International
Airbus a pulvérisé son record commercial en 2023
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Airbus réalisé en 2023 la meilleure performance commerciale de son histoire, engrangeant 2094 commandes nettes pour répondre à la croissance attendue du trafic aérien mondial et au besoin d'avions émettant moins de CO2, a annoncé jeudi le groupe.
Éclipsant son grand rival américain Boeing, l'avionneur européen a pulvérisé son précédent record de 1503 commandes nettes datant de 2013, surfant sur les succès de ses monocouloirs de la famille A320 et ses long-courriers A350.
Hors annulations et modifications de commandes, habituelles dans cette industrie de temps long, Airbus a obtenu 2319 commandes brutes, dont 1835 A320 et 300 A350, là aussi un plus haut historique.
Confrontées à la nécessité de réduire leur empreinte environnementale pour atteindre la neutralité carbone en 2050 comme le secteur s'y est engagé, et à un trafic aérien mondial qui devrait doubler à cet horizon, les compagnies aériennes sont engagées dans un vaste mouvement de modernisation de leur flotte.
Pour assurer leur croissance future, elles s'efforcent de réserver au plus tôt les créneaux de livraisons disponibles auprès des avionneurs. Ceux-ci s'étirent jusqu'au début de la prochaine décennie.
Airbus s'est engagé dans une forte montée en cadence de sa production pour y répondre, mais connaît des difficultés persistantes d'une partie de sa chaîne de 18'000 fournisseurs, retardant les livraisons promises.
Le groupe est malgré tout parvenu à remettre 735 avions à ses clients en 2023, dépassant légèrement son objectif de 720.
L'an passé, Airbus, qui tablait déjà sur 720 appareils, avait dû renoncer à ses objectifs en fin d'exercice. Il n'en avait finalement livré que 661.
"C'est un résultat remarquable", s'est félicité le président exécutif d'Airbus Guillaume Faury, saluant dans le communiqué "des ventes exceptionnelles et des livraisons dans le haut de notre objectif".
La situation de l'avionneur européen contraste avec celle de Boeing. Son concurrent américain a lui aussi connu un bond de ses commandes (1314 commandes nettes, 1456 hors annulations et modifications) grâce au succès commercial du 737 MAX et du long-courrier 787, mais il demeure empêtré dans des problèmes de production et contrôle qualité et n'a livré que 528 appareils au cours de l'année.
La semaine dernière, un morceau de fuselage d'un 737 MAX d'Alaska Airlines s'est détaché en plein vol, sans faire de blessés mais ternissant à nouveau l'image de l'appareil après deux accidents liés à des défauts de conception qui avaient fait au total 346 morts en 2018 et 2019.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Culture
Affaire Haenel: la suite du procès en appel renvoyée au 23 janvier
La cour d'appel de Paris a remis vendredi au 23 janvier la suite du procès en appel du cinéaste Christophe Ruggia. Il est jugé à Paris pour agressions sexuelles sur l'actrice Adèle Haenel entre ses 12 et 14 ans.
A 20h00, la cour avait seulement eu le temps de procéder à l'interrogatoire laborieux du réalisateur de 60 ans, tandis qu'Adèle Haenel trépignait sur le banc de la partie civile, alors que le dossier n'était audiencé que sur une après-midi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Trump "n'exclut pas" une guerre avec le Venezuela
Donald Trump n'a pas écarté la possibilité d'une guerre contre le Venezuela, lors d'une interview diffusée vendredi, au moment où les Etats-Unis accentuent leur pression sur Caracas avec un blocus pétrolier.
"Non, je ne l'exclus pas", a déclaré le président américain à la chaîne américaine NBC News, lors d'un entretien téléphonique enregistré la veille. Donald Trump accuse le président vénézuélien Nicolas Maduro, l'une de ses bêtes noires, d'être à la tête d'un réseau de trafic de drogue, ce que l'intéressé dément.
Nicolas Maduro "sait exactement ce que je veux (...). Il le sait mieux que personne", a déclaré le républicain, refusant cependant de dire si son objectif était de le renverser. Le président américain a annoncé en début de semaine un "blocus total" contre des pétroliers sous sanctions se rendant ou partant du Venezuela.
Il a déclaré lors de l'interview que d'autres saisies de pétroliers auront lieu, après celle la semaine dernière d'un navire qui transportait des barils de brut vénézuélien.
Dispositif militaire important
Washington a déployé un important dispositif militaire dans les Caraïbes depuis cet été, et mené une série de frappes visant des embarcations de trafiquants de drogue présumés dans les Caraïbes et le Pacifique.
Au moins 104 personnes ont été tuées dans ces frappes depuis le début de ces opérations, sans que le gouvernement américain n'ait jamais fourni la moindre preuve que les navires visés étaient effectivement impliqués dans un quelconque trafic. En parallèle, le président américain agite depuis des semaines la menace d'une intervention terrestre.
"Le statu quo actuel avec le régime vénézuélien est intolérable pour les Etats-Unis", a souligné lors d'une conférence de presse vendredi le secrétaire d'Etat Marco Rubio, qui s'est dit "pas inquiet" par le soutien apporté par la Russie au Venezuela. Il a également affirmé que "rien n'empêcherait" Washington de mettre en place son blocus pétrolier contre le Venezuela.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Liban: le premier ministre annonce un projet de loi bancaire
Le premier ministre libanais a annoncé vendredi soir un projet de loi très attendu et réclamé par la communauté internationale. Le texte répartit les pertes financières entre l'Etat, les banques et les épargnants ruinés par l'effondrement économique de 2019.
"Ce projet de loi constitue une feuille de route pour sortir de la crise", a déclaré Nawaf Salam dans une déclaration aux Libanais diffusée par les chaînes de télévision.
Le projet de loi, l'une des réformes exigées par la communauté internationale afin de débloquer des fonds pour le Liban, doit être examiné à partir de lundi par le gouvernement réformateur, avant d'être soumis au Parlement.
Le projet répartit les pertes entre l'Etat, la Banque du Liban (BdL), les banques commerciales et les épargnants, dont le nombre était estimé à près d'un million avant l'effondrement économique sans précédent de 2019.
Ces derniers, qui n'avaient plus accès à leur compte, pourront récupérer leur argent dans la limite de 100'000 dollars (environ 79'200 francs suisses) sur une période s'étalant sur quatre ans. M. Salam a souligné que 85% des déposants avaient des comptes inférieurs à 100'000 dollars.
Les grosses fortunes verront le reste de leur argent compensé par des titres adossés à des actifs. "Beaucoup d'entre vous écoutent aujourd'hui, le coeur rempli de colère contre un Etat qui vous a laissés seuls", a reconnu le Premier ministre. "Ce projet de loi n'est peut-être pas parfait, mais c'est une étape réaliste et équitable sur la voie de la restauration des droits, de l'arrêt de l'effondrement", a-t-il ajouté.
Restaurer le secteur
Le Fonds monétaire international (FMI), qui a suivi de près l'élaboration du texte, avait insisté sur la nécessité de "restaurer la viabilité du secteur bancaire et protéger les déposants dans la mesure du possible".
L'Association des banques libanaises (ABL) avait critiqué lundi le projet, estimant qu'il contenait "de graves lacunes" et accablait les banques commerciales.
Selon les estimations du gouvernement, les pertes résultant de la crise financière se sont élevées à environ 70 milliards de dollars, un chiffre qui devrait avoir augmenté au cours des six années pendant lesquelles la crise est restée sans solution.
Banques "en colère"
"Les banques sont en colère parce que la loi ouvre la possibilité qu'elles partagent une partie des pertes", explique l'analyste Sami Zgheib, selon lequel elles auraient préféré que l'Etat assume la responsabilité de ce gouffre financier.
Le texte prévoit une recapitalisation des banques défaillantes.
La dette de l'Etat envers la Bdl sera transformée en obligations.
M. Salam a expliqué que la loi visait également à "redresser le secteur bancaire" qui s'est effondré, laissant libre cours à une économie parallèle basée sur les transactions en liquide qui favorisent les trafics. Depuis leur entrée en fonction il y a près d'un an, le président Joseph Aoun et le Premier ministre se sont engagés à mettre en oeuvre ces réformes et à adopter la législation nécessaire.
En avril, le Parlement avait voté une loi réformant le secret bancaire, la législation précédente étant accusée d'avoir permis une fuite de capitaux lors du déclenchement de la crise. Le projet de loi prévoit que les responsables et grands actionnaires des banques ayant transféré à l'étranger d'importants capitaux à partir de 2019 alors que le reste des Libanais n'avaient pas accès à leurs comptes, doivent restituer ces capitaux dans un délai de trois mois, faute de quoi ils seront soumis à des amendes.
Après son approbation par le gouvernement, la loi pourrait être bloquée au Parlement. "De nombreux députés sont directement exposés en tant que grands déposants ou actionnaires de banques, politiquement alliés aux propriétaires de banques, et peu enclins à adopter une loi qui fâcherait soit les banques, soit les déposants", explique l'analyste.
Au cours des dernières années, des responsables politiques et des députés ont à plusieurs reprises entravé les réformes exigées par la communauté internationale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'accès à la fontaine de Trevi va devenir payant pour les touristes
Les touristes devront bientôt verser deux euros pour avoir accès à la fontaine de Trevi à Rome. Seuls les résidents de la ville étant exemptés, a annoncé vendredi le maire de Rome Roberto Gualtieri.
Le monument, qui attire chaque jour de vastes foules, restera visible gratuitement à distance, mais l'accès de proximité sera réservé aux détenteurs de billets, a indiqué le maire dans une conférence de presse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp
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