Rejoignez-nous

International

Renaud Lavillenie échoue à se qualifier

Publié

,

le

Renaud Lavillenie n'est pas parvenu à se qualifier pour les JO de Paris (© KEYSTONE/EPA/DIEGO AZUBEL)

Pas de JO à la maison pour Renaud Lavillenie!

Le champion olympique 2012 et ex-détenteur du record du monde du saut à la perche a échoué à se qualifier pour les Jeux de Paris, dimanche aux Championnats de France à Angers. Cette compétition constituait sa dernière chance.

Dans un concours disputé le jour même de la date limite de qualification, Lavillenie devait impérativement franchir 5m82, la hauteur des minima olympiques, pour s'offrir un billet pour le Stade de France dans un mois et participer à ses quatrièmes Jeux. Mais, après avoir passé 5m60, le Français de 37 ans a échoué à trois reprises à 5m72.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

16 nouveaux athlètes sélectionnés pour Paris

Publié

le

Noè Ponti logiquement sélectionné pour les JO (© KEYSTONE/PATRICK B. KRAEMER)

La délégation suisse pour les JO de Paris compte désormais 98 athlètes. Avec Nikita Ducarroz (BMX), Jérémy Desplanches et Noè Ponti (natation), trois médaillés de Tokyo 2021 ont été sélectionnés.

Le champion du monde de judo 2023 Nils Stump a également été sélectionné. Et pour la première fois dans l'histoire olympique, un grimpeur et un golfeur représenteront la Suisse à Paris.

Au total, Swiss Olympic a sélectionné 16 nouveaux athlètes: huit en natation, trois en judo, deux en pentathlon moderne, un en BMX freestyle, un en escalade et un en golf.

En natation, une femme et sept hommes seront présents: Lisa Mamié, Thierry Bollin, Antonio Djakovic, Roman Mityukov et Noè Ponti - ainsi que Tiago Behar, Jérémy Desplanches et Nils Liess, qui participeront exclusivement aux courses de relais. Il y a trois ans, à Tokyo, la Suisse était représentée par sept athlètes, Ponti (bronze sur 100 m papillon) et Desplanches (bronze sur 200 m quatre nages) avaient remporté des médailles. Bollin, 24 ans, et Behar, 22 ans, participeront pour la première fois aux Jeux.

En judo, les espoirs suisses reposeront sur Nils Stump. Il y a trois ans à Tokyo, Stump avait perdu dès son premier combat. Depuis, le Zurichois a remporté l'or (CM 2023) et le bronze (CM 2024) dans la catégorie des moins de 73 kilos. Binta Ndiaye et Daniel Eich participeront pour la première fois aux Jeux.

Nikita Ducarroz, médaillée de bronze il y a trois ans à Tokyo, est présente pour la deuxième fois aux JO dans sa discipline du BMX Freestyle. Joel Girrbach en golf et Sascha Lehmann en escalade seront les premiers Suisses à participer aux JO dans leur discipline respective. Après 16 ans (et pour la première fois depuis Pékin 2008), la Suisse sera en outre à nouveau représentée en pentathlon moderne avec Anna Jurt et Alexandre Dällenbach.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

France: incertitudes et tensions à trois jours du verdict des urnes

Publié

le

Ulcérée par le nouveau "front républicain", la cheffe de file du RN Marine Le Pen a dénoncé jeudi la mise en place d'un "parti unique" réunissant "ceux qui veulent conserver le pouvoir contre la volonté du peuple". (© KEYSTONE/AP/Thibault Camus)

A trois jours du second tour de législatives historiques en France, les partis jettent leurs dernières forces dans la bataille. Cela dans un pays fracturé et menacé d'ingouvernabilité qui pourrait voir l'extrême droite arriver au pouvoir.

La dynamique en faveur du Rassemblement national (RN, extrême droite), arrivé en tête du premier tour, pourrait être freinée par les très nombreux désistements de candidats de droite, centre-droit et gauche (plus de 200 à gauche et chez les macronistes). Des renoncements consentis dans la douleur pour empêcher l'extrême droite de décrocher la majorité absolue à l'Assemblée et de former un gouvernement, prenant le pouvoir pour la première fois depuis 80 ans.

Ulcérée par ce nouveau "front républicain", la cheffe de file du RN Marine Le Pen a dénoncé jeudi la mise en place d'un "parti unique" réunissant "ceux qui veulent conserver le pouvoir contre la volonté du peuple".

Les électeurs de gauche hésitent

Selon les derniers sondages, la possibilité pour le RN d'accéder à la majorité absolue de 289 députés semble s'éloigner. Mais, partout en France, des électeurs de gauche hésitent à faire une nouvelle fois barrage à l'extrême droite, lors de ce scrutin provoqué le 9 juin par la décision choc du président Emmanuel Macron de dissoudre l'Assemblée.

"Macron a été élu par des voix de gauche. Il aurait dû faire des concessions à gauche, mais il n'en a fait qu'à droite", regrette Michel, 66 ans, devant un stand de fruits et légumes dans le Calvados (ouest).

Ancienne institutrice, Claude se résignera à voter pour le camp macroniste, inquiète de ceux qui veulent "essayer" l'extrême droite. "L'isoloir n'est pas une cabine d'essayage", dit-elle.

Arrivé en tête des européennes du 9 juin à gauche, l'eurodéputé Raphaël Glucksmann s'est adressé à ces électeurs en assurant qu'il n'était pas "indigne de voter 'contre'".

Bardella y croit toujours

Malgré ces appels au barrage, le jeune président du RN Jordan Bardella croit à la victoire de son camp, qui le propulserait au poste de Premier ministre à 28 ans. "Nous aurons la majorité absolue", a-t-il affirmé mercredi sur la chaîne BFMTV, assurant que son gouvernement était "prêt".

En face, la coalition de gauche du Nouveau Front populaire (NFP) et le camp macroniste (centre-droit) ne cessent d'alerter sur le péril de l'extrême droite, pointant les dérapages racistes de candidats du RN, ramenés au rang de simples "brebis galeuses" par la formation d'extrême droite.

Pays ingouvernable?

Mais sauf basculement improbable, aucun de ces deux blocs n'obtiendra de majorité claire dans la nouvelle Assemblée, aggravant le risque d'un pays ingouvernable sous l'oeil inquiet des partenaires européens de la France et ce, alors que Paris accueille les JO dans moins d'un mois.

"On vote dimanche en France. C'est une autre élection dont l'issue peut inquiéter", a déclaré mercredi soir le chancelier allemand Olaf Scholz. "Faisons tout pour qu'ensemble nous protégions notre grande et belle Europe et que nous ne laissions pas les populistes d'extrême droite la dominer".

Certains responsables du centre-droit et de la gauche envisagent une vaste coalition pour échapper à la paralysie, mais ses contours restent extrêmement flous et sept années de pouvoir macroniste ont creusé de profonds fossés entre la majorité sortante et les oppositions.

Expérimenter des alliances transpartisanes

Certaines formations de gauche semblent toutefois prêtes à expérimenter des alliances transpartisanes, fréquentes en Allemagne mais inédites en France. "Ce que je souhaite, c'est ne pas provoquer de chaos dans mon pays, la France doit être gouvernable", a déclaré jeudi le patron du Parti communiste français, Fabien Roussel.

Dans le camp présidentiel, laminé aux européennes du 9 juin, le Premier ministre Gabriel Attal juge qu'une "forme de nouvelle donne est nécessaire" même s'il exclut tout rapprochement avec la gauche radicale de La France insoumise (LFI).

Dans ce climat tendu, les autorités redoutent par ailleurs des troubles au soir du second tour entre ultradroite et ultragauche. Mercredi, la porte-parole du gouvernement Prisca Thévenot a affirmé avoir subi avec son équipe "une agression lors d'une opération de collage d'affiches électorales" en banlieue parisienne.

Satisfaction à Moscou

La Russie, elle, ne semble pas mécontente des fractures françaises. "Le premier tour (des législatives), de même que les élections européennes de juin, ne peuvent être considérés autrement que comme un vote de défiance des Français à l'égard des autorités actuelles, y compris de la politique extérieure de Paris", a déclaré un porte-parole de la diplomatie russe, Andreï Nastassine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Climat

Des inondations font neuf morts en Inde et au Bangladesh

Publié

le

Plus de 2800 villages de l'Etat indien d'Assam sont touchés par les intempéries. (© KEYSTONE/AP/Anupam Nath)

Des pluies torrentielles et des rivières en crue ont fait au moins neuf morts dans le nord-est de l'Inde et au Bangladesh voisin, ont annoncé jeudi les autorités de ces deux pays. Plus de trois millions de personnes sont concernées.

Si les pluies de mousson provoquent chaque année des dégâts considérables, les experts estiment que le changement climatique la rend plus forte et plus irrégulière.

Les autorités en charge de la région des catastrophes dans l'Etat indien d'Assam, au nord-est du pays, ont déclaré que huit personnes sont mortes mercredi, ce qui porte à 46 le nombre de décès dus aux pluies diluviennes depuis la mi-mai.

Au total, 2800 villages de cet Etat ont été submergés, ce qui a affecté plus de 1,6 million de personnes. Le ministre en chef de l'Assam, Himanta Biswa Sarma, a déclaré que la situation dans cet Etat était due aux pluies qui se sont abattues sur l'Etat voisin d'Arunachal Pradesh.

Au Bangladesh, pays de basse altitude qui compte quelque 170 millions d'habitants, l'agence de gestion des catastrophes a déclaré que les inondations avaient touché environ 1,8 million de personnes. Elle a mis en garde contre un risque de montée des eaux dans les trois prochains jours. Un homme de 21 ans est mort après avoir été emporté par la montée des eaux alors qu'il pêchait.

Une grande partie du pays est constituée de deltas, comme les fleuves himalayens du Gange et du Brahmapoutre, qui serpentent lentement vers la mer après avoir traversé l'Inde. La mousson d'été représente 70 à 80% des précipitations annuelles en Asie du Sud et provoque de nombreux décès et des destructions dus à des inondations et des glissements de terrain.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Football

Erdogan à Berlin pour Pays-Bas-Turquie après l'enquête sur Demiral

Publié

le

Merih Demiral et son geste controversé alors que le président turc Erdogan sera présent en Allemagne pour le quart de finale de l'Euro (© KEYSTONE/EPA/HANNIBAL HANSCHKE)

Le président turc Erdogan assistera samedi en Allemagne au quart de finale de l'Euro opposant les Pays-Bas à la Turquie. Ceci en pleine tension avec Berlin après le geste controversé de Demiral.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan assistera samedi en Allemagne au quart de finale de l'Euro opposant les Pays-Bas à la Turquie. Ceci en pleine tension avec Berlin après le geste controversé de Demiral.

L'UEFA a annoncé mercredi l'ouverture d'une enquête sur un "comportement potentiellement inapproprié" du défenseur Merih Demiral, mardi lors du 8e de finale face à l'Autriche, auteur du signe de ralliement des "Loups gris" -un groupe de l'extrême droite turque-, ouvrant une polémique entre Berlin et Ankara.

L'Allemagne a d'ailleurs convoqué jeudi matin l'ambassadeur de Turquie à Berlin, a indiqué une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Mercredi, la Turquie avait convoqué l'ambassadeur d'Allemagne à Ankara pour protester contre les propos d'une ministre allemande condamnant le geste de Demiral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Capricorne

Au niveau amoureux, laissez les choses évoluer naturellement. Accordez un peu de confiance à la vie pour voir comment tout cela se déroule.

Les Sujets à la Une

X