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Culture

Glenda Jackson, une actrice intrépide au Parlement britannique

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Actrice et femme politique, Glenda Jackson (ici en 2005) est décédée jeudi. (© KEYSTONE/EPA/ERICHSEN, JARL FR.)

L'actrice Glenda Jackson est morte jeudi à 87 ans à Londres "après une brève maladie". Cette illustre figure du théâtre britannique avait été deux fois oscarisée pour des rôles de femmes à l'érotisme troublant mais aussi mené une carrière de députée travailliste.

Glenda Jackson venait de tourner un nouveau film avec Michael Caine, a confirmé son agent, confirmant son retour à la comédie après des années consacrées à la politique.

A 80 ans et après 23 ans d'absence, cette brune fluette aux larges mains était ainsi remontée sur les planches en 2016, en incarnant le roi Lear, le rôle de la consécration masculine au théâtre. Elle décrochait deux ans plus tard un Tony Awards à Broadway.

"Qui a peur de Glenda Jackson? La plupart des gens et pour cause", écrivait le New York Times en 2019.

Egérie de Ken Russel, elle remportait en 1970 son premier Oscar pour "Love", adaptation de l'audacieux roman de D.H Lawrence sur des relations passionnelles entre deux soeurs et leurs amants.

En 1973, c'est avec la comédie "Une maîtresse dans les bras, une femme sur le dos" qu'elle décrochait sa seconde statuette grâce à sa composition d'une femme divorcée prise au piège dans un amour impossible avec un homme marié.

De Birkenhead, un petit port en face de Liverpool, où elle est née le 9 mai 1936, elle avait gardé un accent faubourien et la rage de réussir.

Fille d'un maçon et d'une femme de ménage, elle travaille d'abord comme employée dans une pharmacie et suit des cours d'art dramatique pour amateurs. Malgré le manque de soutien familial, elle s'inscrit à l'Académie Royale d'Art dramatique de Londres et part en tournée.

Ministre des Transports

C'est ainsi que le metteur en scène Peter Brook la repère et l'engage en 1963 pour jouer son Ophélie dans Hamlet. L'année suivante, elle entre à la Royal Shakespeare Company et détone dans la pièce "Marat/Sade". Elle y incarne une Charlotte Corday démente fouettant Marat de ses longs cheveux dans un asile où sont internés les protagonistes de la Révolution française. L'actrice au tempérament de feu n'a que 26 ans. La pièce est acclamée à Broadway deux ans plus tard.

Après son premier Oscar, sa féminité différente et son magnétisme continuent de crever l'écran: dans "La symphonie pathétique" (1970, Ken Russell), elle joue la femme d'un Tchaïkovski homosexuel qui finit en nymphomane rasée dans un hôpital psychiatrique. Dans "Un dimanche comme les autres" (1971, John Schlesinger), elle se retrouve à partager son amant avec un médecin new-yorkais dans un triangle bisexuel très osé pour l'époque.

Après 35 ans de carrière au théâtre et au cinéma, elle se lance en politique pour combattre Margaret Thatcher qu'elle accuse de détruire la société britannique. Elue en 1992 comme députée travailliste de la banlieue londonienne, elle conserve sa circonscription jusqu'en 2015 et s'illustre par une attention particulière pour les "pauvres, les chômeurs et les malades".

Nommée comme ministre des Transports dans le gouvernement de Tony Blair de 1997 à 1999, elle en devient une farouche opposante après l'invasion de l'Irak en 2003.

Coutumière des tirades théâtrales au Parlement, elle avait, en guise d'éloge funéraire à la Dame de fer, déclaré de sa voix grave et cinglante: "Première ministre de sexe féminin, certes. Mais une femme? Certainement pas pour moi".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Hommage à Robert Redford à la Cinémathèque suisse

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Dans "Les Hommes du président", Robert Redford tournait en compagnie de Dustin Hoffman (archives). (© KEYSTONE/AP WARNER BROS./Anonymous)

La Cinémathèque suisse à Lausanne rend hommage à Robert Redford, disparu en septembre dernier. Elle propose de redécouvrir sept films de l'acteur et réalisateur américain, en attendant de préparer une rétrospective plus large.

La Cinémathèque explique qu'elle n'a pas eu le temps de monter, en peu de temps, une programmation à la hauteur de l'exceptionnel parcours artistique et humain de Robert Redford. En attendant de revenir avec un hommage "plus large et réfléchi", elle projette ces prochaines semaines une série de ses films emblématiques.

Premier grand acteur moderne à passer derrière la caméra, Robert Redford s'est engagé pour les causes qui lui tenaient à coeur: la défense de l'environnement et le soutien au cinéma indépendant. Il a tourné dans plus de cinquante films, réalisé neuf longs métrages, et n'a cessé d'explorer, à travers ses rôles et ses mises en scène, les grands archétypes de la culture américaine.

Jusqu'en mars

Samedi, la Cinémathèque met à l'affiche "Ordinary People" (1980), sa première réalisation pour laquelle il gagna quatre Oscars. Suivra le 27 décembre "Jeremiah Johnson" (1972), de Sydney Pollack, l'un de ses rôles préférés sur grand écran.

Le cycle se poursuit en janvier et février avec cinq autres films du Golden Boy d'Hollywood, dont la carrière s'étend sur plus de six décennies. Dans "L'Arnaque" (1974), il retrouve Paul Newman. "Les hommes du président" (1976) révèle son talent pour incarner des personnages engagés alors que "The Great Gatsby" (1974) illustre l'élégance et la subtilité de son jeu.

En 1998, il dirige et joue dans "L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" (1998), reflet de son amour pour les chevaux, présents dans plusieurs de ses films. Enfin, le premier mars, place à "Out of Africa" (1985), avec Meryl Streep, qui remporta un énorme succès.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

"Racines", la nouvelle exposition de la Fondation Opale à Lens (VS)

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La nouvelle exposition de la Fondation Opale se présente par "chapitres". Ici, il s'agit de la section "Originelle". (© Keystone/CYRIL ZINGARO)

Avec "Racines", la Fondation Opale à Lens (VS) dévoile sa nouvelle exposition d'art contemporain. L'institution propose une réflexion et un itinéraire poétique imaginés autour d'une soixantaine d'oeuvres issues de la collection de la mécène française Garance Primat.

Au départ, il y a une vision. Et "le désir de Garance d'avoir une forme d'ordre et de rythme qui présente la diversité de sa collection", relève le co-commissaire de l'exposition Samuel Gross. "Racines" s'impose ainsi comme une forme de "transcription plastique" du livre éponyme écrit par la collectionneuse.

Tout comme l'ouvrage, le parcours s'articule en sept chapitres, qui reprennent les mots-clés d'une formule élaborée par l'entrepreneuse: "Créer le Un sur terre qui est la nature de l'homme et la matrice originelle". Le récit se déroule à travers une soixantaine d'oeuvres, entre sculptures, dessins, peintures, oeuvres monumentales et objets scientifiques.

Constellation d'objets

Ici, l'art est vu comme un langage universel, et les artistes "permettent de percevoir la structure unitaire du monde," explique le curateur. Y résonnent les voix de Niki de Saint-Phalle, Olafur Eliasson, Louise Bourgeois ou encore Sheila Hicks. Quelques oeuvres d'artistes aborigènes - dont Emily Kam Kngwarray, Keith Stevens et Clifford Possum Tjapaltjarri - trouvent aussi leur place au sein du centre d'art valaisan, en écho avec sa mission de faire rayonner ce patrimoine australien en Europe.

Il s'agit d'un "ensemble vivant qui interroge nos origines et notre rapport au monde", résume la Fondation Opale. "J'ai compris, au fur et à mesure de mon parcours, qu'il y avait un fil conducteur, un message commun derrière chacune des oeuvres de ma collection qui étaient un voyage en soi", retrace Garance Primat, qui a rassemblé plus de 1200 oeuvres jusqu'à aujourd'hui.

"Ce qui nous intéressait, et ce qui est rare, c'est d'imaginer présenter une collection personnelle", raconte le commissaire d'exposition. D'habitude, les collections personnelles sont loin d'être formées comme celles institutionnelles. Le système de cohérence est différent."

Les soeurs Primat

Pour mémoire, la Fondation Opale s'appuie sur la collection de Bérengère Primat, fondatrice et présidente de l'institution, mais aussi soeur de Garance Primat. Le fonds compte plus de 1900 ½uvres de près de 440 artistes, ce qui en fait l'une des collections d’art aborigène contemporain les plus importantes au monde en mains privées.

Grâce à un nouvel espace permanent créé au centre muséal, et en parallèle à l'exposition "Racines", le public pourra s'imprégner des oeuvres issues du fonds de Bérengère Primat. Le premier accrochage est consacré à l'artiste aborigène Rover Thomas, considéré comme l'un des grands artistes du Désert de sable en Australie.

"Il y a l'idée de familiariser le public avec un certain nombre de noms", souligne Samuel Gross. Dans ce cas, l'introduction est plus qu'efficace au vu des chefs-d'oeuvre qui sont présentés."

Le tout est à découvrir du 21 décembre 2025 au 14 avril 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Musique: un voyage multimédia avec Kraftwerk à Berne

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Le vaisseau spatial atterrit sur la Festhalle de Berne où le groupe allemand Kraftwerk a joué hier soir. (© KEYSTONE/EPA/PETER KLAUNZER)

Pionnier de la musique électronique, le groupe allemand Kraftwerk a proposé un spectacle multimédia dans la nouvelle Festhalle de Berne. Il y a entraîné le public dans un voyage à travers des éléments fluorescents, des images en 3D et des sons robotiques

Au coeur de la musique de Kraftwerk se trouve depuis toujours l'"homme-machine" (The Man-Machine), qui donne son titre à l'album emblématique de 1978 du même nom. Une idée qui se concrétise lors de concerts en direct. De la composition originale des années 1970, il ne reste que Ralf Hütter, l'un des fondateurs avec Florian Schneider, qui a quitté le groupe en 2008 et est décédé en 2020.

La Festhalle de Berne, inaugurée fin avril à deux pas du stade du Wankdorf, comble une lacune dans la capitale suisse en offrant une salle d'événements pouvant accueillir jusqu'à 9000 personnes. Entièrement noire et dotée d'un grand espace modulable, elle a été aménagée pour l'occasion avec des sièges.

Sur la scène extrêmement sobre et résolument minimaliste, quatre postes de travail avec chacun son ordinateur respectif ont été disposés.

Des sons robotiques

Sur le grand écran situé au fond de la scène sont projetés les chiffres 1-2-3-4-5-6-7-8. À 20 heures précises, les lumières s'éteignent et, peu après, les quatre membres de Kraftwerk entrent sous les applaudissements du public, tous habillés de la même façon, en noir avec des éléments fluorescents changeant de couleur en fonction de la lumière et de la chanson. Les chiffres sont répétés par une voix robotisée en plusieurs langues.

Dans l'une des chansons les plus célèbres, l'écran s'est transformé en un tourbillon de couleurs, véritable voyage dans le monde robotique où les images sont parfaitement synchronisées avec les sons.

Puis c'est le retour au vert et à la simplicité, les notes principales apparaissant clairement, avant de replonger le public dans un tourbillon de bits et de couleurs qui, à la longue, a fatigué les yeux les plus sensibles.

La Terre vue de l'espace

Lors de l'exécution du morceau "Spacelab", le public s'est retrouvé à l'intérieur d'un vaisseau spatial d'où il a pu observer la Terre; les quatre membres ressemblaient presque à des astronautes. Alors qu'ils exploraient la planète, un point rouge est apparu sur la carte: Berne. Le vaisseau spatial s'est posé là, à la Festhalle, dont l'image était projetée sur l'écran.

L'acoustique de la salle est remarquable: Kraftwerk alterne les sons rugueux et robotiques avec des sons plus doux et plus vibrants.

Un moment de silence est interrompu par la voix de Ralf Hütter qui annonce qu'il doit redémarrer un ordinateur, juste avant l'attaque de "The Man-Machine", l'un des morceaux les plus célèbres. Le rouge et le blanc dominent la scène, avec des lettres en arrière-plan et des formes géométriques claires et reconnaissables.

Immédiatement après, le groupe est contraint de s'arrêter à nouveau: "On ne peut pas continuer comme ça, faisons une pause", dit Ralf Hütter. La pause est courte, pour le plus grand plaisir des spectateurs, et le concert reprend avec un set compact et très peu d'interaction avec le public, un choix parfaitement cohérent avec le concept de l'Homme-Machine.

Images d'archives et animations

Pour "Autobahn", dont l'album du même nom (1974) marque le passage du groupe du krautrock à la musique électronique, le public se retrouve à conduire sur une véritable autoroute animée. Après les interruptions techniques, l'atmosphère s'est légèrement estompée, mais le sentiment de voyage évoqué par la chanson est resté.

Suivent "Computer Liebe", accompagné d'images d'un vieux film, et "Das Model", qui est accueilli avec beaucoup d'enthousiasme par le public.

Des moments plus détendus, presque lounge, sont arrivés avec "Neonlicht", d'abord en allemand puis, dans la deuxième partie, en anglais, avec une palette sonore particulièrement élégante.

Hommage à l'ami japonais

Kraftwerk a également rendu hommage au compositeur et musicien japonais Ryuichi Sakamoto, grand ami de Ralf Hütter décédé en 2023, en reprenant la bande originale du film du même nom "Merry Christmas Mr".

Peu avant, une photo a été projetée montrant Hütter avec Ryuichi Sakamoto, à laquelle le membre fondateur du groupe a fait référence, expliquant que leur amitié remontait à l'époque de leur premier concert à Tokyo en 1981. Un beau moment instrumental avec des notes de piano, avec l'écran noirci.

Le groupe a évoqué les lieux marqués par les catastrophes nucléaires comme Tchernobyl (Ukraine), Fukushima (Japon), Harrisburg (États-Unis) et Sellafield (Royaume-Uni) dans "Radioaktivität". La chanson est chantée en plusieurs langues. Avec "Tour de France", les fans ont été plongés dans de vieilles images de la célèbre course cycliste, accompagnées d'une musique électronique chantée en français.

Lors du final, les membres sont apparus sur l'écran dans des versions robotisées stylisées, représentant la fusion de l'homme et de la machine. Un à un, ils ont quitté la scène. "Goodnight, goodbye", a déclaré Ralf Hütter avant de s'éclipser.

De retour pour un rappel avec "The Robots", les quatre membres du groupe sont apparus accompagnés de leurs alter ego numériques en 3D: l'apogée de la fusion de l'homme et de la machine a été atteinte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

"Immense" ensemble d'empreintes de dinosaures découvert en Italie

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Sur cette photographie prise en septembre 2025 et diffusée mardi par le parc national du Stelvio, on distingue des empreintes de prosauropodes datant du Trias supérieur sur les pentes de la vallée de Fraeel, dans le nord de l’Italie. (© KEYSTONE/AP/Elio Della Ferrera)

Des centaines de mètres d'empreintes de dinosaures, dont certaines présentent des contours remarquablement nets d'orteils et de griffes, ont été découvertes dans les Alpes italiennes, où se tiendront les Jeux olympiques d'hiver 2026, ont annoncé les autorités mardi.

"Cet ensemble d'empreintes de dinosaures est l'une des plus importantes d'Europe, voire du monde", a salué Attilio Fontana, président de la région Lombardie, lors d'une conférence de presse. La collection "s'étend sur des centaines de mètres", a-t-il ajouté.

Vieilles de plus de 200 millions d'années, les empreintes ont été découvertes en septembre dans le parc national du Stelvio, au nord de l'Italie, entre les villes de Bormio et de Livigno, qui accueilleront dans moins de deux mois certaines épreuves des JO d'hiver.

Le photographe naturaliste Elio Della Ferrera a repéré les empreintes pour la première fois sur une pente rocheuse quasi verticale. Certaines mesuraient jusqu'à 40 centimètres de diamètre.

Il a fait appel au paléontologue Cristiano Dal Sasso du Musée d'histoire naturelle de Milan, qui a réuni une équipe d'experts italiens pour étudier le site.

"Ce lieu regorgeait de dinosaures; c'est un immense patrimoine scientifique", a déclaré M. Dal Sasso, cité dans le communiqué de la région.

"Les empreintes parallèles témoignent clairement de troupeaux se déplaçant de manière synchronisée, et on y trouve aussi des traces de comportements plus complexes, comme des groupes d'animaux rassemblés en cercles, peut-être pour se défendre."

Griffes acérées

Les empreintes, actuellement recouvertes de neige et hors des sentiers battus, sont conservées dans des roches dolomitiques du Trias supérieur, datant d'il y a environ 210 millions d'années.

La plupart des empreintes sont allongées et ont été laissées par des bipèdes. Les mieux conservées portent des traces d'au moins quatre orteils.

Cela suggère qu'elles appartiennent à des prosauropodes, des dinosaures herbivores au long cou et à la petite tête, considérés comme les ancêtres des grands sauropodes du Jurassique, tels que le Brontosaure, selon les experts.

Les prosauropodes possédaient des griffes acérées et les adultes pouvaient atteindre 10 mètres de long.

Il n'est pas exclu que certaines empreintes soient celles de dinosaures prédateurs ou encore d'archosaures, les ancêtres des crocodiles, précise le communiqué.

Les empreintes se trouvent aujourd'hui sur une pente quasi verticale due à la formation de la chaîne alpine.

Mais lorsque les dinosaures parcouraient cette région, celle-ci était constituée de vasières s'étendant sur des centaines de kilomètres, et le climat était tropical.

"Les traces ont été formées lorsque les sédiments étaient encore meubles et saturés d'eau, sur les vastes vasières entourant l'océan Téthys", a expliqué l'ichnologue Fabio Massimo Petti, cité dans le communiqué, en référence à cet océan préhistorique.

"La plasticité de ces boues calcaires très fines, désormais transformées en roche, a permis de préserver par endroits des détails anatomiques vraiment remarquables, comme les empreintes des orteils et même des griffes", a-t-il poursuivi.

Les empreintes ont ensuite été recouvertes de sédiments qui les ont protégées, mais le soulèvement des Alpes et l'érosion des flancs de montagne les ont fait réapparaître au grand jour.

"Comme les couches contenant les empreintes sont diverses et superposées, nous avons une occasion unique d'étudier l'évolution des animaux et de leur environnement au fil du temps", a souligné dans le communiqué le géologue Fabrizio Berra. C'est comme lire "les pages d'un livre de pierre".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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