International
Atlanta et Clint Capela enchaînent
Malgré l’absence de Trae Young touché au mollet, Atlanta surfe toujours sur la vague du succès. Sur leur parquet, les Hawks ont battu Philadelphia 132-123 pour cueillir un troisième succès de rang.
Face à un adversaire diminué par le poids des absences, Atlanta a forcé la décision en première période. Les Hawks ont signé un partiel de 23-7 lors des cinq ultimes minutes du deuxième quarter pour s’envoler vers leur 31e succès de la saison.
Clint Capela a bénéficié d’un temps de jeu de 18’. Le pivot genevois a inscrit 4 points. Mais avec ses 9 rebonds et son différentiel de +8, ses statistiques sont positives.
La 50e défaite de Washington
Celles de Kyshawn George à Toronto où Washington s’est incliné 119-104 pour concéder sa 50e défaite de la saison se défendent aussi. Le Valaisan a inscrit 13 points avec un 4 sur 8 au tir pour un temps de jeu de 28’.
Pour les Wizards, cette défaite est due essentiellement à leur infériorité sous les panneaux. Toronto a, en effet, capté... 73 rebonds, le record de la saison- en NBA. Le match s’est joué à l’entame du troisième quarter un partiel de 10-0 pour les Raptors qui leur ont permis de mener 69-60.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump et Poutine ont entamé un appel crucial pour l'Ukraine
Donald Trump veut convaincre mardi Vladimir Poutine d'accepter son projet de trêve en Ukraine et s'est déjà dit disposé à parler de "partage" de terres avec son homologue russe, une perspective extrêmement inquiétante pour Kiev.
L'appel, attendu avec anxiété à Kiev et suivi avec une extrême attention par les capitales européennes, a débuté à 10h00 locale à Washington (15h00 heure suisse), selon un conseiller de la Maison Blanche.
La conversation "se passe bien et est toujours en cours", a indiqué Dan Scavino mardi sur X.
Le président américain, qui a engagé depuis son retour à la Maison Blanche un spectaculaire rapprochement avec le maître du Kremlin, avait parlé dimanche de "partages" entre Moscou et Kiev, évoquant des "terres" et des sites de "production d'énergie".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
En Hongrie, adoption d'une loi pour interdire la Marche des fiertés
Le Parlement hongrois a adopté mardi une loi pour bannir la Marche des fiertés. Ce vote marque une escalade dans la politique du Premier ministre nationaliste Viktor Orban visant à restreindre les droits des personnes LGBT+.
Le texte "interdit la tenue d'un rassemblement qui violerait la législation" de 2021, selon laquelle il n'est pas possible de promouvoir auprès des mineurs "l'homosexualité et le changement de sexe".
Soumis seulement la veille, il a été adopté via une procédure exceptionnelle à une large majorité par la coalition au pouvoir soutenue par des députés d'extrême droite (136 voix pour, 27 contre). L'opposition a perturbé le vote en allumant des fumigènes et en diffusant l'hymne russe dans l'hémicycle.
La législation, qui modifie la loi sur la liberté de réunion, vise à garantir que seuls les événements "respectant le droit des enfants à un développement physique, mental et moral correct peuvent avoir lieu". Pour les organisateurs de la parade, prévue cette année le 28 juin, c'est "une étape supplémentaire dans la fascisation de la société".
"Depuis notre enfance, nous devons lutter pour être acceptés et bénéficier de droits égaux. La Marche des fiertés porte ce combat de tous les jours dans la lumière", ont-ils réagi, dénonçant "la tentative du pouvoir de les déshumaniser".
Les participants au défilé s'exposent à une amende pouvant aller jusqu'à 500 euros, somme "qui sera reversée aux fins de protection de l'enfance". Avec la possibilité pour la police d'identifier les contrevenants via des outils de reconnaissance faciale.
Malgré cette menace, les gens "ont envie de venir et d'afficher leur soutien à la communauté", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Marche, Mate Hegedus. "Nous n'allons pas nous laisser intimider par le gouvernement qui cherche un bouc émissaire", a-t-il insisté.
"Sans équivalent dans l'UE"
Enhardi par l'arrivée à la Maison Blanche de son allié Donald Trump, M. Orban ne cesse de durcir son discours et l'arsenal législatif. Il a traité samedi ses ennemis politiques, juges, médias et ONG de "punaises", promettant "d'éliminer cette armée de l'ombre".
Des révisions constitutionnelles sont aussi au programme, dans le but d'expulser les binationaux jugés traîtres à la nation ou encore de stipuler qu'une personne est "soit un homme, soit une femme".
Cette offensive intervient dans un contexte préélectoral tendu, M. Orban faisant face à un défi inédit en 15 ans de règne en la personne d'un connaisseur des arcanes du système devenu farouche critique, Peter Magyar.
"Il est très facile de gagner des voix en restreignant les droits d'une telle minorité dans une société très conservatrice", analyse pour l'AFP Szabolcs Hegyi, de l'association des libertés civiles TASZ.
Même si la loi entend surtout "dissuader les gens de participer", l'expert met en garde contre une interdiction sur le modèle russe, "sans équivalent dans l'UE" et "totalement contraire à la Charte européenne des droits fondamentaux".
Où "va-t-on s'arrêter?", s'inquiète-t-il. Si l'on modifie la liberté de réunion pour "l'adapter à des intérêts politiques, on risque d'arriver à une situation où virtuellement personne ne pourra manifester à l'exception de ceux favorables au gouvernement".
Dans son discours sur l'état de la nation en février, Viktor Orban avait "conseillé aux organisateurs de la Marche des fiertés de ne pas prendre la peine de préparer le défilé de cette année: c'est une perte d'argent et de temps".
Depuis son retour au pouvoir en 2010, le dirigeant proche du Kremlin est accusé par la grande majorité de ses alliés européens d'avoir progressivement porté atteinte à l'État de droit. Ce qui lui vaut plusieurs procédures de la part de Bruxelles et notamment le gel de plusieurs milliards d'euros de fonds européens.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
La Fed débute sa réunion sur les taux dans un contexte fébrile
Les responsables de la Réserve fédérale américaine (Fed) ont entamé mardi matin leur deuxième réunion de politique monétaire sous la présidence de Donald Trump, à l'issue de laquelle un statu quo sur les taux est attendu.
La réunion du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) "a débuté à 09h00 (14h00 en Suisse) comme prévu", a indiqué un porte-parole à la presse.
Les observateurs prévoient, quasi unanimement, que les discussions, qui se tiennent jusqu'à mercredi, débouchent sur un maintien des taux d'intérêt à leur niveau actuel, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.
Le président de la banque centrale américaine, Jerome Powell, a dit sans équivoque qu'il préférait le statu quo en attendant d'y voir plus clair sur les conséquences des décisions prises au pas de charge par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche.
"Nous n'avons pas besoin de nous presser, et sommes bien placés pour attendre plus de clarté", a-t-il déclaré le 7 mars dans un discours.
La Fed est potentiellement confrontée à une situation qui impliquerait de modifier ses taux d'intérêt dans des directions contraires.
D'un côté, les nouvelles taxes sur les importations sont susceptibles de provoquer un regain d'inflation, sa bête noire.
De l'autre, les analystes anticipent un ralentissement de l'économie américaine et commencent même à évaluer la possibilité d'une récession, une situation que la Fed doit aussi éviter, le plein-emploi étant inscrit dans son mandat.
La Fed publiera sa décision mercredi à 14h00 (19h00 en Suisse) et Jerome Powell tiendra une conférence de presse 30 minutes plus tard.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
"#MeToo a eu un début fracassant, c'était nécessaire"
"Le mouvement #MeToo a eu un début fracassant, c'était nécessaire", a déclaré l'acteur Jean Dujardin devant l'Assemblée nationale, à propos de la vague de libération de la parole des victimes de violences sexuelles, qui a démarré il y a huit ans dans le cinéma.
La star de "The Artist" et "OSS 117" a été entendue début mars aux côtés de trois autres acteurs français, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Jean-Paul Rouve, par la commission d'enquête sur les violences dans le cinéma. L'audition s'était tenue à huis clos mais son verbatim a été publié mardi.
"Au début, j'ai eu le sentiment que ça commençait mal mais il ne pouvait pas en aller autrement: il fallait taper fort pour que la parole soit entendue, ce qui est encore le cas", a déclaré l'acteur oscarisé pour "The Artist".
"On ne dit plus ce qu'on disait il y a dix ou quinze ans et on ne le dira plus non plus dans dix ans (...) J'ai le sentiment que le réflexe sexiste et la phrase lourde tendent à disparaître", a-t-il ajouté. Il a aussi expliqué sa stratégie pour éviter les ambiances toxiques sur les tournages.
"Généralement, quand je rencontre un metteur en scène, je lui pose une question un peu crue (...): 'Est-ce que t'es un connard ?' (...) Je veux juste savoir si je vais être témoin de scènes un peu gênantes, humiliantes. Je n'ai pas envie de ça. (...) Et, généralement, cela n'arrive pas: la personne n'est jamais désagréable, peut-être parce qu'elle sait que ça peut sortir", a-t-il raconté.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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