Suisse
Pas de nouveau millionnaire au tirage du Swiss Loto
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Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher le 3, 5, 8, 10, 20 et 42. Le numéro chance était le 3, le rePLAY le 6 et le Joker le 605397.
Lors du prochain tirage samedi, 15 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.
https://jeux.loro.ch/games/swissloto/
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
La beauté au coeur du 10e festival "Il est une foi" à Genève
La beauté sera le thème de la 10e édition du festival "Il est une foi", qui aura lieu du 30 avril au 4 mai aux Cinémas du Grütli, à Genève, et au cinéma Bio, à Carouge. Vingt films, dix débats et un spectacle figurent au programme.
La programmation déclinera les différentes expressions de la beauté: l'amour avec "The Long Day Closes", de Terence Davies, ou encore "Bal", de Semih Kaplanoglu, la nature avec notamment "La belle verte", de Coline Serreau, l'art avec "Biruma no tategoto", de Kon Ichikawa. Il sera aussi question de beauté intérieure avec "A Hidden Life", de Terrence Malick, et de quête spirituelle, avec "Yeelen", de Souleymane Cissé.
Dix projections seront accompagnées par un débat. Réalisateur de "Nostalgie de la lumière", Patricio Guzman échangera avec le théologien François Euve, tandis que l'écrivaine Jacqueline Kelen s'exprimera sur la laideur transfigurée en lien avec "Elephant Man", de David Lynch, et que Monseigneur Charles Morerod discutera de la beauté de l'innocence autour du film "Lazzaro Felice", d'Alice Rohrwacher.
Un spectacle multimédia au Conservatoire de musique viendra clore le festival organisé par l'Eglise catholique romaine de Genève. Le Duo Gazzana, composé de Natascia Gazzana, au violon, et sa soeur Raffaella, au piano, rendra hommage au réalisateur Andreï Tarkovski, qui assurera la direction artistique de l'événement. Celui-ci sera ponctué de lectures d'écrits du cinéaste russe par l'acteur Samuel Labarthe.
Le festival sera précédé d'une conférence inaugurale, le 28 avril, dans la salle des fêtes du Sacré-Coeur. Intitulée "Beauté vitale. Un si grand désir de consolation", elle réunira l'anthropologue et sociologue David Le Breton et l'historienne, essayiste et scénariste Audrey Fella. La conférence et le spectacle sont gratuits, sur inscription.
www.ilestunefoi.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
L'½uf était là bien avant les poules
Qu'est-ce qui est apparu en premier, la poule ou l'½uf? Dans l'Antiquité déjà, cette question préoccupait les philosophes. Et puisque les ½ufs sont sur la table familiale à Pâques, elle peut aussi susciter des discussions. La réponse remonte loin dans la préhistoire.
En effet, bien avant l'apparition de la première poule, les dinosaures pondaient déjà des ½ufs. Et bien avant les dinosaures, les amphibiens faisaient de même. Les poissons et autres invertébrés pondaient encore plus tôt.
L'année dernière, des scientifiques de Genève et de Lausanne ont même publié une étude dans la revue Nature montrant que la forme de vie unicellulaire appelée Chromosphaera perkinsii possédait déjà les outils génétiques nécessaires pour former une sorte d'½uf. Cet organisme unicellulaire existait sur Terre il y a environ un milliard d'années.
Les poules telles que nous les connaissons, l'espèce Gallus gallus domesticus, sont apparues bien plus tard. Ce sont des animaux domestiqués par l'être humain qui a ciblé des oiseaux sauvages peu agressifs pour les élever.
Cela semble s'être produit à différents endroits indépendamment les uns des autres, en commençant il y a environ 10'000 ans. Les poules sont donc apparues des centaines de millions d'années après les ½ufs.
Mais qu'en est-il de l'½uf de poule?
Mais - pourrait-on objecter - la question porte sur l'½uf de poule et non sur n'importe quel ½uf. C'est là que les choses se compliquent.
Selon la théorie de l'évolution, les espèces sont le résultat de longs processus de mutations génétiques et de sélection. Dans le cas de la poule domestique, les scientifiques ont pu retracer ce processus jusqu'au Tyrannosaurus rex. En analysant les tissus d'un dinosaure, ils ont pu montrer que les poules et les autruches actuelles sont plus étroitement apparentées au T. rex que tout autre animal vivant.
A un moment donné de l'évolution, le dinosaure a donné naissance à une espèce qui ressemblait beaucoup à la poule actuelle: le coq doré ou coq sauvage (Gallus gallus). Par la sélection, cette espèce de la famille des phasianidés - qui comprend les faisans, les paons et les perdrix notamment - a ensuite donné naissance à une nouvelle sous-espèce, Gallus gallus domesticus, la poule domestique.
Question de définition
Dans la pratique, les frontières entre les espèces sont floues et il est impossible de déterminer le moment exact de la transition. Mais en théorie, ce sont bien deux spécimens de l'espèce Gallus gallus qui se sont accouplés, donnant naissance à une progéniture génétiquement si différente qu'elle doit être classée comme poule.
La dernière non-poule de la chaîne conduisant du dinosaure à la poule a donc pondu un ½uf dans lequel s'est développée, par mutation génétique, la première "vraie" poule. Il est donc clair que l'½uf dont est sortie la première poule n'a pas été pondu par une poule.
Au final se pose également une question de définition de l'½uf de poule: s'agit-il d'un ½uf pondu par une poule? Dans ce cas, la poule était là la première. Ou bien un ½uf de poule est-il un ½uf dont est sortie une poule? Dans ce cas, l'½uf était là avant la poule.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Hockey
Et un, et deux, et trois, et Théo Rochette!
Lausanne relance la finale de playoffs! Les hommes de Geoff Ward se sont imposés 4-2 face à Zurich samedi soir à la Vaudoise Aréna. Un succès qui leur permet de revenir à 1-2 dans la série et que l’on doit à un artisan nommé Rochette.
Le LHC était presque dos au mur ce samedi avant l’Acte III de cette finale de playoffs face à Zurich. Les ZSC Lions menaient en effet 0-2 dans la série. Pour Lausanne, cela signifiait qu'il fallait gagner au moins un match à l'extérieur et, idéalement, tous les matchs à domicile, pour espérer remporter le titre.
Une tâche pas impossible au vu de la prestation des Vaudois lors de l’Acte II. Mais qui pourrait devenir bien compliquée si les Zurichois obtenaient déjà un puck de trophée. D'autant plus que l’infirmerie de la Vaudoise Aréna est actuellement bien garnie, ce qui ne facilite pas la vie des Lausannois.
Continuité
Les Lions lémaniques ont fait une bonne entrée dans leur match, même si des petits soucis persistent lorsqu'il s'agit de garder la possession du puck. En boxplay, ils ont su défendre malgré des dernières secondes très chaudes devant la cage de Kevin Pasche.
La patinoire s'est embrasée à la 9e minute pour l'ouverture du score lausannois. Brendan Perlini a tenté un tir à la ligne bleue, mais le puck est passé à côté de la cage pour venir heurter la bande. Le rebond l’a ramené vers Dominik Kahun, au niveau du poteau. L’Allemand l'a légèrement dévié. Pendant ce temps, le gardien zurichois s'était positionné perpendiculaire au but, laissant la cage vide. Théo Rochette ne s’est pas fait prié pour venir mettre la rondelle, qui traînait donc par-là, au fond des filets (9e, assist: Kahun).
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Zurich aurait pu égaliser deux minutes plus tard avec Jesper Frödén qui est entré seul en zone. L’attaquant n’a pourtant pas voulu aller au duel avec Pasche et a préféré joué avec Rudolfs Balcers. L'action n’a pas abouti.
Dans la fin du tiers, Lausanne n’a peut-être pas réussi à dominer le jeu, mais les hommes de Geoff Ward sont restés sur la bonne lancée de jeudi soir. On a d'ailleurs assisté à une très belle bataille entre la ligne Oksanen-Suomela-Riat et le trio zurichois Andrighetto-Malgin-Rohrer. Les Vaudois ne se sont pourtant pas mis dans les meilleures dispositions pour finir la période et commencer la suivante. Suomela a en effet été puni à 48 secondes de la sirène. Et Zurich en a profité pour augmenter la pression, notamment grâce à Denis Malgin.
Le chat et la souris
La fin du boxplay a été parfaitement gérée par les Lausannois. Les deux équipes se sont ensuite livré un beau face à face. Mais, malgré les bonnes séquences offensives des Vaudois, notamment avec la première unité du powerplay, avec un seul petit but d'avance, la pression restait sur leurs épaules.
C’est finalement Denis Malgin qui a mis fin au suspense. Un but on ne peut plus classique. Frödén a fait le tour de la cage avant de passer au n°62. Pile devant la cage, Malgin a pu armer son tir sans qu'Aurélien Marti ne représente un quelconque obstacle (36e, assists: Frödén et Andrighetto).
Et Zurich s'est ensuite retrouvé en parfaite position pour prendre l'avantage. Car, encore une fois, Lausanne a écopé d'une pénalité en fin de tiers. On a vite passé près du 1-2 avec le tir de Mikko Lehtonen qui a glissé juste à côté du poteau. Mais Rochette a complètement retourné la situation. Le chouchou des supporters lausannois a récupéré le puck et a pu partir en contre, Lehtonen a ses trousses. Le défenseur n’est arrivé qu’une milliseconde trop tard pour réussir à totalement gêner Rochette dans son tir (40e). “Au début je ne regardais pas trop, j’essayais d’accélérer, explique l’attaquant. Ensuite j’ai vu qu’il était là, j’ai essayé de voir si Jäger me suivait et j’ai vu que j’étais un peu tout seul. Alors j’ai décidé de prendre l’intérieur et shooter rapidement.” Dans les tribunes, c'est l’explosion.
Apothéose
Patrick Geering a remis les compteurs à 0 dès le début du troisième tiers. Le capitaine des ZSC Lions a tiré dans le trafic et Pasche n’a rien pu faire (42e, assist: Balcers). Une nouvelle fois, tout était à refaire pour les Lausannois.
Sauf que, au grand dam des Zurichois, Théo Rochette était en grande, grande, grande forme. Les Lausannois se sont vu accorder deux minutes en supériorité numérique. Et le speaker avait à peine commencé à annoncer la pénalité que le puck était déjà derrière Simon Hrubec. L’engagement a été gagné par Kahun, Andrea Glauser a passé à Rochette à gauche. Le n°90 des Lausannois a gratifié le public d'une magnifique frappe pour remettre les siens devant (47e, assists: Glauser et Kahun). L’attaquant préféré de la Vaudoise Aréna signe ainsi un triplé des playoffs.
La fin de la rencontre a été plus que mouvementée. Dans une scène quelque peu incompréhensible, Derek Grant a complètement perdu les pédales. Suite à la décision de lui donner 2 minutes de pénalité pour avoir retardé le jeu, l’attaquant du Z s’est tout à coup mis à hurler sur les arbitres avant de taper de la canne sur le plexi. L’arbitre l’a instantanément renvoyé au vestiaire. De retour sur le banc, il a encore explosé sa canne sur la bande, puis il a fortement frappé la vitre sur le chemin du vestiaire.
Il a ainsi laissé ses coéquipiers à 3 contre 5. Et Lausanne en a profité pour marquer le 4-2. Le tir est parti de Glauser et Perlini a dévié juste devant Hrubec.
Meilleur sans papa
Lausanne signe donc une belle victoire, la première dans cette série. Pour Geoff Ward, c’est le fait que ses joueurs soient “restés concentrés sur la tâche” qui a fait la différence. “On était encore meilleurs que lors de l’Acte II, précise-t-il. On s’améliore à chaque match et c’est une bonne chose pour nous.”
Le héros de la soirée, c’est bien entendu Théo Rochette. Le n°90 a inscrit son deuxième triplé des playoffs. S’attendait-il à cela?
Comment Théo Rochette a-t-il vécu ces trois buts, y a-t-il eu une sorte de crescendo dans les émotions?
Le Lausannois a réussi cette performance alors que son père, commentateur sur MySports, n'était cette fois pas à la patinoire mais en studio. Va-t-il lui dire de ne pas venir mardi pour l'Acte IV? "Exactement", répond-il avec un sourire en coin. Il balaie néanmoins une quelconque superstition quant à la présence de son papa. "Peut-être lui, moi... ça ne change rien", rigole-t-il.
De son côté, le coach ne tarit pas d’éloges sur l’attaquant vedette. “C’est un bon joueur et il a la capacité de rendre ses coéquipiers meilleurs. C’est quelque chose qu’on ne peut pas dire de tous les joueurs, confie Geoff Ward. Je pense qu’il mérite une chance.” Et quand on lui demande si le jeune joueur peut encore s’améliorer sur un point, l’entraîneur réfléchit avant de lancer, en rigolant: “10 cm et 7 kg de plus.”
L’attaquant le dit, les buts sont arrivés à des moments clé. Lausanne, à part à la toute fin du match, n’a toujours mené que d’un but. Avec une équipe telle que Zurich en face, avec des joueurs qui ont cette capacité à arriver de nulle part, le stress a tendance à vite monter dans les tribunes. C’est aussi quelque chose à gérer sur le banc. “Il faut rester concentré sur ce qu’on fait, et s’assurer que les joueurs aient des rappels que c’est une équipe dangereuse, raconte Geoff Ward. Ils peuvent t’avoir de plein de façons différentes. Il n’y a pas besoin de leur donner une réelle opportunité pour qu’ils en profitent. Ils ont une bonne profondeur, c’est une équipe talentueuse. Ils sont les tenants du titre pour une raison, ils sont champions d’Europe pour une raison. Et on doit comprendre ça, le respecter et s’assurer que l’on sait ce qui se passe quand ils sont sur la glace.”
Cette victoire est en tout cas de bon augure pour les Lausannois. Ils se retrouvent à présent dans un très bon état d’esprit pour tenter d’aller arracher cette victoire obligatoire à Zurich. Ils tenteront d’y parvenir mardi dès 20h.
Hockey
Un triplé de Rochette, et voilà Lausanne relancé
Lausanne s'est relancé dans la finale des play-off de National League.
Samedi à Malley lors de l'acte III, les Vaudois ont dominé Zurich 4-2, grâce notamment à un triplé de Théo Rochette, et ne sont plus menés que 2-1 dans la série.
L'important ce n'est pas comment, mais combien. Eh bien là, le combien c'est trois. Trois comme le nombre de buts de Théo Rochette, héros de cet acte III. Le jeune attaquant de 23 ans n'a bien entendu pas gagné le match à lui tout seul, mais ses trois réussites ont fait un bien fou à des Lions mieux dans leur assiette, mais toujours à la merci de Zurichois tellement dangereux avec leur jeu de transition et leur vitesse.
Si les Lausannois, menés 2-0 dans la série, n'étaient pas encore dos au mur, disons qu'ils l'avaient à vingt centimètres derrière eux. Après un poteau de Zehnder à la 7e, ce sont pourtant les Lions vaudois qui ont trouvé l'ouverture sur un puck mal apprécié par Hrubec derrière sa cage. La rondelle est alors revenue sur la palette de Rochette qui n'a pas eu besoin de faire grand-chose pour la pousser au fond (9e).
C'est à nouveau Rochette par deux fois, puis Suomela, qui ont eu de bonnes opportunités à la 15e. Mais le LHC a concédé une bête pénalité qui a permis à Malgin de trouver le métal à deux reprises à la 20e. En gros, Lausanne n'a pas été malheureux en la circonstance.
Lausanne a su gérer
Les Lausannois n'ont pas donné trop de glace aux Zurichois, poussant entre la 33e et la 34e. Mais deux minutes plus tard, c'est un Malgin tonique qui a pu égaliser. Le centre du "Z", véritable poison pour la défense lausannoise, s'est fait oublier et a pu reprendre victorieusement une très belle passe de Fröden, placé sur la ligne du numéro 62 et de Sven Andrighetto.
Les Vaudois auraient pu tout perdre à 1'50 de la fin du tiers médian lorsque le genou d'Andrea Glauser a rencontré celui de Dean Kukan. Heureusement pour le défenseur de Geoff Ward, les arbitres n'ont donné que deux minutes après avoir consulté la vidéo.
Mieux encore, à 17 secondes de la pause, Rochette a profité d'une mauvaise passe de Lehtonen pour aller inscrire le 2-1 en infériorité numérique. Le numéro 90 du LHC a inscrit son 10e but des play-off... puis son 11e. L'ex-capitaine des Remparts de Québec s'est en effet mué en homme providentiel. Après que Geering avait nivelé la marque à la 42e, le meilleur buteur des play-off y est allé de son triplé en redonnant l'avantage à ses couleurs à la 47e sur un power-play.
Lausanne a pu respirer en fin de match sur une double supériorité numérique avec le 4-2 signé Perlini, par ailleurs excellent. La série repart à Zurich avec l'acte IV mardi, mais le LHC a au moins gagné le droit à un autre match à Malley jeudi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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