International
Les incendies de 2023 à Hawaï, conséquence de négligences (rapport)
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L'ampleur des incendies qui ont ravagé l'île de Maui à Hawaï en 2023 est la conséquence d'une combinaison de facteurs qui ont conduit la population et les autorités locales à sous-estimer les risques encourus, selon un rapport officiel publié vendredi.
Ces feux avaient fait une centaine de morts et des milliers de sans-abri sur l'île de Maui, détruisant environ 800 hectares et anéantissant la ville touristique de Lahaina.
"Cette dévastation ne peut être attribuée à une organisation, un individu, une action ou un événement en particulier", conclut Steve Kerber, de l'Institut de recherche pour la prévention des incendies, une agence indépendante mandatée par l'Etat d'Hawaï.
"Les conditions à l'origine de cette tragédie existaient depuis des années", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse pour présenter la deuxième partie du rapport demandé par la procureure générale de Hawaï Anne Lopez.
Pas conscience des risques
Les auteurs du rapport estiment que les autorités locales, les entreprises et la population n'avaient pas conscience des risques et ont ignoré les possibles mises en garde, notamment en cas de vents violents, propices à la progression d'un feu.
La compagnie Hawaii Electric a été accusée par la population de négligence pour avoir omis de couper le courant alors que des vents violents étaient prévus.
Le rapport conclut aussi que les normes en vigueur étaient obsolètes depuis plusieurs décennies et que la réponse des services d'urgence après le début du feu n'a pas été suffisamment coordonnée.
La gestion par la comté de Maui "consistait en une structure de commandement en silos ce qui a contribué à un manque de communication au public mais aussi entre agences".
Accord à l'amiable
Le gouverneur de l'Etat américain d'Hawaï avait annoncé début août qu'un accord à l'amiable avait été trouvé avec les personnes affectées, qui toucheront plus de quatre milliards de dollars pour renoncer à un procès. Cette somme sera versée par l'Etat d'Hawaï, par une compagnie électrique locale et par d'autres institutions et entreprises.
Le coût total de cette catastrophe devrait s'élever à plus de 12 milliards de dollars, selon le gouverneur Josh Green.
Le but du rapport n'est pas, selon Anne Lopez, de désigner des coupables mais de mieux préparer Hawaï, avec plus d'une centaine de recommandations.
"Le risque est réel (...) et le changement climatique ne fera que continuer à empirer les choses", a-t-elle dit vendredi, ajoutant que plus de 1500 départs de feu avaient nécessité une intervention depuis les incendies meurtriers d'août 2023, dont sept ont entraîné des feux "conséquents".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Assassinat de RFK: les images de l'autopsie divisent la famille
La publication de photographies de l'autopsie de Bobby Kennedy, après l'assassinat en 1968 du sénateur américain, suscite samedi un différend entre deux de ses enfants. L'actuel ministre américain de la santé, Robert Kennedy Jr, soutient cette décision.
Sa soeur, Kerry, a fait part en revanche samedi de sa "douleur" après la publication des images d'autopsie contenues dans ces archives.
Se souvenir de son père "sera encore plus difficile et ce d'une façon nouvelle et inimaginable", a-t-elle écrit sur le réseau social X. "Nous ne le verrons plus comme dans nos souvenirs. Ces photographies choquantes, explicites, de son corps mutilé nous sauterons aux yeux", a-t-elle regretté.
"L'intérêt public d'une publication complète prime sur celui de notre famille", a déclaré de son côté vendredi au Washington Post son frère Robert Kennedy Jr. Il a admis toutefois avoir été confronté à "un choix terrible" lorsque le président américain Donald Trump lui a demandé si les photographies de l'autopsie devaient aussi être publiées.
Les archives déclassifiées sur l'assassinat de Robert Kennedy, dit Bobby, frère du président John Kennedy lui-même assassiné en 1963, ont été publiées vendredi à l'initiative du président américain Donald Trump, qui avait signé un décret en ce sens dès son retour à la Maison-Blanche en janvier dernier.
CIA
La nomination de Robert Kennedy Jr comme ministre de la santé a donné lieu à une polémique, ce dernier ayant tenu des propos anti-vaccins et complotistes.
Il a répété au Washington Post qu'il ne croyait pas à la version officielle de l'assassinat de son père, selon laquelle la balle qui a tué Bobby Kennedy a été tirée par Sirhan Sirhan, un Jordano-Palestinien qui purge à l'âge de 81 ans une peine de prison à perpétuité pour ce meurtre.
Robert Kennedy Jr a confié qu'il ne s'attendait pas à ce que les archives confirment sa théorie, selon laquelle, la CIA était impliquée dans la mort de son père.
La directrice du renseignement national (DNI), Tulsi Gabbard, chargée de la publication des archives, a justifié cette initiative par la nécessité "de faire enfin la lumière" sur la mort du sénateur, ancien ministre de la justice de son frère et alors en bonne position pour emporter l'investiture démocrate à l'élection présidentielle.
Les 10'000 pages de documents publiés vendredi seront suivis par 50'000 autres découverts "dans des dépôts du FBI et de la CIA", a-t-elle dit. Les dernières archives concernant l'assassinat du président Kennedy ont quant à elles été publiées en mars.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Hockey
Préparation: La Suisse s'impose 5-2 face à la France
L'équipe de Suisse a conclu sa deuxième semaine de préparation au championnat du monde sur un quatrième succès en autant de matches.
Les hommes de Patrick Fischer ont battu la France une deuxième fois en 24 heures, s'imposant 5-2 samedi à Marseille.
Comme vendredi (4-3), la Suisse a souffert face à l'équipe du coach Yorick Treille. Stéphane Charlin s'est ainsi montré décisif devant son filet au début du troisième tiers lorsque la France a bénéficié d'une supériorité numérique à la suite d'un surnombre, alors que le score n'était que de 3-2.
La Suisse - qui alignait samedi un seul vice-champion du monde 2024, Sven Senteler - a accéléré la cadence après avoir "tué" cette pénalité. Et des buts de Mischa Ramel (50e) et de Marc Marchon (52e) lui ont permis de gérer la fin de match et d'éviter toute mauvaise surprise.
A nouveau menée 2-1
Contrairement à la veille, la Suisse a pu ouvrir la marque, dès la 7e, sur un but de Tim Berni. La France a renversé la vapeur pour mener 2-1 - comme vendredi - grâce à des réussites d'Anthony Rech (16e, en "powerplay") et de Kevin Spinozzi (22e). Mais le deuxième but tricolore a eu le mérite de réveiller la sélection helvétique.
Axel Simic a ainsi répliqué 69 secondes plus tard. Et si la Suisse avait dû patienter jusqu'au troisième tiers pour faire la différence vendredi, elle a pris les commandes dès la 31e samedi grâce à un superbe tir du poignet de Fabian Ritzmann. Et malgré un certain manque de réalisme, elle a su se mettre à l'abri.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Des milliers d'Américains dans la rue contre Trump
Des milliers d'Américains sont descendus dans la rue samedi à New York et dans d'autres grandes villes du pays pour une deuxième journée de mobilisation anti-Trump en l'espace de deux semaines.
"Pas de roi en Amérique" ou "Résistons à la tyrannie" peut-on lire sur des pancartes à la manifestation new-yorkaise, à côté d'images du président américain affublé d'une moustache à la Hitler.
"La démocratie court un grand danger", déclare à l'AFP Kathy Valy, 73 ans, une descendante de survivants de la Shoah, qui affirme que ce que lui ont raconté ses parents à propos de la montée du nazisme dans les années 1930 "est en train de se passer ici".
"La différence avec les autres fascistes (...) c'est que Trump est trop bête pour être efficace et son équipe est divisée", se rassure-t-elle.
Les manifestants dénoncent particulièrement la politique anti-immigration de la Maison Blanche, au moment où la Cour suprême a suspendu les expulsions d'immigrés sur la base d'une loi de 1798 sur "les ennemis étrangers".
"Les immigrés sont les bienvenus ici", crient les manifestants réunis devant la bibliothèque de la plus grande ville des Etats-Unis, à quelques encablures de la célèbre Trump Tower du milliardaire.
Des contestataires sont aussi rassemblés devant la Maison Blanche à Washington, quoiqu'en nombre apparemment inférieurs à la précédente mobilisation le samedi 5 avril, qui avait réuni des dizaines de milliers de personnes.
Elon Musk aussi visé
Des rassemblements ont également été signalés à l'extérieur de concessions Tesla, la marque automobile propriété d'Elon Musk, le milliardaire chargé par Donald Trump d'une cure d'amaigrissement drastique dans la fonction publique.
La mobilisation est organisée par un groupement baptisé 50501, un chiffre correspondant à 50 manifestations dans les 50 Etats du pays et aboutissant à 1 mouvement unique d'opposition au milliardaire républicain.
Le mouvement constitue "une réponse décentralisée rapide aux actes anti-démocratiques et illégaux de l'administration Trump et de ses alliés ploutocrates", explique-t-il sur son site internet.
Selon cette organisation, quelque 400 manifestations sont prévues dans la journée et 50501 appelle 11 millions de personnes à descendre dans la rue, un chiffre très probablement supérieur à celui du 5 avril.
Les chiffres réels sont difficiles à obtenir, de nombreux services de police se refusant à fournir des estimations.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Miraculé, le Barça conforte sa première place
Mené 3-1, le FC Barcelone a arraché la victoire 4-3 samedi à domicile face au Celta Vigo. Il conforte ainsi sa position de leader de la Liga avant le match du Real Madrid dimanche.
Quatre jours après sa défaite 3-1 à Dortmund, sans conséquence toutefois sur la qualification pour les demi-finales de la Ligue des champions, le Barça a bien failli rechuter en championnat. Mais un penalty en fin de match de Raphinha (98e) a sorti les Catalans d'un très mauvais pas face au 7e du championnat.
Un revers ou un match nul aurait ouvert la porte au Real, désormais à sept points de son grand rival, avant de recevoir dimanche (21h) l'Athletic, solide 4e de Liga et qualifié pour les demi-finales de la Ligue Europa. Éliminé mercredi en C1 par Arsenal, le Real mise à présent tout sur le championnat et la finale de la Coupe du Roi, qu'il disputera le 26 avril face au... Barça.
Scénario fou
Face au Celta Vigo, les Blaugrana ont ouvert le score via Ferran Torres (12e) avant de voir Yoel Lago s'offrir un remarquable triplé (15e, 52e et 62e). Mais en l'espace de cinq minutes, le Barça a recollé.
Dani Olmo, parfaitement servi par Raphinha, a réduit le score (3-2, 64e). Puis Lamine Yamal, à peine entré en jeu, a adressé un centre tout aussi parfait à Raphinha pour l'égalisation (3-3, 68e). Le Brésilien a été le héros du match en transformant un penalty dans le temps additionnel (3-3, 98e).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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