Suisse
La Comco rappelle à l'ordre quatre entreprises valaisannes
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Quatre entreprises valaisannes de gestion des déchets se sont fait remonter les bretelles par la Commission de la concurrence (Comco). Des comportements problématiques au regard du droit des cartels ont été identifiés.
Toutefois la situation a été régularisée rapidement, ce qui explique la légèreté de la sanction, explique jeudi l'autorité.
D'une part, les quatre entreprises se sont concertées lors de la procédure de passation de marché dans le cadre d'appels d'offres lancés par des communes. Concrètement, la Comco a constaté dans le premier cas que deux de ces entreprises se sont concertées pour savoir laquelle présenterait une offre, limitant la concurrence dans l'attribution de la commande publique. La Comco n'a infligé qu'une amende de 100'000 francs pour cela. Dans deux autres cas, des entreprises ont échangé des informations lors de la procédure d'appels d'offres, mais la Comco a renoncé à une sanction.
D'autre part, trois sociétés ont également coopéré, se rendant coupables d'échanger des informations confidentielles, dans le domaine de l'élimination des déchets, avec la création d'un centre de tri commun.
Les quatre entreprises s'abstiendront à l'avenir de tout comportement problématique. "Pour cette raison, ainsi qu'en raison de la bonne coopération avec l'autorité et de la légèreté des infractions, trois des quatre entreprises concernées n'ont pas été sanctionnées", écrit la Comco.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Protection des mineurs: Vaud veut consulter les cantons romands
Le Conseil d'Etat dit avoir pris acte vendredi de l'audit de la Cour des comptes sur la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ). Dans un processus d'amélioration continue, le service a déjà engagé plusieurs réformes internes afin de moderniser l'organisation et renforcer la qualité de son action, réagit-il. Le gouvernement appelle aussi à des discussions avec d'autres cantons romands.
"Le Conseil d'Etat constate qu'une grande majorité des recommandations du rapport de suivi porte sur la formalisation des processus internes, et non sur la qualité du travail effectué au quotidien par les professionnels de la protection des mineurs", écrit-il dans un communiqué.
"Dans son analyse, la Cour relève en effet que l'évolution de la DGEJ ces dix dernières années est importante et que les nombreuses mesures engagées pour mettre en oeuvre les recommandations de son premier audit de 2016 sont pertinentes. A ce jour, la Cour retient principalement que le travail des assistants sociaux en protection des mineurs (ASPM) doit être mieux documenté et que les objectifs des actions socioéducatives doivent être mieux définis", est-il noté.
"La DGEJ est consciente de l'importance de disposer d'une traçabilité irréprochable de ses interventions". Elle rappelle qu'elle a entamé en 2023 une modernisation complète du système d'information et développé de nombreux outils pour mieux guider l'appréciation des ASPM et améliorer les informations communiquées à la justice.
Le lancement de l'application de soutien aux placements (ASAP), au 1er janvier 2026, puis du dossier unique de l'enfant (DUNE) en janvier 2027, "constitue la dernière étape qui permettra de répondre aux différentes recommandations de la Cour des comptes".
Première rencontre intercantonale
S'agissant de l'évaluation régulière de la mise en danger des enfants ou de la charge de travail des professionnels, le Conseil d'Etat rejoint par ailleurs la Cour sur la nécessité d'agir et estime que la réponse ne saurait se limiter au renforcement des processus ou d'outils existants. "Ces enjeux dépassent le seul Canton de Vaud et appellent une discussion à plus large échelle".
A l'initiative du DJES, une première rencontre entre les responsables politiques romands et les directions de services aura lieu ce printemps afin d'échanger sur ces défis communs, annonce le gouvernement vaudois. Les enseignements tirés de ces échanges permettront de formuler des propositions concrètes afin de soutenir durablement les professionnels engagés au quotidien dans l'intérêt des enfants, souligne-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: budget 2026 validé mais renchérissement réduit de moitié
Le budget 2026 du canton du Valais a été validé par le Grand Conseil vendredi. Seul le PS a voté contre. Il boucle sur un excédent de recettes de 2,4 millions de francs. Le Parlement n'a accordé que 0,3% de renchérissement et a supprimé la création de 20 EPT.
Malgré six votes durant la semaine défendant l'idée d'un plein renchérissement à hauteur de 0,6%, le Grand Conseil a fait volte-face, afin de respecter le double frein à l'endettement. Ce changement de paradigme (0,3%) a permis à l'Etat du Valais d'économiser 3,2 millions de francs.
Une mesure comptable (1,2 million de francs) et la budgétisation de la participation qui sera facturée aux communes (875'000 francs) pour la hausse du budget dévolue à l'entretien des routes ont également permis d'équilibrer le budget.
Lundi, la majorité du Parlement avait validé, pour une voix, la création de 20 postes non-autofinancés et à durée indéterminée (pour 2,4 millions de francs) au sein de l'Etat du Valais. Le débat a été rouvert vendredi. Ce second vote a été différent du premier (65 non, 63 oui).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Protection de la jeunesse: réformes saluées, mais trop lentes
Dix ans après un premier audit, la Cour des comptes vaudoise constate qu'il reste encore quelques failles dans le système étatique de la protection de la jeunesse. Si les réformes au sein de l'ex-SPJ ont permis une meilleure gouvernance et un resserrement du suivi des dossiers des enfants, il reste encore plusieurs améliorations importantes à apporter au sein de la Direction générale de l'enfance et de la jeunesse (DGEJ).
La réorganisation recommandée en 2016 après un audit sévère de la Cour des comptes visait à renforcer la protection de l'enfant, garantir le respect systématique de son intérêt supérieur, mais aussi favoriser son droit à participer et à être entendu dans les décisions qui le concernent. Il s'agissait aussi de mieux démontrer systématiquement le bien-fondé des décisions et d'améliorer la communication avec les parents et autres intervenants.
Deux ans après, le rapport de l'ancien juge fédéral Claude Rouiller avait, lui, pointé du doigt les graves erreurs du Service de la protection de la jeunesse (SPJ) à la suite d'une affaire d'un père abuseur dans le canton. Ses 26 recommandations, dont certaines communes avec la Cour, avaient encore accéléré les réformes.
Depuis septembre 2020, c'est l'ex-directrice d'Amnesty International Suisse Manon Schick qui est à la tête de la rebaptisée DGEJ.
Lenteur critiquée
Dans son audit de suivi, la Cour s'est limitée à l'appréciation des mesures prises pour remédier aux faiblesses identifiées alors. Conclusion majeure: il y a clairement eu des améliorations, mais la DGEJ n'a pas complètement fini son travail de mue.
"Pour moitié des recommandations de l'époque, quelques petites améliorations sont à apporter, pour l'autre moitié des mesures plus importantes sont encore nécessaires", a résumé la magistrate de la Cour Nathalie Jaquerod lors d'une conférence de presse à Lausanne. "Nous regrettons par ailleurs la lenteur et le temps pris pour mettre en oeuvre nos recommandations", a-t-elle ajouté.
La protection de la jeunesse vaudoise, c'est plus de 8000 mineurs suivis chaque année, réparti sur cinq Offices régionaux de protection des mineurs (ORPM) disposant en moyenne de quelque 30 assistants sociaux (ASPM) chacun, eux-mêmes en charge d'une soixantaine de dossiers chacun. Depuis 2019, il y a eu une hausse de 30% des assistants et un doublement des postes d'encadrement.
Le budget de fonctionnement de la DGEJ se monte à 257 millions de francs en 2025, dont 200 millions pour la protection de la jeunesse.
Enfant mieux entendu
Selon la Cour, la DGEJ a renforcé "de manière significative" son processus d'appréciation des nouvelles situations qui lui sont adressées. Elle en rend "plus largement compte" à la justice de paix et aux parents. Au terme de l'appréciation, lorsqu'une action s'avère nécessaire pour l'enfant, des objectifs préliminaires sont désormais "systématiquement formulés", note le rapport d'audit.
"Ces objectifs ne sont néanmoins pas toujours suffisamment spécifiques et devraient être affinés et validés par la hiérarchie après le début de l'action socio-éducative", a expliqué Mme Jaquerod.
Des progrès importants ont aussi été accomplis pour garantir que l'enfant soit entendu sur sa situation de manière adéquate lors de l'appréciation, relève positivement la Cour. "Un effort similaire devrait être fait pour les bilans périodiques ainsi que pour garantir la prise en compte de l'avis de l'enfant sur l'intervention prévue", ajoute-elle néanmoins.
L'implication des parents dans la définition de l'action socio-éducative et le recueil de leur point de vue devraient être mieux documentés dans les différents rapports. "Il n'est par exemple pas toujours clair si les parents adhèrent aux décisions" de protection, précise la magistrate.
ASPM: privilégier le qualitatif
Un autre bémol subsiste: le fait de soumettre les situations à la limite de nécessiter un placement sous la responsabilité de la directrice générale de la DGEJ. La mission n'est pas remplie et la Cour estime que "ce point-charnière justifie une attention particulière". Elle reconnaît toutefois un nombre important de ces "cas limites", ne permettant pas une pleine application de sa recommandation.
S'agissant du nombre d'ASPM, dont "la charge de travail est très lourde", la Cour encourage la DGEJ à privilégier une approche qualitative - orientée sur le risque et la complexité des situations - plutôt qu'une gestion quantitative.
Enfin, la Cour prend acte avec satisfaction de la volonté exprimée par la DGEJ de finaliser la quasi-totalité des recommandations en s'appuyant sur son projet en cours de refonte de son système d'information (DUNE - Dossier unique de l'enfant), prévu pour 2027.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
La condamnation de l'ancien secrétaire de la FIFA est définitive
Les sentences prononcées dans l'affaire des droits médias de la FIFA sont définitives. Le Tribunal fédéral confirme en particulier la condamnation de l'ancien secrétaire général Jérôme Valcke pour corruption passive et faux dans les titres.
Dans un arrêt publié vendredi, le Tribunal fédéral rejette les recours déposés par Jérôme Valcke et un homme d'affaires grec contre leur condamnation par la Cour d'appel du Tribunal pénal fédéral. En juin 2022, cette instance avait prononcé une peine de 11 mois de prison et une sanction pécuniaire, toutes deux avec sursis, contre le premier pour corruption passive et faux dans les titres.
Le deuxième accusé avait écopé de 10 mois de prison avec sursis pour corruption active. Enfin, le président du Paris Saint-Germain (PSG) Nasser Al-Khelaifi, qui comparaissait en qualité de directeur d'un groupe de médias, avait été acquitté du grief de gestion déloyale aggravée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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