Suisse Romande
Décharge de Gamsenried: projet d'assainissement de Lonza critiqué
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Pro Natura, le WWF, Médecins en faveur de l'environnement et le Groupe haut-valaisan pour l'environnement et le trafic estiment que la paroi autour de la décharge de Gamsenried (VS) est insuffisamment étanche. Ils ont écrit à Lonza pour demander des corrections.
"Les rapports de Lonza (ndlr: le propriétaire des lieux) présentent en partie des vices de qualité que nous avons signalés le 10 février dernier, par courrier", précisent les quatre associations dans un communiqué diffusé mardi. "Lonza veut miser sur des couches limniques, mais celles-ci ne sont pas présentes partout sous la paroi étanche. Nous exigeons donc déjà un plan B si cette paroi ne fonctionne pas comme prévu, afin qu'il n'y ait pas de retards dans l'assainissement urgent de la décharge", ajoutent-elles.
Lors de la construction du mur de séparation, des mesures d'assurance qualité sont effectuées et des mesures sont prises pour vérifier l'étanchéité", précise l'entreprise contactée par Keystone-ATS. Les calculs du modèle des eaux souterraines ont montré que le mur de séparation améliorerait considérablement la situation. Nous partons donc du principe que les travaux pourront débuter lors du second semestre 2025 comme annoncé."
Pour les signataires de ce courrier, Lonza néglige la diversité des polluants situés dans la décharge "et les substances organiques volatiles probablement présentes." Lors des travaux d'excavation et de construction, "il y a donc le risque qu'elles polluent, de manière incontrôlée, l'air ambiant", estiment-ils.
Pas de recours déposé
Les signataires disent avoir perçu "une certaine ouverture d’esprit" chez Lonza. De ce fait, "nous avons renoncé à déposer un recours contre le projet de paroi. Par contre, nous allons particulièrement veiller à ce que Lonza accueille nos critiques et adapte le projet en conséquence." Et de prévenir que, dans le cas contraire, ils allaient "probablement" devoir engager des poursuites judiciaires pour des projets de constructions ultérieurs.
Dans leur courrier commun, les quatre associations exigent aussi des rapports détaillés sur la gestion des matériaux d'excavation, en particulier sur le traitement des eaux usées polluées. Elles demandent aussi un concept détaillé sur la gestion de la pureté de l'air, la recherche systématique d'o-tolidine, de benzidine et de ses produits de dégradation. Un concept "pour les accidents majeurs afin de protéger les êtres humains et l’environnement pendant la phase de construction" est aussi exigé.
"Lonza s'engage à maintenir un dialogue ouvert avec toutes les parties, y compris les ONG, sur le projet d'assainissement de Gamsenried", souligne encore le géant de la chimie. "Parallèlement, nous mettons en ½uvre toutes les mesures validées conformément aux exigences réglementaires."
Déchets chimiques déposés durant 60 ans
L’ancienne décharge de Gamsenried, située entre Viège et Brigue, possède une superficie d’environ 290'000 m2 et un volume de trois millions de m3. Lonza y a déposé des déchets chimiques de son usine de Viège pendant environ soixante ans (1918-1978). Par la suite, seuls des matériaux d’excavation et des déchets, des scories et des gravats y ont été entreposés.
Après la découverte, dans les eaux souterraines en aval de l’ancienne décharge, de polluants à des concentrations supérieures à la valeur limite autorisée par l'ordonnance sur les sites contaminés, le Service cantonal de l’environnement a classé l’ancienne décharge comme devant être assainie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: les négociations avec une femme en détresse aboutissent
La police de Lausanne est intervenue lundi en fin de matinée à la rue de Mornex à Lausanne. Une femme d'une quarantaine d'années qui s'était vu refuser une prestation au Service des curatelles et tutelles professionnelles s'était retranchée dans un bureau avec un pistolet d'alarme. Suite à une négociation fructueuse avec la police, elle s'est délestée de son arme.
La quadragénaire a ensuite été acheminée en milieu hospitalier, a communiqué Samuel Nanchen, porte-parole de la police de Lausanne. L'intervention de la police qui a duré environ 2h00 s'est achevée vers 13h00, a-t-il précisé.
Vingt policiers et une ambulance ont été mobilisés dans le cadre de cette intervention. Les forces de l'ordre ont rapidement pu confirmer que la population ne courait pas de danger.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Différences justifiées entre agents de sécurité et policiers
Le Tribunal fédéral déboute un agent de sécurité publique armé et une association professionnelle qui recouraient contre le nouveau règlement général sur le personnel de police du canton de Genève. Ils contestaient plusieurs dispositions, concernant l'avancement et l'exécution des missions, notamment.
Pour les recourants, le règlement général sur le personnel de police (RGPPol), entré en vigueur début juillet 2024, entraînait une inégalité de traitement entre les agents de sécurité publique (ASP) et les policiers. Ainsi, les premiers sont soumis à une évaluation de leurs compétences après cinq ans pour accéder au grade d'appointés alors que les seconds y accèdent sans examen.
Dans un arrêt publié lundi, le Tribunal fédéral rappelle que le nombre de grades est différent dans les deux corps. Le grade le plus élevé chez les ASP est celui de capitaine alors que ceux de major, lieutenant-colonel et colonel existent pour les policiers.
Les juges fédéraux soulignent aussi que les missions et les conditions d'admission aux deux professions sont différentes. Ainsi, seuls sont engagés comme policiers les titulaires d'un brevet fédéral de policier alors qu'un examen de connaissances générales et d'aptitudes suffit pour les ASP.
Dans ce contexte, les conditions posées par le RGPPol ne violent ni l'égalité de traitement, ni l'interdiction de l'arbitraire, conclut la 1ère Cour de droit public. (arrêt 1C_256/2025 du 23 octobre 2025)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Anzère (VS) inaugure une nouvelle télécabine
La station d'Anzère (VS) a officiellement inauguré une nouvelle télécabine de 10 places. Reliant Les Grillesses et le Bâté, elle remplace un télésiège deux places qui avait été mis en service en 1970. Télé Anzère a investi 15 millions de francs pour cette nouvelle télécabine et ses aménagements annexes.
La télécabine, qui part de 1832 m pour arriver à 2412 m d'altitude, peut transporter 2000 personnes par heure. Elle a été baptisée "Malo Express" en hommage à sa marraine, la skieuse de Coupe du monde Malorie Blanc. Cette nouvelle installation "ne représente pas une finalité en soi, mais une première étape majeure d'une réflexion plus large sur l'accessibilité et les liaisons entre le village et le domaine skiable", écrit lundi Télé Anzère dans son communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Fribourg: Jean-François Steiert prêt à "rempiler" en novembre 2026
Le conseiller d'Etat fribourgeois Jean-François Steiert se met à disposition du PS pour un troisième mandat en novembre prochain. Le ministre des infrastructures, de la mobilité et de l'environnement s'est dit satisfait au terme de son année présidentielle en 2025.
"Agissons aujourd'hui, en pensant à demain". C'est ainsi que le président sortant du Conseil d'Etat a résumé lundi sa philosophie. C'était sa deuxième présidence après 2021, exercice post-Covid. "L'année 2025 n'a pas été plus tranquille pour autant", a résumé le magistrat socialiste, qui fêtera ses 65 ans en février.
Le fil rouge de l'exercice a été la "situation financière difficile" de l'Etat, a noté Jean-François Steiert, avec une année 2026 qui démarrera sans budget. Au-delà, Fribourg conserve un solide bilan, avec une fortune, ce dont ne peuvent pas se targuer tous les cantons, a-t-il dit. "Et les investissements ne seront pas freinés".
Le Conseil d'Etat a "gagné" par ailleurs les quatre votations au menu du peuple fribourgeois, dont le rejet d'un salaire minimum le 30 novembre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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