Rejoignez-nous

International

Pour le plus grand bonheur de Taylor Swift

Publié

,

le

Taylor Swift embrasse son héros. (© KEYSTONE/AP/John Locher)

Au bout du suspense,Kansas City a conservé sa couronne. A Las Vegas, les Chiefs ont remporté le Super Bowl à la faveur de son succès 25-22 en prolongation face à San Francisco.

La présence de Taylor Swift dans les tribunes a, bien sûr, électrisé cette soirée dans le Nevada. "Incroyable", a glissé la popstar à l'oreille de son petit ami Travis Kelce, victorieux, entre deux embrassades sur la pelouse après la rencontre.

Collier doré autour du cou marqué du no 87 de son petit ami, la chanteuse a attiré l'attention en tribunes, descendant notamment une bière à toute vitesse. Avec sa romance, elle a fait basculer la NFL, déjà toute puissante, dans une autre dimension depuis plusieurs mois, grâce à sa notoriété phénoménale.

D'autres célébrités se sont pressées à Las Vegas, parmi les 300'000 visiteurs du weekend, et surtout dans l'Allegiant Stadium (65'000 places), comme le basketteur LeBron James, la chanteuse Lana Del Rey ou la popstar Beyoncé, qui a publié pendant la rencontre deux nouveaux morceaux.

"Queen Bey" a ainsi un peu éclipsé le traditionnel show de la mi-temps et la performance du crooner américain Usher, qui a revisité ses meilleurs titres avec un spectacle nostalgique à la chorégraphie léchée, profitant de la complicité notamment d'Alicia Keys.

Dynastie

Sur la pelouse, la grande finale de la NFL, organisée pour la première fois à Las Vegas, a offert un suspense intense, pour une victoire des Chiefs, la troisième en cinq ans après 2020, déjà face aux 49ers, et 2023. C'est la première fois qu'une franchise conserve son trophée depuis les New England Patriots en 2004.

Le quarterback star Patrick Mahomes (28 ans), grand artisan du retour des siens au coeur de la rencontre, remporte ainsi son troisième titre, assorti d'une troisième distinction de MVP. A son poste, seuls Tom Brady, Terry Bradshaw, Troy Aikman et Joe Montana ont soulevé au moins trois fois le trophée Vince Lombardi.

Les défenses ont plutôt pris le pas sur les attaques au cours d'une rencontre extrêmement serrée, poursuivie en prolongation après une égalité 19-19 à l'issue des quatre quart-temps réglementaires.

Travis Kelce décisif

Les 49ers avaient frappé les premiers avec trois points au pied de Jake Moody puis un touchdown de Christian McCaffrey (11e minute du 2e quart-temps), qui a fait parler sa pointe de vitesse, lui le petit-fils de Dave Sime, vice-champion olympique du 100 m aux Jeux olympiques de Rome en 1960.

Menés 10-3 à la mi-temps, les Chiefs paraissaient tendus, à l'image de l'improbable bousculade de Travis Kelce sur son entraîneur Andy Reid, semblant frustré par sa faible utilisation. Mais le favori de Taylor Swift s'est bien repris ensuite: il a aidé son équipe à se rapprocher de l'en-but sur une action décisive en fin de temps réglementaire, permettant ensuite aux Chiefs d'arracher l'égalisation par un coup de pied de Harrison Butker à trois secondes du terme.

En prolongation, les 49ers ont pris la main grâce à 3 points au pied, mais ont ainsi ouvert la porte au touchdown (6 points) victorieux de Mecole Hardman, parfaitement trouvé par Mahomes, exceptionnel en fin de match

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

Tour d'Espagne: le menu 2026 s'annonce très copieux

Publié

le

Jonas Vingegaard voudra défendre son titre sur la Vuelta (© KEYSTONE/EPA EFE/JAVIER LIZON)

Un départ inédit de Monaco et une arrivée finale à Grenade avec dans l'intervalle une orgie de cols le long de la Méditerrannée. La 81e Vuelta (22 août-13 septembre) promet un menu très copieux.

La précédente édition du Tour d'Espagne s'était déroulée pour l'essentiel dans le nord de l'Espagne avant de se terminer dans le chaos à Madrid avec une dernière étape qui n'avait pas pu aller à son terme à cause de manifestations propalestiniennes. Jonas Vingegaard avait été obligé de fêter sa victoire sur un parking d'hôtel lors d'une cérémonie improvisée par les coureurs.

Pour l'édition 2026, les organisateurs espèrent que le changement de nom, de nationalité et de structure de l'équipe Israel Premier Tech, qui s'appelle désormais NSN Cycling, permettra d'éviter de tels débordements, tout comme lors du Tour de France d'ailleurs qui partira de Barcelone en juillet.

Final grandiose

Le parcours n'a rien à voir avec celui de 2025 puisque, après deux premières étapes au départ de Monaco (dont un contre-la-montre individuel le premier jour) et une troisième étape en France entre Gruissan et Font-Romeu, le peloton longera la mer Méditerranée pour se diriger vers l'Andalousie et un final grandiose à Grenade devant le palais de l'Alhambra, un des plus beaux édifices au monde.

Le chemin pour y aller est particulièrement ardu avec pas moins de quatre étapes de moyenne montagne et six de montagne pour un dénivelé total absolument démentiel de 58'156 m, bien plus que le Giro ou le Tour de France, les deux autres grands Tours.

"Ce sera l'une des éditions les plus exigeantes de l'histoire", prévient Javier Guillen, le directeur de la Vuelta. Il espère attirer avec ce parcours la crème des grimpeurs. A commencer par Tadej Pogacar, même si le Slovène, contrairement à son compatriote Primoz Roglic en lice pour une cinquième victoire record, n'a pas évoqué le Tour d'Espagne en dévoilant samedi dernier son calendrier pour 2026.

Une étape reine à 5000 m de dénivelé positif

Les choses sérieuses commencent dès la troisième étape vers Font-Romeu avant la première grande étape de montagne le lendemain à Andorre. "Nous allons ensuite visiter des cols emblématiques de la Vuelta dont Valdelinares, Calar Alto, le massif de La Pandera et l'Alto de Aitana", a détaillé Javier Guillen.

L'étape reine est programmée à la veille de l'arrivée finale avec une journée à plus de 5000 m de dénivelé positif pour atteindre le sommet du Collado del Alguacil au bout d'une pente de 8,3 kilomètres à 9,8% de moyenne. Les chances des sprinteurs seront réduites à la portion congrue. Les rouleurs, ainsi que les coureurs de classement général, auront deux contre-la-montre à se mettre sous la dent, le premier jour à Monaco sur 9 km et le second lors de la 18e étape, 32 km dans les vignobles de Cadix.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Économie

Ultimatum de Lula pour la signature de l'accord Mercosur-UE

Publié

le

Luiz Inacio Lula da Silva a choisi de mettre la pression sur l'UE (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDRE BORGES)

Le président brésilien Lula a déclaré mercredi que si l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur n'était pas signé "maintenant", il ne le sera pas sous sa présidence. Le président brésilien doit rester encore un an au pouvoir.

"Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l'accord tant que je serai président", a affirmé Luiz Inacio Lula da Silva lors d'une réunion ministérielle à Brasilia.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, espérait parapher ce traité lors du sommet du Mercosur samedi, dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'Espagne va mettre en place un réseau d'"abris climatiques"

Publié

le

Face aux canicules, l'Espagne entend se doter d'abris climatiques, à l'instar de celui installé au Centre des beaux-arts de Madrid en août dernier. (archives) (© KEYSTONE/EPA EFE/CHEMA MOYA)

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a annoncé mercredi la mise en place d'un réseau national d'"abris climatiques" pour aider la population à se protéger lors des fortes vagues de chaleur, son pays faisant face à des températures de plus en plus élevées.

L'Espagne est en première ligne du dérèglement climatique en Europe, avec ces dernières années des épisodes de canicule plus longs en été et des cas de pluies torrentielles à l'automne, des phénomènes générés par la hausse des gaz à effet de serre engendrée par l'activité humaine.

"Certains étés, on ne parle plus de vagues de chaleur, mais plutôt d'une seule et même vague qui dure", a affirmé M. Sánchez lors d'une conférence sur le climat à Madrid, décrivant une "nouvelle normalité" avec "des sécheresses dévastatrices", plus fréquentes et plus intenses.

"Par conséquent, avant l'été prochain, nous lancerons un réseau national d'abris climatiques", a-t-il annoncé, disant vouloir notamment "mettre les bâtiments publics à disposition" de la population.

"Nous faciliterons également le financement pour la création de ces abris climatiques dans les quartiers les plus vulnérables, où la chaleur (...) est la plus forte", a précisé le dirigeant socialiste, sans fournir toutefois de chiffres.

Le Premier ministre espagnol a ajouté que le gouvernement central de gauche à Madrid entendait "se coordonner" avec les autorités des régions espagnoles qui ont déjà mis en place des "abris climatiques", comme au Pays basque (nord) et en Catalogne (nord-est).

En Espagne, pays très décentralisé, les régions sont compétentes pour gérer les situations d'urgence, y compris climatiques.

A l'heure actuelle, Barcelone, la capitale de la Catalogne, est l'une des rares grandes villes à déjà disposer d'abris climatiques, la plupart aménagés dans des bibliothèques, écoles et autres bâtiments publics climatisés.

Scientifiques inquiets

L'Espagne a connu en 2025 son été le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne de 24,2°C, d'après l'agence météorologique nationale Aemet.

Entre le 16 mai et le 30 septembre, 3832 décès pouvant être attribués à la chaleur ont été recensés dans le pays, selon le ministère de la Santé.

Bien que coutumière des températures élevées, l'Espagne est depuis plusieurs années confrontée à des épisodes de chaleur de plus en plus nombreux et rapprochés, parfois en dehors des mois d'été, ce qui inquiète les scientifiques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Chef du HCR: "nous avons obtenu des avancées" en 10 ans

Publié

le

Le Haut commissaire de l'ONU aux réfugiés sortant Filippo Grandi demande aux Etats-Unis de reconnaître la valeur de l'organisation. (© KEYSTONE/EPA/SALVATORE DI NOLFI)

Le Haut commissaire de l'ONU aux réfugiés Filippo Grandi revendique "des avancées" au terme de dix ans à la tête de l'agence onusienne à Genève. Mais il regrette aussi ne pas "avoir pu faire davantage", alors qu'il quitte fin décembre son poste.

Parmi les succès, il mentionne le Pacte mondial sur les réfugiés, dont une réunion de suivi avait lieu de lundi à mercredi à Genève. Même si certains Etats le critiquent, "chacun y fait référence", a dit mercredi l'Italien à la presse.

Il souhaite aussi l'application du plan européen pour l'asile et les migrations, une politique certes pas "parfaite" selon lui. "Nous aurions pu et nous aurions dû faire davantage" pour améliorer les conditions des réfugiés, ajoute M. Grandi.

Jeudi, l'Assemblée générale de l'ONU devrait valider à New York la nomination de son successeur, l'ancien président irakien Barham Saleh. Après les coupes américaines et d'autres pays qui ont coûté quelque 5000 postes au Haut-Commissariat, M. Grandi demande aux Etats-Unis "de se souvenir que l'ONU a une valeur".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Derniers titres

Les 2 derniers titres

Votre Horoscope

Bélier

L’amour blessé se soigne par les actes, pas par le silence ! Dites ce que vous ressentez et vous verrez votre relation respirer à nouveau.

Les Sujets à la Une