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Économie

UBS avance dans l'intégration de Credit Suisse

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En Suisse, les entités Credit Suisse (Suisse) et UBS Switzerland, pourraient fusionner dès le 1er juillet (archives). (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

La banque UBS a franchi deux nouvelles étapes dans l'intégration de son ancienne concurrente, Credit Suisse.

Aux Etats-Unis, une société holding unique a été mise en place et en Suisse, la fusion entre les deux entités helvétiques devrait avoir lieu dès le 1er juillet, précise la banque aux trois clés mardi. UBS a terminé la transition vers une société holding intermédiaire unique aux Etats-Unis le 7 juin, comme prévu, indique-t-elle dans un communiqué succinct.

En Suisse, les entités Credit Suisse (Suisse) et UBS Switzerland, pourraient fusionner dès le 1er juillet, sous réserve de l'approbation des autorités compétentes. Dans des déclarations précédentes, UBS avait indiqué que la marque "Credit Suisse" était vouée à la disparition.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

ABB est bien préparé face aux taxes douanières américaines

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ABB avait décidé d'investir 120 millions de dollars dans deux usines au Tennessee et au Mississippi avant l'arrivée de Donald Trump à la présidence, a rappelé le directeur général du groupe Peter Voser (archives). (© KEYSTONE/WALTER BIERI)

Le groupe ABB est bien préparé face aux taxes douanières américaines. Depuis des années, il mise sur la production locale, a rappelé son directeur général Peter Voser dans une interview à la NZZ am Sonntag.

La politique industrielle a changé dans le monde et, partout, les gouvernements, mais aussi les clients réclament d'entreprises comme ABB qu'elles produisent localement, a relevé M. Voser. Les investissements de 120 millions de dollars dans deux usines au Tennessee et au Mississippi avaient été décidés avant l'arrivée de Donald Trump à la présidence et font partie de "notre stratégie à long terme de renforcer la production sur place".

A la vue de ce qui se passe aux Etats-Unis, l'Europe doit renforcer ses relations avec d'autres régions, principalement l'Asie et la Chine, a déclaré M. Voser. L'Occident doit accepter que d'autres pays ont d'autres systèmes de valeurs. L'Europe et la Suisse devront faire des concessions si elles veulent continuer de profiter de la croissance globale.

Pour le patron d'ABB, la Suisse doit bouger: son plus gros débouché est à ses portes et il faut un accord avec l'Union européenne qui lui en assure l'accès, a estimé M. Voser. Sans cet accès, il y aura des perdants: les nombreuses PME suisses qui "ne sont pas aussi souples que nous" et ne peuvent simplement pas délocaliser leur production à l'étranger. La politique doit enfin comprendre à quel point l'accès au marché est important pour ces entreprises.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Pékin, Tokyo et Séoul resserrent les liens commerciaux face à Trump

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La Chine, le Japon et la Corée du Sud veulent accélérer les négociations pour conclure un accord de libre-échange trilatéral global (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/Lee Jin-man)

Le Japon, la Corée du Sud et la Chine ont affirmé dimanche qu'ils allaient renforcer leurs coopérations "afin de créer un environnement prévisible pour le commerce et l'investissement", selon un communiqué commun après une rencontre ministérielle exceptionnelle.

Des ministres des trois pays asiatiques en charge de l'industrie ou du commerce se sont retrouvés dimanche à Séoul, en réaction à l'offensive douanière du président américain Donald Trump. Ils ont aussi appelé à "accélérer" leurs négociations, en cours depuis 2013, pour conclure "un accord de libre-échange trilatéral global".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Musk annonce que sa start-up xAI a racheté X

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La start-up d'intelligence artificielle générative xAI d'Elon Musk a acquis son réseau social X (archives). (© KEYSTONE/AP/Godofredo A. Vásquez)

Elon Musk a annoncé vendredi que sa start-up d'intelligence artificielle (IA) générative, xAI, avait acquis X, son réseau social, "dans le cadre d'une transaction entièrement en actions", qui valorise la plateforme à 33 milliards de dollars hors dette.

"Les avenirs de xAI et de X sont intimement liés", a-t-il assuré dans un message sur X. Le patron de Tesla et SpaceX avait racheté Twitter fin 2022 pour 44 milliards de dollars et s'est servi du réseau social notamment pour faire campagne pour Donald Trump.

Selon le milliardaire, combiner les données, les modèles d'IA, les capacités informatiques et les ressources humaines des deux entreprises va permettre à la nouvelle entité de proposer des "services plus intelligents et plus rentables".

Il estime qu'associer "les capacités et l'expertise de xAI en matière d'IA avancée à la portée massive de X" va "libérer l'immense potentiel" de la société.

Plus de 600 millions d'utilisateurs se servent de X, a-t-il affirmé, sans donner de fréquence. L'opération "valorise xAI à 80 milliards de dollars et X à 33 milliards de dollars (45 milliards moins 12 milliards de dollars de dettes)", a-t-il encore indiqué.

Rival d'OpenAI

L'entrepreneur a fondé xAI en 2023, en réaction au succès de ChatGPT, le pionnier de l'IA générative lancé fin 2022 par OpenAI, une start-up qu'il avait contribuée à fonder avant de couper les ponts avec les autres fondateurs.

xAI a mis au point son propre chatbot, Grok, qui a l'avantage d'être alimenté par l'ensemble des conversations sur X. Il est censé donner des réponses moins "woke" et faire plus d'humour.

Sur le réseau social Twitter, rebaptisé X, Elon Musk a autorisé les propos haineux et la désinformation au nom de la liberté d'expression, faisant fuir une partie des marques inquiètes du contexte dans lequel leurs messages apparaissent.

Croissance "alimentée par la peur"

Selon le cabinet Emarketer, les annonceurs reviennent désormais sur X, qui devrait voir ses recettes publicitaires progresser cette année pour la première fois depuis 2021, autour de 17,5% aux Etats-Unis.

"Mais une partie de cette croissance est alimentée par la peur", a souligné l'analyste Jasmine Enberg, citée dans un communiqué mercredi.

"De nombreux annonceurs considèrent les dépenses sur X comme un coût d'exploitation afin d'atténuer le risque potentiel de répercussions juridiques ou financières" s'ils n'achetaient pas d'espaces publicitaires sur le réseau social, a-t-elle détaillé.

Elon Musk est devenu l'un des soutiens financiers et politiques les plus importants de Donald Trump en quelques mois de campagne l'année dernière.

De retour au pouvoir, le président américain lui a confié une commission à l'efficacité gouvernementale, qui licencie les fonctionnaires en grand nombre et démantèle des agences fédérales et ministères afin de tailler dans les dépenses publiques.

En ligne avec le gouvernement

De nombreuses autres grandes entreprises, notamment dans les technologies, ont pris des mesures pour s'aligner avec le gouvernement, en supprimant les programmes de promotion de la diversité ou en assouplissant la modération des contenus dans la direction souhaitée par les républicains.

"Les contenus haineux et controversés qui on fait fuir les annonceurs de X ne sont toujours pas acceptables, mais on a le sentiment qu'ils pourraient devenir inévitables", a commenté Jasmine Enberg.

L'homme le plus riche au monde a conclu son message sur X vendredi en affirmant que la fusion de ses deux entreprises va permettre de "construire une plateforme qui ne se contente pas de refléter le monde, mais qui accélère activement le progrès humain".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Économie

Une nouvelle allocation de garde pour enfant en vue en Suisse

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Une nouvelle allocation de garde pour enfants devrait voir le jour en Suisse (image d'illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'accueil extrafamilial doit être soutenu via une nouvelle allocation de garde pour les enfants jusqu'à huit ans. La commission compétente du National soutient ce modèle proposé par le Conseil des Etats. Elle tient toutefois aux conventions-programmes.

Le Conseil des Etats a accepté en décembre un projet instituant une nouvelle allocation de garde basée sur le modèle des allocations familiales et financée par les cantons, sans aide fédérale. Il a rejeté la poursuite des conventions-programmes actuellement en place avec les cantons.

Par 16 voix contre 9, la commission de la science, de l'éducation et de la culture du National a décidé de réintroduire ces conventions-programmes, indiquent vendredi les services du Parlement. Par 14 voix contre 11, elle propose d'allouer à ces conventions-programmes une contribution fédérale de 200 millions de francs sur quatre ans pour une meilleure conciliation entre vies familiale et professionnelle.

Elle a encore fait d'autres ajouts. Le National empoignera le dossier à la session spéciale.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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