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Législatives: le barrage contre l'extrême droite prend forme

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Plus de 200 désistements ont été enregistrés dans une tentative de constitution d'un "front républicain" contre le Rassemblement national aux portes de la majorité absolue. (photo prétexte) (© KEYSTONE/AP/Jean-Francois Badias)

Le barrage contre l'extrême droite a pris forme en France mardi avant le second tour des législatives, avec le désistement de plus de 210 candidats de gauche ou macronistes au profit de leurs rivaux, pour empêcher le RN d'obtenir la majorité absolue dimanche.

Le dépôt des candidatures, clos officiellement à 18h00, donne une vision claire de la physionomie de ces élections historiques, provoquées par la dissolution choc de l'Assemblée nationale le 9 juin par le président Emmanuel Macron.

Majoritairement de gauche (127) ou du camp macroniste (81), ces candidats étaient pour la plupart arrivés troisièmes au premier tour dans une circonscription où le Rassemblement National (RN) était en tête au premier tour.

Au total, avec les plus de 210 désistements recensés par l'AFP, seulement une grosse centaine de triangulaires et quadrangulaires (trois ou quatre candidats qualifiés) subsistent, sur les 311 prévues dimanche dernier.

Souvent sans enthousiasme, ces retraits visent à empêcher le RN et ses alliés de former un gouvernement qui serait historique, l'extrême droite n'ayant jamais été au pouvoir dans le pays depuis la Seconde guerre mondiale.

La plupart des projections en sièges réalisées ces derniers jours indiquent que le RN peinera à atteindre la majorité absolue de 289 députés. Les analystes privilégient le scénario de trois blocs à l'Assemblée (extrême droite, gauche, macronistes), ce qui pourrait rendre le pays ingouvernable alors qu'il s'apprête à accueillir les Jeux olympiques.

Un président affaibli

Le président du RN Jordan Bardella, 28 ans, promis au poste de Premier ministre en cas de majorité absolue RN, a dénoncé des "alliances du déshonneur" et appelé les électeurs à lui donner les clés du pouvoir "face à la menace existentielle pour la nation française" que représente selon lui la gauche.

La figure de proue de l'extrême droite, Marine Le Pen a évoqué mardi la possibilité de former un gouvernement avec une majorité relative de 270 députés, complétée avec des soutiens, "par exemple divers droite, divers gauche, quelques LR" (Les Républicains, droite).

M. Macron, qui a ouvert la porte à cette vague d'extrême droite en convoquant ces élections anticipées, a affirmé pour sa part lundi à ses ministres que "pas une voix" ne devait aller au RN.

Une manière de répondre à ceux qui, dans sa majorité et à l'instar du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, renvoient dos-à-dos le RN et La France insoumise (LFI), parti de gauche radicale dont certains membres ont été accusés de flirter pendant la campagne des européennes avec l'antisémitisme.

Mais la voix du président français, qui n'a pas pris la parole publiquement depuis une déclaration à Bruxelles jeudi et une lettre publiée dimanche, ne porte plus dans son propre camp.

Celui-ci lui reproche l'échec cinglant du premier tour et sa relégation en troisième position, loin derrière le RN et la gauche.

"Je suis chef de la majorité, c'est moi qui dirige cette campagne" et "l'important c'est ma parole", a rappelé le Premier ministre Gabriel Attal.

Le chef de l'Etat, attendu pour le sommet de l'Otan à Washington la semaine prochaine juste après le scrutin, est également affaibli sur la scène internationale, qui scrute avec attention ou inquiétude le résultat de dimanche.

Coalition ?

La journée de mardi a vu une passe d'armes entre Marine Le Pen et la présidence française.

Double finaliste de la présidentielle face à M. Macron (2017 et 2022), Mme Le Pen a mis en garde contre un éventuel "coup d'Etat administratif" du camp présidentiel, accusé de vouloir procéder à une vague de nominations avant une éventuelle cohabitation, notamment à la tête de la police et de la gendarmerie.

En réponse, l'Elysée l'a appelée à faire preuve de "sang froid" et de "mesure".

Si le RN ne pouvait gouverner, les macronistes, une partie de la gauche et certains LR pourraient bâtir une "grande coalition", courante dans d'autres pays européens mais étrangère aux traditions politiques françaises.

M. Attal a ainsi parlé d'une "Assemblée plurielle", le LR Xavier Bertrand évoquant de son côté un "gouvernement de sursaut national".

"Beaucoup de ceux qui hier étaient de manière acharnée dans l'opposition réfléchissent", a assuré le centriste et macroniste François Bayrou.

Mais un représentant de la gauche radicale, Manuel Bompard, a exclu que LFI participe à une telle coalition. "Les Insoumis ne gouverneront que pour appliquer leur programme, rien que le programme mais tout le programme", a-t-il affirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Les Français commencent à voter pour un second tour historique

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La France est déchirée au moment du 2e tour des législatives, avec Jordan Bardella/RN (sur l'affiche) qui polarise. (© KEYSTONE/EPA/Mohammed Badra)

Les Français ont commencé à voter dimanche pour le second tour des législatives, un scrutin historique dont le RN pourrait sortir vainqueur, avec une grande incertitude toutefois sur sa capacité à obtenir la majorité absolue à l'Assemblée.

Les électeurs peuvent se rendre aux urnes jusqu'à 18h00 ou 20h00 dans les grandes villes, heure à laquelle se dessineront les premiers résultats.

La mobilisation s'annonce toujours forte avec une participation attendue au même niveau qu'au premier tour où elle avait atteint 66,7%, du jamais-vu depuis la précédente dissolution en 1997.

Dimanche dernier, les Français ont placé le Rassemblement national (RN) - et ses alliés issus de LR - largement en tête (33%), devant l'alliance de gauche Nouveau Front populaire (NFP, 28%), et le camp présidentiel Ensemble (20%).

A l'échelle du pays, rarement des élections législatives auront déchaîné autant les passions, suscité l'anxiété des uns ou l'espoir de ceux qui, en votant pour le parti de Marine Le Pen, veulent donner à sa famille politique la possibilité de gouverner.

Un gouvernement issu de l'extrême droite en France serait une première depuis la Deuxième Guerre mondiale.

Nombreux désistements

Mais la campagne de l'entre deux-tours a été marquée par le désistement de très nombreux candidats du camp macroniste et du NFP, au nom d'un "front républicain" revigoré par la perspective d'une nomination du président du RN Jordan Bardella, 28 ans, à Matignon.

Au total 130 candidats NFP et 80 Ensemble se sont retirés, faisant passer le nombre de triangulaires de 306 à 89.

Conséquence de ces retraits, la perspective d'une majorité absolue pour le RN semble s'éloigner.

Quelques heures avant la fin de la campagne électorale vendredi à minuit et le début d'une période de réserve, plusieurs sondages semblaient montrer un resserrement entre les trois blocs (RN/NFP/Ensemble).

Encore faut-il noter la fragilité de ces prévisions avec, comme le soulignait le président délégué d'Ipsos Brice Teinturier vendredi, une "cinquantaine de circonscriptions qui se joue dans un mouchoir de poche".

Marine Le Pen juge, elle, "sérieuses" les chances du RN "d'avoir une majorité absolue à l'Assemblée", estimant que les projections en sièges "ne sont pas une science exacte".

"Au pied du mur"

Si tel n'était pas le cas, s'ouvrirait après des élections éprouvantes pour les partis et le pays une période d'incertitude et d'intenses tractations.

Le Rassemblement national en situation de majorité relative parviendra-t-il à rallier les voix lui manquant pour constituer une majorité absolue?

A l'inverse, les autres partis réussiront-ils à constituer une majorité alternative, comme l'ont appelé de leurs voeux plusieurs ténors de la majorité?

Dans cette hypothèse, "chacun sera quelque part au pied du mur pour avancer au service de nos concitoyens" au-delà des "clivages", a affirmé le Premier ministre Gabriel Attal, en écartant la possibilité de gouverner avec le RN ou LFI, qui ne le souhaitent de toute façon pas.

La droite ne semble pour l'instant guère encline à entrer dans une construction de ce type. "Il est hors de question de faire quelque coalition que ce soit avec qui que ce soit", a déclaré mercredi à l'AFP l'ancien président du groupe LR à l'Assemblée, Olivier Marleix.

Ecologistes et socialistes semblent encore indécis. Marine Tondelier (EELV) estime qu'il "faudra sûrement faire des choses que personne n'a jamais faites auparavant dans ce pays" en l'absence de majorité claire.

Mais, pour le patron du PS Olivier Faure, le prochain gouvernement "ne sera pas en mesure de s'imposer", ce qui contraindra de chercher des majorités "texte par texte".

Retrouvant par la grâce du front républicain son statut de meilleur opposant au "système", le RN a dénoncé par avance des "magouilles" destinées à le priver du pouvoir.

30'000 policiers

Reste encore l'hypothèse d'un gouvernement technique, comme celui qui avait sauvé l'Italie de la crise de la dette en 2011.

Gabriel Attal s'est en tout cas déclaré disponible pour assurer la continuité de l'Etat "aussi longtemps que nécessaire", c'est-à-dire expédier les affaires courantes en attendant la formation d'un nouveau gouvernement. La question se pose d'autant plus que Paris accueillera les Jeux Olympiques du 26 juillet au 11 août.

"Je pense que nous allons dans une situation (...) qui reste instable, inédite, historique et extraordinairement difficile", a craint M. Teinturier.

La fin de campagne, dans un climat de grande tension, a été marquée par des agressions et violences envers des candidats ou militants.

Face à d'éventuels débordements dimanche soir, 30'000 policiers seront mobilisés, dont 5000 à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Angleterre - Suisse: cinq séances de tirs au but perdues sur six...

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Une nouvelle séance de tirs au but vécue comme une torture dans le camp suisse. (© KEYSTONE/PETER KLAUNZER)

Cela ressemble de plus en plus à une malédiction. Depuis la Coupe du monde 2006, la Suisse a perdu cinq des six séances de tirs au but qu’elle a disputées.

Il y a dix-huit ans, la Suisse avait sans doute livré en huitième de finale de la Coupe du monde face à l’Ukraine l’une des séances les plus pitoyables de l’histoire du football. Avec les échecs successifs de Marco Streller, de Tranquillo Barnetta et de Ricardo Cabanas alors que Pascal Zuberbühler avait pourtant détourné la première frappe des Ukrainiens armée par Andriy Shevchenko en personne, la Suisse était devenue la première équipe de l’histoire à perdre une séance de tirs au but en Coupe du monde sans transformer un seul penalty.

Le péché originel

Même s’ils furent cléments lors du huitième de finale de l’Euro 2021 contre la France à Bucarest, les dieux du football feront peut-être toujours payer au football suisse le péché originel, c’est-à-dire l’absurde remplacement d’Alex Frei dans les dernières minutes de la prolongation contre l’Ukraine. Comme si l’on ne jouait pas impunément avec les lois du football qui commandent que le meilleur frappeur tire le premier penalty d’une séance. Huit mois avant cette nuit tragique de Cologne, c’est bien Alex Frei qui avait réussi le penalty du 1-0 lors du barrage retour à Istanbul contre la Turquie alors que des dizaines de lasers étaient braqués sur ses yeux. Comment a-t-on pu l'oublier à l'instant où l'on a procédé à son remplacement ?

La question est donc posée : Murat Yakin a-t-il commis une erreur samedi à Dusseldorf en ne s’opposant pas à la volonté de Manuel Akanji de tirer le premier penalty pour la Suisse ? "Non jamais de la vie, répond son assistant Giorgio Contini. A l’entraînement, Manu en a tiré 200. Sans en rater un seul. Il annonçait même au gardien le coin où il allait tirer. Et malgré ses indications, le gardien ne pouvait rien faire. Ce qui s’est passé contre l’Angleterre rappelle une vérité : le football échappe parfois à toute logique."

Murat Yakin avait fait tout juste

Murat Yakin avait pourtant posé tous les atouts sur la table pour gagner cette séance de tirs au but. Dans les prolongations, il n’a pas oublié d’introduire trois véritables spécialistes de cet exercice si particulier, Xherdan Shaqiri, bien sûr, mais aussi Zeki Amdouni et Vincent Sierro. Shaqiri et Amdouni ont marqué d’une manière imparable alors que Sierro devait tirer le cinquième penalty. Contrairement à Didier Deschamps la veille qui avait ordonné trop tardivement l’introduction d’Olivier Giroud auprès du quatrième officiel pour qu’il puisse participer à la séance des tirs au but, Murat Yakin et Giorgio Contini ont fait tout juste. On se risque à penser qu'une autre histoire aurait pu s'écrire s’ils avaient été aux affaires en 2006...

Ce Suisse – Angleterre de Düsseldorf a, par ailleurs, éveillé un autre souvenir de la Coupe du monde 2006. Dans les ultimes secondes du temps réglementaire, Breel Embolo a eu le – mauvais – réflexe de couper un centre pour effleurer un ballon qui était promis à la tête de Dan Ndoye pour un but tout fait. Face à la France en 2006 à Stuttgart pour le premier match de poules, c’est Johan Djourou qui aurait dû marquer le but de la victoire à l’ultime seconde si Alex Frei n’avait pas surgi de manière inappropriée. Cruel, le football raconte souvent les mêmes déchirements...

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Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Le Brésil éliminé aux tirs au but par l'Uruguay

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Une élimination sans gloire pour le sélectionneur Dorival Junior (à gauche) et Luca Paqueta (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Clap de fin pour le Brésil à la Copa America ! Les quintuples Champions du monde ont été éliminés en quart de finale, battus 4-2 aux tirs au but par l'Uruguay à Las Vegas.

L'Euro disputé en Allemagne ne détient donc pas le monopole des matches fermés, comme l'ont prouvé le Brésil et l'Uruguay samedi. Souvent rugueux et parfois violents, les Uruguayens ont commis 26 des 41 fautes du match, terminant la rencontre à dix après l'expulsion pour un tacle non maîtrisé de Nahitan Nandez directement sur la cheville de Rodrygo (74e).

Entre les fautes, les roulades et les contestations incessantes, quelques éclairs de football ont traversé la rencontre, notamment dans les pieds du prodige brésilien Endrick, titularisé à 17 ans à la pointe de l'attaque en l'absence de la star du Real Madrid Vinicius Jr., suspendu.

Endrick a fait mal aux défenseurs de la Celeste par ses prises de balle et ses dribbles, mais a été particulièrement ciblé par les défenseurs uruguayens, pour des coups dans le jeu, dès la première minute, ou parfois loin du ballon et du regard de l'arbitre.

Sevré d'occasions, l'Uruguay de Marcelo Bielsa s'est accroché jusqu'à la séance de tirs au but, où le gardien Sergio Rochet a arrêté la tentative d'Eder Militao, avant de voir Douglas Luiz tirer sur le poteau. Un arrêt d'Alisson face à Jose Maria Gimenez aura été insuffisant pour le Brésil, éliminé par un tir réussi du milieu du Paris SG Manuel Ugarte.

Après trois succès en phase de poules, l'Uruguay a montré les muscles pour gagner le droit de défier à Charlotte en demi-finale la Colombie, flamboyante vainqueure du faible Panama (5-0) plus tôt dans la journée. Invaincus depuis 27 rencontres et début 2022, les Cafeteros sont portés lors de la Copa par leur meneur de jeu James Rodriguez, qui illumine la compétition de son pied gauche, avec un but et deux nouvelles passes décisives samedi (cinq en quatre matches).

Le vainqueur affrontera en finale le 14 juillet soit l'Argentine de Lionel Messi, soit le Canada, opposés dans l'autre demi-finale mardi à New York.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les Tokyoïtes votent pour la mairie: deux femmes en lice

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Les sondages donnent la conservatrice Yuriko Koike, en tête, pour effectuer un troisième mandat, de quatre ans. (© KEYSTONE/EPA/KIMIMASA MAYAMA)

Les habitants de Tokyo ont commencé à voter dimanche pour élire leur gouverneur (maire), avec deux femmes comme principales candidates, la conservatrice sortante Yuriko Koike et Renho, une figure de l'opposition, dans un paysage politique dominé par les hommes.

Le Japon n'a jamais eu de femme Premier ministre et la grande majorité des députés sont des hommes, mais la capitale japonaise, qui représente un dixième de la population du pays et pèse pour un cinquième de son économie, est dirigée depuis 2016 par Mme Koike, une ancienne présentatrice de télévision de 71 ans.

Les sondages donnent la conservatrice, qui fut ministre de la Défense et de l'Environnement, en tête, pour effectuer un troisième mandat, de quatre ans.

Yuriko Koike était à la tête de la métropole pendant les Jeux olympiques de Tokyo-2020, qui ont eu lieu en 2021, et avait passé le drapeau olympique à Anne Hidalgo, la maire de Paris lors de la cérémonie de clôture.

Son élection serait bienvenue pour le Parti libéral-démocrate au pouvoir, via l'impopulaire Premier ministre Fumio Kishida, qui soutient Mme Koike. Des élections nationales sont prévues au Japon fin 2025.

Ce scrutin intervient dans un contexte d'inquiétude sur la démographie. Le taux national de fécondité a atteint l'an dernier un nouveau plus bas à 1,2 enfant par femme en moyenne, et ce chiffre est encore plus bas à Tokyo, avec un taux de 0,99.

Yuriko Koike et sa rivale, Renho, qui ne porte qu'un nom et est soutenue par les principaux partis d'opposition du Japon, se sont toutes deux engagées à accroître l'aide à l'éducation des enfants, Mme Koike promettant de subventionner les péridurales.

"Après avoir eu leur premier enfant, j'entends certaines dire qu'elles ne veulent plus jamais ressentir cette douleur", a affirmé Mme Koike, selon les médias locaux.

"Je veux que les gens considèrent l'accouchement et l'éducation des enfants comme un bonheur et non comme un risque". "Je mettrai en oeuvre de véritables mesures de fertilité à long terme", a déclaré Renho, promettant aussi des réformes fiscales transparentes.

Le candidat indépendant Shinji Ishimaru, un ancien banquier de 41 ans, pourrait faire figure d'outsider dans la course, selon de récents sondages.

Un nombre record de 56 candidatures ont été enregistrées pour cette élection, dont beaucoup sont fantaisistes. Un candidat déguisé en "Joker" appelle à la légalisation de la polygamie, tandis que d'autres font campagne pour plus de golf, de poker ou simplement pour se faire de la publicité.

Les médias locaux estiment que le taux de participation pourrait être supérieur à celui de 2020, au vu d'une hausse de 20% des votes anticipés par rapport au dernier scrutin.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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