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Suisse

Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions

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La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 6, 9, 10, 30 et 49 et les étoiles 3 et 4.

Lors du prochain tirage mardi, 26 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Personne ne décroche la bonne combinaison à l'Eurodreams

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Eurodreams est proposé dans huit pays européens (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Eurodreams lundi soir. Pour gagner une rente mensuelle de 22'222 francs durant 30 ans, il fallait jouer les six numéros 4, 8, 11, 12, 20 et 38, ainsi que le numéro "dream" 2, a indiqué la Loterie romande.

Eurodreams est proposé dans huit pays européens. En Suisse, le jeu est exploité par la Loterie romande et par Swisslos côté alémanique. Le tirage est effectué les lundis et jeudis soir.

https://jeux.loro.ch/games/eurodreams

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Interdiction des thérapies de conversion acceptée à Fribourg

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Le Grand Conseil fribourgeois veut protéger les personnes homosexuelles et bisexuelles des thérapies de conversion (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les députés fribourgeois ont accepté lundi soir une motion demandant l'interdiction des mesures de conversion dans le canton. Ses auteurs ont mis en exergue la menace exercée par de telles pratiques sur la santé et les droits humains.

La motion a passé la rampe par 91 voix contre 2 et 3 abstentions, l'UDC se montrant divisée. Emanant des députés PS Christel Berset et PVL Brice Repond et cosignée par 35 élus, elle permet à Fribourg de rejoindre d'autres cantons, notamment en Suisse romande, en voie de franchir le pas ou l'ayant déjà franchi, comme Neuchâtel.

Un exécutif qui, par la voix du ministre de la santé Philippe Demierre, a soutenu la démarche. "Cet ensemble de pratiques, visant à soigner des personnes de leur homosexualité ou bisexualité en les menant sur le chemin de l’hétérosexualité, est notamment considéré comme des actes de torture par l'ONU", a relevé le gouvernement.

Mental atteint

Au-delà, ce dernier a rappelé, à l'instar des motionnaires, "les dangers liés aux mesures de conversion, appelées à tort thérapies". Il a souligné qu'"elles ne sont pas seulement inefficaces par rapport au but précité, mais présentent également un risque pour la santé mentale des personnes qui se soumettent à une telle pratique".

C'est pourquoi, et parce qu’un processus fédéral pourrait prendre du temps, le Conseil d’Etat a invité les députés à accepter la motion. "Il y a la volonté d'agir au plus vite", a insisté Christel Berset, en rappelant qu'en Suisse 14'000 personnes avaient subi un traitement ou étaient en cours de traitement, selon des estimations.

"Il faut interdire pour protéger les personnes concernées, surtout des enfants et des jeunes", a ajouté la motionnaire, "pour donner un signal fort aux parents". A noter que l'autre motionnaire, Brice Repond, a quitté le Grand Conseil récemment. C'est sa collègue de parti Sandra Lepori qui a pris le relais pour porter le texte.

Le Conseil d'Etat fribourgeois dispose maintenant d'un an pour concrétiser la motion.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'initiative pour un salaire minimum à Fribourg validée

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Les Fribourgeois devront probablement se prononcer sur l'intitiative demandant l'introduction d'un salaire minimum dans le canton, à l'instar des Neuchâtelois en 2011 (archives). (© KEYSTONE/SANDRO CAMPARDO)

Les députés fribourgeois ont constaté lundi soir la validité de l’initiative législative entièrement rédigée "Pour un salaire minimum", venant de la gauche et des syndicats. Le texte demande l'instauration d'un montant minimal de 23 francs de l'heure.

Le décret de validation a passé la rampe à l'unanimité des 89 voix exprimées. Les députés se sont limités à débattre de la forme et non du fond. Déposée le 30 novembre dernier avec 8111 paraphes, l'initiative a abouti finalement avec 7040 signatures, une fois les vérifications d'usage réalisées, alors que 6000 étaient requises.

Pour rappel, les cantons ayant introduit à ce jour un salaire minimum sont Genève, Neuchâtel, le Jura, Bâle-Ville et le Tessin. Il appartient désormais au Conseil d’Etat, puis au Grand Conseil, après l’entrée en force du présent décret, de se prononcer ultérieurement sur la suite à donner à l’initiative.

Destin ouvert

Si les députés décident de se rallier à l’initiative entièrement rédigée, celle-ci devient une loi soumise à referendum. Si le législatif décide de ne pas s’y rallier et qu’il n’élabore pas de contre-projet, la votation a lieu dans le délai d’un an dès la date d’adoption du décret.

Si le Grand Conseil ne se rallie pas à l’initiative, il peut également, dans le délai de deux ans dès la date d’adoption du décret constatant sa validité, élaborer un contre-projet. Si un contre-projet a été élaboré, la votation a lieu dans le délai de 180 jours dès son acceptation par les députés.

En déposant son initiative, la coalition pour un salaire minimum avait indiqué que près de 9% des salariés qui travaillent à plein temps n’avait pas assez pour vivre et qu’un nombre important d’emplois n'étaient pas soumis à une convention collective. La récolte de signatures "a permis de mesurer la précarité", selon elle.

Grand intérêt

La démarche a été par ailleurs "accueillie avec grand intérêt par la population fribourgeoise", avaient encore expliqué les initiants. Ceux-ci rassemblent l’Union syndicale fribourgeoise, Unia, le SSP, Syndicom, le SEV, le syndicat Syna, le Parti socialiste, la Jeunesse socialiste, les Vert-e-s, le PCS-Centre gauche et les Jeunes POP.

Tous ces acteurs rappellent le besoin "indispensable" d’introduire un salaire minimum. "La situation actuelle ne va faire qu’augmenter la précarité et va continuer de mettre à mal le pouvoir d’achat", ont-ils estimé le 30 novembre.

Pour mémoire, le Grand Conseil avait rejeté en février 2019, par 65 voix, contre 38 pour et 2 abstentions, une motion demandant déjà l'instauration d'un salaire minimum. Le texte provenait des députés socialiste Xavier Ganioz et chrétien-social Benoît Rey. La droite avait alors estimé que le partenariat social suffisait.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Bourse suisse: vert de mise au lendemain des législatives en France

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"Il existe un risque non négligeable que Marine Le Pen et Jordan Bardella remportent la majorité parlementaire d'ici la fin de semaine", relève une analyste. (© KEYSTONE/AP/Thomas Padilla)

La Bourse suisse a entamé la semaine sur une note positive au lendemain du 1er tour des législatives françaises. Le marché a été rassuré par le fait que le Rassemblement national paraît ne pas pouvoir obtenir une majorité absolue à l'issue du second tour, dimanche.

A New York, Wall Street gagnait du terrain en matinée, digérant les résultats du 1er tour en France et avant les données sur l'emploi américain en fin de semaine.

"Si le Rassemblement national obtient le poste de Premier ministre, pour lequel Jordan Bardella a été pressenti, il sera en mesure de définir une grande partie de l'agenda national", a analysé le spécialiste de l'investissement John Plassard de Mirabaud Banque dans un commentaire. Le résultat du premier tour laisse néanmoins supposer que le RN "pourrait ne pas avoir la majorité absolue à l'Assemblée nationale (...) après le 2e tour. C'est pour les marchés, le scénario du 'moins pire'", a-t-il souligné.

Mais pour l'analyste de Swissquote, Ipek Ozkardeskaya, "il existe un risque non négligeable que Marine Le Pen et Jordan Bardella remportent la majorité parlementaire d'ici la fin de semaine".

Ce premier tour électoral dans l'Hexagone va en tous cas continuer à agiter les marchés, a ajouté Frank Sohlleder, analyste d'Activtrades. Les impulsions politiques vont dicter l'évolution des marchés ces prochains jours, avec jeudi les législatives au Royaume-Uni. Les sondages laissent augurer une large victoire des travaillistes après 14 ans de règne conservateur.

En Allemagne, l'inflation est repartie à la baisse en juin après le sursaut de mai. Un repli qui vient conforter la Banque centrale européenne (BCE) qui a entamé son cycle de baisse des taux le mois dernier.

En Suisse, les chiffres d'affaires du commerce de détail ont reculé en mai après avoir nettement progressé le mois précédent. En tenant compte des variations saisonnières, ils ont fléchi en l'espace d'un an de 0,3% en termes nominaux. En termes réels, soit compte tenu de l'inflation, ils ont toutefois crû de 0,4%.

Le SMI a terminé en hausse de 0,47% à 12'049,61 points, avec un plus haut à 12'107,30 en ouverture et un plus bas à 12'022,16. Le SLI a gagné 0,41% à 1951,64 points et le SPI 0,44% à 15'989,43 points. Sur les 30 valeurs vedettes, 23 ont progressé et 7 reculé.

Sika (-0,8%) a fini lanterne rouge, derrière VAT Group (-0,7%) et Partners Group (-0,6%).

Le gestionnaire d'actifs zurichois a annoncé avoir pris une participation majoritaire dans FairJourney Biologics.

Le mastodonte bâlois des médicaments de substitution Sandoz (-0,3%) a obtenu de l'Agence américaine des médicaments (FDA) une homologation pour une version biosimilaire de l'ustékinumab, sous la marque Pyschiva.

Dans le camp des gagnants, UBS (+2,0%) a terminé sur la plus haute marche du podium, devant Julius Bär (+1,7%) et Swiss Life, SIG Group et Straumann (tous +1,3%).

Credit Suisse a officiellement cessé d'exister en Suisse: la banque a été radiée du Registre du commerce du canton de Zurich et n'existe plus en tant qu'entité juridique distincte. Tous les droits et obligations ont ainsi été transférés à UBS Switzerland.

Par ailleurs, la banque aux trois clés n'est plus la banque dépositaire des fonds de compensation de l'AVS/AI/APG, qui représente 40,6 milliards de francs. Elle a perdu ce mandat au profit d'une institution concurrente américaine, State Street.

Les poids lourds Nestlé (+0,2%), Roche (bon +0,2%, porteur +0,3%) et Novartis (+0,6%) pointent tous dans le vert.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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