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Suisse

"Jamais de conseiller fédéral Dettling", dit le président de l'UDC

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Le président de l'UDC Marcel Dettling n'aspire pas à la fonction de conseiller fédéral. (archives) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Marcel Dettling écarte toute future candidature au gouvernement fédéral. "Il n'y aura jamais de conseiller fédéral Dettling", affirme le président de l'UDC Suisse dans les colonnes de la NZZ am Sonntag.

La fonction de conseiller fédéral "ne peut pas être un objectif dans la vie", déclare Marcel Dettling dans un entretien au journal dominical alémanique. Pour l'agriculteur et conseiller national schwyzois, l'agenda d'un conseiller fédéral est trop fortement déterminé par l'extérieur.

Or dans sa fonction de président de parti, il peut annuler des rendez-vous, par exemple pendant la saison des foins en été. "En tant que conseiller fédéral, ce n'est pas possible", dit celui qui préside l'UDC Suisse depuis mars 2024.

Très critique sur la gestion de l'ex-ministre de la Défense Viola Amherd (Le Centre), pourquoi l'UDC n'a-t-elle pas repris le Département fédéral de la défense ? La question a été récurrente lors de la dernière vacance au gouvernement, selon M. Dettling.

"Nous reprendrions immédiatement le département de la justice ou celui de la défense si nous avions un troisième conseiller fédéral", assure le président de l'UDC. Et de rappeler que c'est le Conseil fédéral dans son ensemble qui procède à l'attribution des départements.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les prestataires hypothécaires espèrent une fin des baisses de taux

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Les taux d'intérêts sont considérés attrayants en comparaison sur le long terme. (archive) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les fournisseurs de crédits hypothécaires observent au premier trimestre une amorce de redressement des taux d'intérêt, après deux partiels consécutifs de recul.

Les taux indicatifs ont rebondi d'une vingtaine de points de base pour les échéances courtes et d'une bonne trentaine de points pour les maturités plus lointaines depuis leur plus bas de mi-décembre.

Les preneurs d'hypothèques indexées sur le taux Saron ont dans le même temps bénéficié d'une réduction de 50 points de base des taux directeurs, souligne lundi la plateforme Moneypark dans son pointage trimestriel.

Le renchérissement plus marqué pour les échéances longues laisse augurer un raccourcissement de la durée moyenne des hypothèques fixes. Nonobstant les récentes baisses de taux directeurs et une éventuelle récidive de la Banque nationale suisse (BNS) cette semaine, les experts de Moneypark n'anticipent guère de recrudescence de la demande pour les hypothèques Saron, l'incertitude concernant l'évolution des taux d'intérêt étant considérée trop importante.

Si la grande majorité des établissement sollicités table sur un nouvel abaissement des taux directeurs dès ce 20 mars, le cinquième d'affilé le cas échéant, certains escomptent un report de cette décision jusqu'au milieu de l'année. La perspective de taux négatifs, qui inquiétaient les professionnels du secteur il y a encore trois mois, semble s'éloigner au profit d'un scénario de stagnation au bas niveau actuel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

Lausanne fait la fête à la forêt samedi prochain à Sauvabelin

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Pour la 13e fois, la Fête de la forêt se tiendra samedi prochain à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

La forêt sera en fête samedi prochain à Sauvabelin, sur les hauts de Lausanne. Cette 13e édition se focalisera sur les qualités des forêts urbaines et le précieux travail des forestiers pour les maintenir en pleine santé. Des stands d'information, des animations forestières et musicales ainsi qu'une offre de restauration seront proposées au public.

Les forêts jouent un rôle protecteur essentiel et constituent la colonne vertébrale de la canopée urbaine et foraine, avec une fonction-clé dans la régulation climatique, la filtration d'eau, la préservation de la biodiversité et la protection contre les dangers naturels, rappelle la Ville dans un communiqué. Leur entretien et leur maintien sont donc des priorités absolues, ajoute-t-elle.

Forêts urbaines et gestion durable, prévention des risques naturels et réchauffement climatique seront des thèmes d'actualité. Des animations ludiques viendront compléter le programme, avec notamment une projection de film dans une roulotte pour mieux connaître le Parc naturel du Jorat ou encore une initiation à la grimpe sur arbres.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Une entreprise sur trois du secteur MEM recourt au chômage partiel

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Si le phénomène épargne les grandes sociétés, près de la moitié des petites entreprises du secteur MEM ont recours au fusible du chômage partiel pour subsister. (archive) (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

En Suisse, un tiers des entreprises du secteur de l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (MEM) ont introduit le chômage partiel. C'est ce qui ressort d'une enquête de la faitière Swissmechanic auprès de ses membres.

La majorité des entreprises (environ 70%) du secteur MEM ne sont pas directement confrontées au chômage partiel, indique lundi Swissmechanic dans un communiqué. L'association faîtière des petites et moyennes entreprises (PME) de la branche se base sur une enquête récente menée auprès des quelque 1300 entreprises affiliées.

Toutefois, parmi les entreprises qui doivent recourir à cette mesure, les PME sont touchées de manière disproportionnée: environ 45% des sociétés employant de 10 à 49 personnes et 29% des entreprises de 50 à 249 salariés ont introduit le chômage partiel.

La durée du chômage partiel varie selon les PME. Environ 36% de celles qui ont mis en place cette mesure le font depuis plus de six mois. Quelque 26% sont concernées depuis trois à six mois, tandis que 30% ont recours au chômage partiel depuis un à trois mois. Seules 6% ont appliqué la mesure pendant moins d'un mois.

L'impact du chômage partiel sur les effectifs varie également: dans 41% des sociétés concernées, de 26 à 50% des salariés sont touchés par le chômage partiel, tandis que 28% des entreprises déclarent que 76 à 100% de leurs effectifs sont concernés.

Le chômage partiel affecte la production et les services dans les PME à des degrés divers. Dans 45% des entreprises, l'impact a été décrit comme modéré, tandis que 17% ont signalé un impact fort.

L'enquête montre que le chômage partiel reste un soutien important pour de nombreuses entreprises en Suisse afin d'amortir les effets de l'incertitude économique. Les perspectives d'avenir restent toutefois marquées par un contexte difficile. L'écrasante majorité des firmes (75%) s'attendent à ce que le chômage partiel se poursuive sur une période plus longue. Seules 24% des entreprises escomptent que la mesure prenne fin prochainement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Lausanne

Recherche guides de ski pour aveugles et malvoyants

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Le Groupement romand des skieurs aveugles et malvoyants organise chaque saison une cinquantaine de journées de ski de piste et de fond. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Groupement romand des skieurs aveugles et malvoyants (GRSA) lance un appel: il recherche une vingtaine de personnes désireuses d'entamer une formation de guide l'automne prochain. Objectif: permettre aux personnes perdant la vue de s'adonner aux joies de la glisse.

"Nous sommes à la recherche de volontaires", indique à Keystone-ATS Hervé Richoz, en charge de la communication au GRSA. Ce groupement organise chaque saison pour les personnes malvoyantes une cinquantaine de journées de ski de piste et de fond dans les stations suisses.

Les sorties se font en tandem. Un guide portant une veste rouge à bande noire accompagne une personne déficiente visuelle munie, elle, d'une veste jaune, également à bande noire.

Or, la recherche de la relève s'avère de plus en plus compliquée: bon nombre de guides arrêtent en raison de leur âge ou parce qu'ils ont fondé une famille. Certains effectuent une vingtaine de sorties par hiver, d'autres seulement trois ou quatre. D'où la nécessité de "regarnir les rangs", explique le responsable de la formation Claude Gut.

Le groupement compte environ 300 membres, dont 120 actifs, et dispose de 150 à 180 guides. La semaine dernière, 30 personnes ont participé à un camp à Grimentz (VS). "Nous avons eu besoin d'une trentaine de guides pour les encadrer, en gardant une marge de réserve pour maladie ou autre empêchement", illustre-t-il.

400'000 personnes touchées

Pour permettre aux personnes à la vue altérée de continuer, voire d'apprendre à skier, instruire de nouveaux guides s'avère d'autant plus indispensable que le nombre de personnes malvoyantes augmente. Il s'agit d'un grave problème de santé publique, souligne Hervé Richoz.

Si la Suisse ne dispose pas de chiffres précis sur les personnes malvoyantes ou aveugles, les "perdants de la vue" seraient environ 400'000, selon des estimations concordantes. Les causes principales: des pertes de vision progressives dues notamment à la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) ou à la rétinite pigmentaire, une maladie génétique dégénérative de l'oeil, explique-t-il.

Plaisir et sécurité

Le GRSA recherche des hommes et des femmes, âgés de 18 à 60 ans et doté d'un bon niveau de ski. "Pas besoin d'être un champion", note toutefois Claude Gut. S'ils satisfont aux exigences du guidage, leur préoccupation majeure sera d'offrir un maximum de plaisir à leur binôme tout en assurant la plus stricte sécurité sur les pistes.

La prochaine session de formation se déroulera en novembre 2025. Elle débutera par une journée de sensibilisation au handicap et un test de ski. Suivront deux week-ends de formation, avant de commencer le guidage proprement dit. Au total, l'investissement représente environ dix jours pour la première saison et six jours l'année suivante.

Dans la pratique, le guide skie derrière la personne aveugle alors qu'il précède généralement un ou une malvoyante. Le ski libre est aussi proposé lorsque les conditions sont bonnes.

Confiance aveugle

"En avant, droite, gauche, halte": le guidage se fait par la voix, de plus en plus avec des mini-oreillettes, explique Claude Gut. Mais l'apprentissage de base se fait uniquement avec la voix, une nécessité en cas de problème technique. Chaque mot est précis et réfléchi, permettant de réagir instantanément. La modulation est extrêmement importante, décrit-il.

"Le tandem est une entité fusionnelle, complice et qui s'éclate. Si le ski se fait un peu différemment, les sensations sont retrouvées", s'enthousiasme Hervé Richoz, lui-même malvoyant.

Pistes noires

"Cela peut paraître surprenant, mais les aveugles adorent les pistes noires et s'embêtent un peu sur les longueurs plates des pistes bleues. Notre mission, c'est de partager le plaisir du ski, mais également de faire progresser, d'augmenter le savoir et les compétences", souligne-t-il.

Le GRSA a été fondé en 1969 à Lausanne. A l'époque, la plupart des déficients visuels avaient tout à apprendre du ski. L'esprit des précurseurs a été préservé. Les membres sont avant tout des amis qui partagent la même envie: skier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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