International
Une matinée difficile pour les Suisses
Les Suisses ont connu des difficultés ce lundi matin à Paris. Yasmin Giger, Léonie Pointet et Lionel Spitz n'ont pas passé le cap des repêchages sur le 400 m haies et sur le 400 m plat.
La Thurgovienne a pris la 5e place de sa série en 55''18. Elle aurait dû battre son record personnel de 54''77 pour passer en demi-finales. Sur le 200 m, Léonie Pointet a fini 4e d'une série enlevée par l'Australienne Torrie Lewis en 23''08. La Vaudoise a couru en 23''37 mais seule la gagnante avait droit de continuer son parcours.
Spitz a lui pris la 4e place de sa série en 45''51 et il ne lui a pas manqué grand-chose puisque le 2e de sa course, le Botswanais Leungo Scotch, est passé en 45''33.
"Le départ s'est bien passé, a expliqué le Zurichois au micro de la RTS. C'est après que cela s'est compliqué. Je suis évidemment très déçu et triste, c'est dommage. Mais je suis fier d'avoir pu courir deux fois et je sais que j'ai tout donné."
En séries du 400 m haies, Julien Bonvin a pris la 6e place en 49''82. Le Valaisan devra passer par les repêchages. Bonvin est demeuré loin de son record de 48''59.
Aux qualifications à la perche, Angelica Moser et Pascale Stöcklin sont entrées en lice. Si la nouvelle recordwoman de Suisse (4m88) a franchi 4m55 à sa première tentative pour se qualifier, cela s'est moins bien passé pour la perchiste entraînée par Nicole Büchler qui a vu son concours prendre fin prématurément. Après avoir effacé 4m20 à son premier essai, elle a buté à trois reprises sur une barre à 4m40.
"J'étais totalement vidée, a-t-elle lancé. Ce n'est pas si grave de partir si tôt. Des fois, ça passe ou ça casse. Aujourd'hui, j'ai un peu perdu mes sensations et je suis sortie de ma routine. Il faut dire que dans ce grand stade, le bruit est incroyable et c'est hyper intense." A noter que 20 perchistes prendra part à cette finale puisque les 12 meilleures sont qualifiées et que neuf filles se sont classées au 12e rang à égalité.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Un séisme de magnitude 6.0 frappe Taïwan (USGS)
Un tremblement de terre de magnitude 6 a frappé l'île de Taïwan dans la nuit de lundi à mardi, sans faire de dégâts majeurs, a annoncé l'Institut géologique américain (USGS).
Ce séisme, qui a fait trembler les bâtiments de la capitale Taipei, a été enregistré à 00h17 mardi à Taïwan, soit 17h17 en Suisse lundi.
Son épicentre était situé à douze kilomètres au nord du district de Yujing, dans le sud de l'île.
Selon les autorités locales, trois personnes dont un enfant, coincées sous les décombres de leur maison, ont été secourues par les pompiers. Une autre personne a été blessée par la chute de débris tandis que deux autres sont restées bloquées dans des ascenseurs.
Un journaliste de l'AFP à Taipei a senti sa tour résidentielle trembler pendant près d'une minute.
Taïwan est fréquemment touchée par des tremblements de terre en raison de sa situation à la jonction de deux plaques tectoniques, près de la ceinture de feu du Pacifique, qui est, selon l'USGS, la zone la plus active au monde sur le plan sismique.
Le dernier grand tremblement de terre s'est produit en avril 2024, lorsque l'île a été frappée par une secousse meurtrière de magnitude 7,4, la plus forte depuis 25 ans, selon les autorités.
Au moins 17 personnes avaient été tuées dans ce séisme, qui avait provoqué des glissements de terrain et gravement endommagé des bâtiments autour de Hualien, dans l'Est de l'île.
En 1999, un tremblement de terre, d'une magnitude de 7,6, avait tué quelque 2.400 personnes, ce qui en avait fait la catastrophe naturelle la plus meurtrière de l'histoire de l'île.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Premiers pas de Lewis Hamilton chez Ferrari
Le septuple champion du monde de Formule 1 Lewis Hamilton a fait ses premiers pas lundi en tant que pilote Ferrari. Il est apparu pour la première fois à Maranello, le siège de la Scuderia.
Le Britannique (40 ans), qui portait un long pardessus, un costume et une cravate sombres avec une chemise blanche, est apparu très élégant et a posé devant l'ancienne maison d'Enzo Ferrari, le fondateur de la célèbre marque au cheval cabré, selon des photos diffusées par sa nouvelle écurie qu'il a rejointe cette année après 12 saisons chez Mercedes.
Hamilton s'est ensuite rendu au circuit de Fiorano pour rencontrer le patron de l'équipe, le Français Frédéric Vasseur, et le directeur général de Ferrari, l'Italien Benedetto Vigna.
A Maranello, il a aussi pu échanger avec plusieurs membres de l'équipe qu'il côtoiera dans les semaines à venir, et notamment Riccardo Adami qui sera son ingénieur de piste.
Le septuple champion du monde pilotera pour la première fois une monoplace Ferrari mercredi sur le circuit de Fiorano, où il aura droit à 1000 kilomètres maximum avec la F1 de la saison 2022.
"Il y a des journées dont vous savez que vous vous souviendrez toute votre vie et celle d'aujourd'hui, mes débuts en tant que pilote Ferrari, en fait partie. J'ai eu la chance de réussir des choses que je ne pensais jamais possible dans ma carrière, mais une part de moi a toujours eu ce rêve de courir en rouge", a expliqué Hamilton dans le communiqué de Ferrari et sur sa page Instagram.
"Je ne pourrais être plus heureux de réaliser ce rêve aujourd'hui. Aujourd'hui, nous entamons une nouvelle ère dans l'histoire de cette équipe légendaire et je suis impatient de voir quelle histoire nous écrirons ensemble", a-t-il ajouté.
Le Britannique fera ses débuts officiels au volant de la nouvelle monoplace Ferrari à l'occasion des tests de pré-saison à Bahreïn du 26 au 28 février, deux semaines avant de disputer son premier Grand Prix avec la Scuderia en Australie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Les banques européennes soumises aux tests de résistance en 2025
L'Autorité bancaire européenne (ABE) et la BCE ont lancé lundi leurs tests de résistance des banques européennes afin d'évaluer leur capacité à faire face à des chocs de grande ampleur, à travers un scénario reposant sur un accroissement des "tensions géopolitiques".
L'exercice est "conçu pour fournir des informations précieuses permettant d'évaluer la résistance du secteur bancaire européen dans l'environnement macroéconomique actuel, incertain et changeant", indique l'Autorité dans un communiqué.
Ces tests de résistance - réalisés tous les deux ans - visent aussi à vérifier que le niveau des fonds propres des banques sont "suffisants pour leur permettre de soutenir l'économie en période de tension".
L'ABE a basé son scénario 2025 sur l'hypothèse d'une "aggravation des tensions géopolitiques" ayant "des effets négatifs sur la consommation et les investissements, tant au niveau national que mondial".
Dans le scénario retenu par l'ABE, l'institution projette notamment une baisse du PIB de l'Union européenne de 6,3% d'ici 2027 par rapport aux prévisions actuelles, une inflation à 5% en 2025 et un chômage en hausse de 5,8 points par rapport à 2024.
L'exercice de 2025 porte sur 64 banques, dont 51 issues de la zone euro, disposant d'au moins 30 milliards d'euros d'actifs et représentant au total environ 75% des actifs totaux des banques de l'Union européenne, selon l'ABE.
Pour les banques plus petites et donc exclues de l'échantillon pris en compte par l'ABE, la Banque centrale européenne (BCE) mettra à l'oeuvre son propre test de résistance. Ce dernier concernera 45 banques.
Le résultat des deux exercices devrait être connu début août 2025.
Si la BCE précise que ces tests ne sont pas binaires ("de réussite ou d'échec"), l'institution prévient qu'elle a remarqué "des projections trop optimistes" par le passé, et qu'elle va mettre en place des mesures pour "décourager" les projections qu'elle juge "imprudentes".
Le dernier test de résistance de l'ABE avait été lancé en 2023. A l'époque, les résultats du test avaient permis de "confirmer la résilience du système bancaire français", avait indiqué l'Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), gendarme français des banques et des assurances.
Les banques françaises avaient cependant moins bien réussi l'exercice que leurs homologues de l'UE.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Le tourisme mondial a retrouvé son niveau pré-Covid en 2024
Environ 1,4 milliard de touristes ont effectué un voyage à l'étranger l'an dernier, soit un chiffre identique au niveau pré-pandémique, selon une estimation publiée lundi par l'ONU Tourisme, qui fait notamment état d'une forte reprise du secteur en Asie.
Selon cette agence onusienne basée à Madrid, le nombre de voyages touristiques internationaux a dépassé de 11% celui de 2023 (1,3 milliard) et s'est hissé au niveau de 2019, dernière année avant la pandémie de Covid-19 et date du précédent record.
"En 2024, le tourisme mondial a achevé son rétablissement post-pandémie", souligne dans un communiqué le secrétaire général de l'ONU tourisme, Zurab Pololikashvili, qui fait état de chiffres supérieurs à ceux de 2019 dans de nombreuses régions.
En Europe, principale destination touristique au monde, 747 millions d'arrivées internationales ont ainsi été enregistrées, grâce à une forte demande intrarégionale. C'est "5% de plus qu'en 2023" et "1% de plus qu'en 2019", souligne l'agence.
Le nombre de voyageurs internationaux a également fortement progressé en Afrique du nord (+22% par rapport à son niveau pré-pandémique), au Moyen-Orient (+22%) et en Amérique centrale (+17%).
Selon l'ONU Tourisme, la région Asie-Pacifique est celle qui a connu la plus forte progression sur l'année écoulée, avec 33% de touristes en plus qu'en 2023, grâce à la levée totale des restrictions sanitaires en Chine.
Dans cette région, le niveau de fréquentation touristique reste cependant inférieur à celui de 2019, détaille l'agence onusienne, anciennement connue sous le nom d'Organisation mondiale du tourisme (OMT).
"La croissance devrait se poursuivre tout au long de 2025", souligne dans le communiqué Zurab Pololikashvili, qui dit s'attendre à une croissance de "3 à 5% par rapport à 2024", portée en particulier par l'Asie.
"Cela nous rappelle notre immense responsabilité en tant que secteur" économique, ajoute le secrétaire général de l'agence onusienne, jugeant nécessaire de "placer les gens et la planète au centre du développement du tourisme".
La forte progression du nombre de visiteurs a en effet suscité l'an dernier des crispations dans de nombreux pays, où des habitants ont exprimé leur ras-le-bol face aux conséquences du "surtourisme", notamment sur le prix des logements.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
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