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Ericsson dans le rouge après la perte de valeur de Vonage

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Ericsson s'attend "à ce que l'incertitude macroéconomique persiste jusqu'en 2024, ce qui a un impact sur la capacité d'investissement de nos clients" (archives). (© KEYSTONE/EPA TT NEWS AGENCY/LARS SCHRODER)

Le géant suédois de l'équipement télécoms Ericsson a annoncé mardi une perte nette de 30,5 milliards de couronnes (2,5 milliards de francs) au troisième trimestre

Celle-ci est due à la dépréciation dans ses comptes de la valeur de l'américain Vonage, spécialiste du "cloud", acquis en 2021.

Ericsson avait annoncé le 11 octobre des dépréciations à hauteur de 32 milliards de couronnes à cause, notamment, d'une moindre valorisation de son activité de "cloud" (informatique dématérialisée).

Au troisième trimestre, le géant des réseaux de téléphonie mobile a subi une perte nette de 30,5 milliards de couronnes, contre 5,4 milliards de bénéfice sur la même période l'année dernière.

"Dans un environnement opérationnel difficile, Ericsson a enregistré des résultats (...) conformes à nos prévisions", a indiqué Börje Ekholm, PDG d'Ericsson, dans un communiqué.

Comme pour le reste du secteur "nous nous attendons à ce que l'incertitude macroéconomique persiste jusqu'en 2024, ce qui a un impact sur la capacité d'investissement de nos clients", a-t-il ajouté.

Ericsson, qui domine le marché mondial de la 5G aux côtés de Nokia et du chinois Huawei, avaient ces derniers mois prévenu du ralentissement des investissements de leurs clients, les opérateurs de téléphonie mobile, en raison de la dégradation économique mondiale.

M. Ekholm a précisé "se focaliser sur ce que nous pouvons contrôler" en vue du quatrième trimestre, "dont la réduction des coûts", selon le communiqué.

Fin février, Ericsson avait annoncé la suppression de 8.500 emplois dans le monde, quelques mois après avoir acté un important plan d'économies.

Le chiffre d'affaires affiche une baisse de 5% par rapport au troisième trimestre 2022, à 64,5 milliards de couronnes, selon le rapport trimestriel du groupe.

Outre un marché de la 5G incertain, le groupe suédois a aussi souffert d'une affaire de possible corruption en Irak impliquant l'organisation Etat Islamique, qui lui a déjà valu une amende de plus de 200 millions de dollars de la justice américaine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Slalom de Courchevel: Rast derrière l'intouchable Shiffrin

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Camille Rast dans le coup au slalom de Courchevel (© KEYSTONE/AP/Giovanni Auletta)

Camille Rast peut viser le podium à l'issue de la première manche du slalom nocturne de Courchevel. La championne du monde n'a été devancée que par Mikaela Shiffrin.

La skieuse de Vétroz a réussi une très belle manche en donnant l'impression d'être toujours stable et en contrôle. Mais cela n'a pas suffi pour virer en tête, la faute à Mikaela Shiffrin qui a repoussé la concurrence à 0''83. Alors que Colturi, Ljutic et Liensberger se sont fait piéger et n'ont pas rejoint l'arrivée, l'Américaine a réalisé une nouvelle démonstration de force et préparé la table pour sa 105e victoire en Coupe du monde. Rast est la seule dans la même seconde.

Pas forcément sur sa piste préférée, Wendy Holdener occupe le 8e rang à 1''69. La mise en action de la Schwytzoise fut pour le moins heurtée avec plus d'1''20 perdue après 28 secondes de course.

Partie juste après Shiffrin, Mélanie Meillard continue de donner l'impression de traîner son spleen. La Valaisanne d'origine neuchâteloise se retrouve au 15e rang provisoire à 3''06.

Quatrième Suissesse du top 30, Eliane Christen a elle perdu près de 4 secondes. 20e provisoire, elle espère pouvoir s'élancer en deuxième manche.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'Arctique a vécu son année la plus chaude jamais enregistrée

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L'Arctique, qui englobe le pôle Nord, est touché par un phénomène appelé "amplification", qui fait qu'elle se réchauffe plus vite que les latitudes moyennes (archives). (© KEYSTONE/PHOTOPRESS/WWF INTERNATIONAL)

L'année écoulée a été la plus chaude jamais enregistrée en Arctique, selon un rapport américain de référence. Ce document dresse un tableau alarmant de cette région du monde, particulièrement soumise au réchauffement climatique.

Entre octobre 2024 et septembre 2025, les températures ont été supérieures de 1,60 °C à la moyenne enregistrée entre 1991 et 2020, selon le rapport annuel sur l'Arctique qui s'appuie sur des données remontant à 1900.

Tom Ballinger, co-auteur de l'étude, de l'Université d'Alaska estime qu'il est "alarmant" de voir un tel réchauffement sur une période aussi courte, qualifiant la tendance d'"apparemment sans précédent à l'époque récente et peut-être depuis des milliers d'années".

L'année analysée par la NOAA comprend l'automne le plus chaud, le deuxième hiver le plus chaud et le troisième été le plus chaud en Arctique depuis 1900.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump a pris plus de décrets en 2025 qu'au cours de son 1er mandat

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Donald Trump a signé un record de décrets depuis janvier sur les sujets les plus divers, allant des droits de douane à l'intelligence artificielle (archives). (© KEYSTONE/EPA BLOOMBERG POOL/AL DRAGO / POOL)

Donald Trump a signé lundi ce qui devrait devenir son 221e décret depuis janvier, plus que pendant tout son premier mandat, selon un décompte de l'AFP. C'est l'une des plus fortes démonstrations d'un pouvoir présidentiel dans l'histoire américaine moderne.

Dernier décret signé en date, un document classant le fentanyl comme "arme de destruction massive".

Depuis son retour à la Maison Blanche, le 47e président des Etats-Unis avait déjà signé 220 décrets, textes de portée légale et exécutive ne nécessitant pas l'approbation du Congrès, officiellement publiés au Registre fédéral (équivalent américain du Journal officiel) selon sa dernière actualisation mardi.

C'est nettement plus que ses prédécesseurs Joe Biden, Barack Obama et George W. Bush, qui en prenaient en moyenne 30 à 40 par an. Pour retrouver un tel rythme de production de décrets, il faut remonter au démocrate Franklin D. Roosevelt, qui avait paraphé en quatre mandats, de 1933 à 1945, près de 4000 décrets, mais dans le contexte bien différent de Grande dépression et de Seconde Guerre mondiale.

Friand de décrets dès le premier jour de son retour au pouvoir, Donald Trump les a utilisés sur les sujets les plus divers, allant de thématiques au c½ur de l'actuelle politique américaine comme les droits de douane ou l'intelligence artificielle, aux plus anecdotiques comme le débit d'eau des douches ou le style architectural des bâtiments fédéraux.

Cadence ralentie

Depuis début octobre, la cadence de production de ces décrets a nettement baissé, avec seulement une dizaine de nouveaux textes signés en deux mois et demi. Donald Trump avait été particulièrement actif durant les quatre premiers mois de son retour à la Maison Blanche, avec plus de 30 décrets signés par mois entre le 20 janvier et fin avril.

L'analyse, réalisée par l'AFP à partir des données officielles de la présidence américaine, montre que la grande majorité (près de 60%) des textes se concentrent sur des sujets de politique intérieure. Moins de 10% concernent la politique étrangère au sens strict, le reste portant sur des thématiques mixtes.

Les questions sociétales au sens large (culture, droits civiques, éducation et santé) y sont prépondérantes, avec près de 30% des décrets signés, devant la catégorie "commerce, économie, investissement" (environ 20%) ou celle des réformes de l'Etat fédéral (environ 18%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Pentagone prépare une réorganisation profonde de l'état-major

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Le ministre de la Défense Pete Hegseth (à gauche) veut rompre avec le statu quo au sein du Pentagone (archives). (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

Le Pentagone planche sur une réorganisation profonde de l'état-major de l'armée américaine. Le projet prévoit de réduire notamment le nombre de généraux quatre étoiles et l'importance des commandements en Europe et en Afrique, selon le Washington Post.

"S'il est adopté, le projet lancera certaines des transformations les plus importantes au sommet de l'armée depuis des décennies, en partie suite à la promesse (du ministre de la Défense Pete) Hegseth de rompre avec le statu quo et de réduire le nombre de généraux quatre étoiles dans les forces armées", affirme mardi le quotidien, citant "cinq personnes au fait du dossier".

Le chef d'état-major américain, le général Dan Caine, doit présenter les détails du projet à Pete Hegseth "dans les prochains jours", ajoute le journal de la capitale.

Début décembre, l'administration Trump a publié un document présentant sa "stratégie de sécurité nationale" dans lequel il entend notamment en finir avec "l'époque où les États-Unis soutenaient l'ordre mondial tout entier, tel Atlas".

Réorientation géopolitique

Le document anticipe l'"effacement civilisationnel" de l'Europe et survole la stratégie sur l'Afrique et le Proche-Orient en quelques paragraphes. Il vise à réorienter la politique sécuritaire américaine au regard des évolutions géopolitiques, mais surtout des intérêts de Washington nouvellement définis.

Le ministère n'a pas répondu immédiatement aux questions de l'AFP sur le sujet. Mais selon le Washington Post, l'entourage de Pete Hegseth a refusé dans un communiqué au journal de commenter de "supposées discussions internes", ajoutant que toute information évoquant des divisions entre responsables sur la question était "complètement fausse".

Selon le texte, "tout le monde au sein du (ministère) travaille à atteindre le même objectif".

"Décennies de déclin"

Le quotidien américain précise que ces mesures réduiraient le nombre de commandements de 11 à huit, "tout en diminuant le nombre de généraux et d'amiraux quatre étoiles qui rendent compte directement à Hegseth".

En septembre, dans une très inhabituelle initiative, Pete Hegseth et le président Donald Trump avaient convoqué les plus hauts gradés américains à sur la base militaire de Quantico, en Virginie. Le chef du Pentagone avait notamment exigé que l'armée tourne le dos à des "décennies de déclin".

En mai, il avait par ailleurs ordonné des réductions importantes du nombre des plus hauts gradés, avec une baisse d'au moins 20% du nombre de généraux et amiraux quatre étoiles en exercice. Plusieurs hauts responsables de l'armée américaine ont également été poussés vers la sortie depuis le début du second mandat de Donald Trump en janvier.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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