Suisse
La livraison des drones de reconnaissance retardée à 2024
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Les drones de reconnaissance ADS 15 ne seront pas livrés à l'armée suisse avant fin 2024. Le fabricant israélien Elbit Systems Ltd devra s'acquitter de pénalités.
Le porte-parole d'armasuisse, Kaj-Gunnar Sievert, a déclaré vendredi à la radio SRF que le projet serait achevé fin 2024. Le système sera alors entièrement opérationnel.
En raison du retard du projet, des pénalités contractuelles sont dues, selon le porte-parole, qui n'a pas précisé leur montant. Des prestations supplémentaires ont en outre été convenues avec le fabricant dans le cadre de négociations contractuelles.
Selon SRF, les dépenses pour les six drones commandés sont désormais chiffrées à 300 millions de francs. En juin, il était encore question de 250 millions. Armasuisse justifie ces coûts supplémentaires par des fluctuations de cours.
Un incident en Israël
En juin dernier, l'un de ces nouveaux appareils avait réussi son premier vol en Suisse à Emmen (LU). Il avait alors été précisé que deux drones de reconnaissance seraient remis aux forces aériennes d'ici à la fin de l'année après de nouveaux tests approfondis et que l'armée disposerait de six de ces systèmes d'ici la fin 2023.
La Suisse n'a plus de drones de reconnaissance depuis 2019. Les anciens appareils de type Ranger avaient été retirés du service après 20 ans. A l'origine, le nouveau système aurait dû être introduit progressivement à partir de 2019. La chute sur le territoire israélien d'un drone destiné à la Suisse est notamment à l'origine de ces retards.
Voix critiques
L'ADS 15 est un système de reconnaissance sans pilote et non armé. Ce système de drones peut être engagé de jour comme de nuit et les appareils savent détecter avions, autres drones et missiles. Les six drones prévus seront utilisés, entre autres, pour surveiller les frontières, rechercher des personnes disparues en montagne ou évaluer une situation après une catastrophe naturelle.
Avant même d'avoir effectué la moindre minute de vol en Suisse, ce système de reconnaissance a créé la polémique. En 2015, au moment de la validation de l'achat par le Parlement, des voix avaient critiqué l'achat de technologie militaire israélienne.
Et en janvier dernier, la commission de gestion du Conseil des Etats a estimé dans un rapport que cette acquisition représente un "risque considérable" pour la Suisse. Elle avait aussi pointé la question de l'autorisation de déploiement des drones dans l'espace aérien civil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Le Parlement met sous toit le projet de flexibilisation de l'armée
L'armée suisse sera plus flexible pour répondre aux besoins des militaires. Les Chambres fédérales ont accepté mercredi la proposition de conciliation sur le projet de modification de la loi sur l'armée.
Le projet vise à assurer les effectifs de l'armée et à répondre au besoin de conciliation entre service militaire et vie professionnelle et privée des astreints.
Les Chambres étaient divisées sur un dernier point. Le projet habilitait le Conseil fédéral à convoquer, sans demander l'approbation du Parlement, au maximum 18 militaires armés pour des engagements d'une durée supérieure à trois semaines, contre 10 actuellement pour la même durée.
La Chambre des cantons souhaitait d'abord enlever la limite du nombre de militaires, avant de proposer un seuil à 50 militaires. La Chambre du peuple voulait en rester à 18.
En conférence de conciliation, la limite a été fixée à 36 militaires. Le Conseil des Etats a accepté la proposition sans opposition, le National par 138 voix contre 2.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: bientôt une base légale sur les données géologiques
Le Centre du Valais romand veut améliorer l'utilisation du sous-sol. Plusieurs de ses députés ont déposé une motion afin que le Canton se dote d'une base légale cantonale sur les données géologiques. Réponse du Conseil d'Etat: c'est en cours.
L'idée du Centre du Valais romand est d'introduire dans la législation cantonale une base légale sur la collecte et la remise des données géologiques et hydrogéologiques. Pour les députés centristes, la gouvernance, les procédures, la coordination entre les domaines et la structure des données devront être clarifiées, si une telle loi devait voir le jour.
La procédure mise en place ne devrait pas augmenter la charge bureaucratique et il conviendrait d'évaluer les opportunités de simplifications procédurales possibles dans ce domaine.
Pour des données compatibles
Pour le Centre du Valais romand, "toute donnée ne devrait pas systématiquement être rendue publique; la volonté de cadastrer les données du sous-sol ne devrait pas servir de prétexte à la mise en place de nouvelles demandes d'autorisation pour chaque fouille ou essai d'infiltration par exemple. Enfin, le modèle de données devrait être compatible avec la structure nationale et le format des données serait dit ouvert (Open GovernmentData)."
"Le Conseil d’Etat a déjà entrepris une mise à niveau de la législation cantonale relative au sous-sol, au travers de l’élaboration d’une loi sur les géoressources dont la rédaction de l’avant-projet est en cours", a-t-il précisé dans sa réponse écrite.
Volonté de simplifier les procédures
Le projet de loi cantonale sur les géoressources prévoit déjà la collecte des données et des informations géologiques, ainsi que leur remise et leur publication par les autorités. "En outre, les garde-fous proposés par les motionnaires sont déjà pris en compte,puisque le texte est élaboré avec une volonté d’aller vers une simplification des procédures, sans augmentation de la charge bureaucratique et sans exigences nouvelles en matière de demandes d’autorisation", confirme le Canton. La mise à disposition des données sera réalisée, en se conformant aux législations fédérale et cantonale sur la géoinformation.
"La publication via l’Open GovernmentData sera étudiée au moment opportun afin de simplifier l’obtention des données et informations à caractère public par des tiers. Les formats envisagés seront les formats standardisés proposés par la Confédération", conclut le gouvernement.
Le projet étant en cours, le gouvernement a proposé le rejet de la motion. Aucun député ne s'y est opposé.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Plus d'une personne sur cinq a déjà réservé ses vacances en 2026
La population suisse se montre prévoyante lorsqu'il s'agit de réserver ses vacances. Plus d'une personne sur cinq a en effet déjà réservé pour 2026.
Plutôt que de longues vacances, les personnes interrogées privilégient plusieurs voyages: en moyenne, 2,16 voyages à l'étranger sont prévus par personne, après 1,86 voyage en 2025, selon les données compilés par l'agence de voyage DERTOUR. Une part de 15% prévoit même d'effectuer plus de quatre voyages au cours de l'année.
Pour les vacances, ce sont les séjours en ville qui remportent le plus de succès, suivis par les vacances balnéaires. Les vacances actives arrivent en troisième position.
En matière de budget alloué aux vacances, de fortes disparités apparaissent entre les générations, les plus jeunes souhaitant dépenser plus que l'année précédente.
Ainsi, les personnes nées entre 1994 et 2010, soit la génération Z, et celles de la génération Y (1980-1993) sont respectivement 41% et 38% à souhaiter dépenser plus pour leurs vacances que lors de l'année précédente. Pour la génération X (1965-1979), elles ne sont plus que 25% et pour les baby-boomers (1946-1964) plus que 24%.
Concernant les vacances en hiver, 46% des sondés privilégient la Suisse, que ce soit pour le ski ou le bien-être. 20% sont attirés par le soleil et 12% souhaitent passer l'hiver à l'étranger, par exemple en Scandinavie.
Les données sont basées sur les réponses d'un millier de personnes interrogées entre le 25 novembre et le 4 décembre 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse Romande
Tunnel du Simplon: accessibilité bientôt améliorée à Brigue
L'exiguïté de l'aire d'attente de la station de chargement de Brigue pour emprunter le tunnel du Simplon pose régulièrement des problèmes d'accessibilité aux automobilistes. La situation devrait s'améliorer dès 2026.
Lors de forte affluence, la colonne de véhicules obstrue la route menant à la vallée de Conches, au Nufenen et à la Furka. Une situation de plus en plus intolérable pour le Centre du Haut-Valais qui a déposé un postulat pour que la situation évolue.
Fin 2023, les chambres fédérales avaient décidé de financer pour 6 millions de francs la rénovation complète de la station de chargement de la gare de Brigue.
Travaux l'an prochain
A l’avenir, le nombre de voitures que pourrait accueillir l’aire d’attente devrait remplir un train entier, de manière à éviter les files d’attente sur la route d’accès. Les travaux de transformation sont prévus l'an prochain.
Le service de la mobilité travaille actuellement à la planification de l’extension du tronçon à une seule voie pour le chargement de voitures sur la H19. Les travaux devraient s’achever à l’été 2026. Grâce à cette mesure, les embouteillages seront réduits à court terme. Les jours de forte affluence, un fonctionnement pendulaire sera mis en place dans la mesure du possible.
Problématique de longue date
Un concept de circulation, préparé il y a plus de 10 ans déjà avec la police cantonale, la police municipale de Brigue et la police communale de Naters s’applique déjà en cas d’événement particulier (fermeture du col). Depuis le printemps 2024, une société de sécurité est mandatée par la BLS - l'exploitant de la ligne - en cas de forte affluence pour résorber autant que possible les embouteillages. "Malgré tout, une déviation reste inévitable en cas de fermeture de la route du Simplon aux heures de pointe", conclut le gouvernement dans sa réponse.
Pas de solution intermédiaire
Pascal Schaller (Le Centre du Haut-Valais) s'est montré déçu par la réponse du Conseil d'Etat, lui qui militait justement pour l'introduction d'une solution intermédiaire, à court terme. Dans son postulat, le député avait demandé "aux services de la mobilité et de la sécurité d'élaborer, en collaboration avec l'exploitant, un concept qui permette de laisser la H19 ouverte en permanence."
La majorité du Parlement a fait sienne cette idée, acceptant le postulat par 70 voix contre 51. Celui-ci a été transmis au Conseil d'Etat pour exécution.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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