Grandson et la mythologie japonaise, ainsi que par la forte présence du corbeau dans ces deux cultures.
Une rencontre littéraire avec Corinne Atlan, traductrice et spécialiste du Japon, sera organisée autour de son livre "Haïkus de Kyoto". Parmi les temps forts figurent également des échanges avec les auteurs Sophie Gallé-Soas, Guillaume Gagnière et Florence Marville.
Le public pourra prendre part à des ateliers de calligraphie, d'haïkus, d'origami et à une cérémonie du thé. De plus, un "popup store" sera dédié à l'artisanat japonais.
Patronné par l'Ambassade du Japon en Suisse, l'événement prendra place dans différents lieux à Grandson jusqu'au 28 mai 2025. Le vernissage de l'exposition est programmé le 1er mai à l'Ancien Couvent des Cordeliers.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
L'UNIGE propose un nouveau festival culturel ouvert au public
Carac est le nom qui a été donné au nouveau festival culturel de l'Université de Genève (UNIGE). La manifestation se déroule jusqu'au 25 mai. A l'initiative des associations et troupes universitaires, elle propose des dizaines d'événements dans divers lieux.
Carac Festival s'adresse tant à la communauté universitaire qu'au grand public, indique l'UNIGE dans un communiqué. La grande majorité des événements programmés est gratuite et ouverte à tous. Le public aura le choix entre du théâtre, de la danse, des concerts, du cinéma, des ateliers d'arts manuels, des jeux et une exposition.
Le choeur des musiques actuelles donnera une représentation au Temple de la Madeleine. Le choeur de gospel, lui, réchauffera les âmes au Temple de Plainpalais, qui abritera aussi une soirée cabaret. Le choeur de l'Université, pour sa part, aura les honneurs de la scène du Victoria Hall.
L'UNIGE compte près de 150 associations étudiantes actives dans de nombreux domaines. Ces structures ont pour but premier de favoriser l'échange et l'émulation au sein de l'institution.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Tessino-Neuchâtelois Luca Brunoni écrit désormais en français
Le Tessinois Luca Brunoni continue sa route d'écrivain, même s'il est toujours professeur de droit à la HEG de Neuchâtel. Après le succès de "Les silences" paru en 2023 et traduit de l'italien, il vient de sortir "En surface", son premier roman rédigé directement en français.
"Mon premier jet était en italien. Ma langue maternelle permet à l'écriture de fuser et de donner un rythme et ensuite, lorsque l’histoire est en place, je retravaille le tout en français", a déclaré à Keystone-ATS Luca Brunoni.
Avec "En surface", son premier roman écrit directement en français le 2e publié par Finitude, Luca Brunoni décrit le réveil d'une femme endormie qui vivait en surface et qui se demande si elle doit livrer son fils à la justice. L'intrigue principale se passe autour du lac, non situé par l'auteur, mais qui pourrait correspondre à celui de la Vallée de Joux (VD).
Les traitements, infligés par le passé aux personnes déclassées par la société, hantent les romans du Tessinois. Dans "les silences", la thématique des enfants placés chez des paysans d'un village de montagne était mise en lumière et dans "En surface" est abordée la question des filles mères, dont on donnait les enfants à l'adoption.
Plusieurs solitaires ou marginaux gravitent dans le roman, dont certains logent dans un camping d'une petite station touristique hors saison. Le livre se lit facilement avec des dialogues bien menés, des personnages attachants et une intrigue qui donne envie au lecteur d'avancer dans l'histoire.
En lice pour plusieurs prix
Le roman a eu un bon accueil au Festival du livre de Paris. Il est en lice pour plusieurs prix littéraires.
Les livres de Luca Brunoni s’insèrent dans l’univers du roman noir, même si ce ne sont pas des thrillers et même s'ils ne sont pas forcément très sombres. Avant "En surface", l'écrivain a sorti "Indelebile", écrit en italien, qui évoque la situation de Lugano, au début des années 2000, où il y avait alors de gros problèmes de trafic de drogue.
La version originale de "Les silences", en italien, a gagné le prix Leggimontagna et a connu une certaine notoriété. Il a tapé dans l'oeil de l'écrivain Joseph Incardona, qui a proposé à sa maison d'édition Finitude, basée à Bordeaux (F), de le traduire en français.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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