International
La Corée du Nord tire encore un missile balistique
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La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile vers la mer du Japon, quelques heures après avoir promis une riposte "féroce" au renforcement de l'alliance entre Washington, Séoul et Tokyo. C'est le dernier épisode d'une série record de tirs ces dernières semaines.
"La Corée du Nord a lancé un missile balistique", a indiqué l'état-major sud-coréen. Selon les experts, ce lancement semble avoir été programmé pour coïncider avec la déclaration de Pyongyang.
Le ministre nord-coréen des affaires étrangères, Choe Son-hui, avait condamné peu avant le tir la rencontre lundi entre le président américain Joe Biden et son homologue chinois Xi Jinping en marge du G20 et celle de M. Biden dimanche avec son homologue sud-coréen Yoon Suk-yeol et le premier ministre japonais Fumio Kishida, affirmant qu'elles font "entrer la situation dans la péninsule coréenne dans une phase imprévisible".
Lors de sa réunion avec Xi Jinping, le président américain avait tenté de convaincre son homologue chinois d'intercéder auprès de la Corée du Nord pour qu'elle renonce à effectuer un essai nucléaire, comme Washington et Séoul lui en prêtent l'intention.
"Actes insensés"
Dimanche, le président américain, son homologue sud-coréen et le premier ministre japonais avaient promis une réponse "forte et ferme", si Pyongyang réalise cet essai, qui serait le premier depuis 2017 et le septième de son histoire.
"Le renforcement de 'l'offre américaine de dissuasion étendue' et l'augmentation quotidienne des activités militaires des forces alliées autour de la péninsule coréenne sont des actes insensés", a déclaré le ministre nord-coréen dans un communiqué publié par l'agence de presse officielle KCNA.
Plus Washington s'efforce de renforcer son alliance de sécurité avec Tokyo et Séoul et "plus la riposte militaire de la RPDC sera féroce", a ajouté M. Choe, en employant le signe de la République populaire et démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord.
Pour Cheong Seong, un chercheur à l'institut Sejong en Corée du Sud, la Corée du Nord "a tiré le missile après avoir publié la déclaration quelques heures plus tôt. Elle essaye de justifier le lancement et d'envoyer un message aux Etats-Unis et au Japon".
Des dizaines de tirs
La Corée du Nord a procédé au début novembre à une rafale sans précédent de tirs de projectiles, dont celui d'un missile balistique qui est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud. Le président Yoon a dénoncé une "invasion territoriale de facto".
La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l'année 2017, quand le dirigeant Kim Jong-un et le président américain de l'époque Donald Trump échangeaient des menaces de guerre nucléaire.
En septembre et octobre, Pyongyang avait déjà effectué une copieuse série de tirs, dont celui d'un missile balistique qui avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.
Les dernières séries de lancements se sont accompagnées de barrages d'artillerie près de la ligne de démarcation intercoréenne et de sorties aériennes de grande envergure dans le ciel nord-coréen.
Pas de sanctions
Les analystes estiment que la Corée du Nord, qui en vertu de résolutions de l'ONU n'a pas le droit de lancer des missiles balistiques, s'est enhardie face à la probabilité d'échapper à toute nouvelle sanction de l'organisation en raison des divisions au Conseil de sécurité.
La Chine, principal allié diplomatique et économique de Pyongyang, s'y est jointe à la Russie en mai dernier pour opposer son veto à une tentative des Etats-Unis de renforcer les sanctions contre la Corée du Nord.
Toute sanction supplémentaire aurait par ailleurs des effets limités, estiment les analystes, la Corée du Nord s'étant déjà pratiquement coupée du monde depuis début 2020 pour tenter de se préserver du Covid-19.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Weinstein demande à dormir à l'hôpital
Les avocats de l'ex-producteur roi du cinéma Harvey Weinstein, rejugé depuis mardi pour viol et agression sexuelle à New York, ont demandé au tribunal qu'il puisse dormir à l'hôpital et non en prison pendant le procès. Ils invoquent des problèmes de santé.
"Harvey Weinstein souffre d'un cancer et d'autres affections graves, mais ses médicaments sont mal administrés, voire pas du tout (...) il doit endurer des températures glaciales et ne reçoit même pas de vêtements propres" à Rikers Island, la prison de sinistre réputation où il est détenu, a dénoncé mercredi son avocat Imran Hansari dans une déclaration.
Dans un document transmis à la justice, l'avocat évoque la leucémie dont souffre l'accusé, 73 ans, mais aussi son diabète, des problèmes thyroïdiens, d'obésité, de douleurs lombaires et de sciatique. Autant de problèmes qui justifient selon lui qu'il soit en observation médicale à l'hôpital Bellevue de New York, où il a déjà été transféré en urgence ces derniers mois.
Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, a retrouvé le banc des accusés mardi à New York lors d'un nouveau procès pour viol et agression sexuelle après l'annulation retentissante de sa condamnation l'année dernière.
Diminué, il assiste au procès sur une chaise roulante et ses avocats ont déjà dénoncé plusieurs fois un manque de soins en prison.
Rejugé
Harvey Weinstein doit être rejugé pour l'agression sexuelle de l'ancienne assistante de production Mimi Haleyi, en 2006, et le viol de l'aspirante actrice Jessica Mann, en 2013. Il avait été reconnu coupable de ces faits en 2020 et condamné à 23 ans de prison.
Mais en avril 2024, une cour d'appel a annulé toute la procédure au motif que le tribunal avait laissé témoigner d'autres victimes présumées sur des faits pour lesquels l'ancien producteur n'était pas inculpé.
Le procès portera aussi sur une nouvelle inculpation pour agression sexuelle en 2006 dans un hôtel de Manhattan, sur une victime présumée qui demeure pour l'instant anonyme mais témoignera sous son nom, a assuré son avocate Lindsay Goldbrum.
Harvey Weinstein, producteur d'innombrables succès du cinéma indépendant ("Sexe mensonges et vidéo", "Pulp Fiction", "Shakespeare in Love"), reste détenu, car il a aussi été condamné en Californie à 16 ans de prison en 2023 dans un dossier distinct de viol et agressions sexuelles.
Mercredi, le processus de sélection du jury est toujours en cours.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Pas de revanche pour Jil Teichmann
Les matches se suivent et se ressemblent pour Jil Teichmann (WTA 96). Comme à Radom quatre jours plus tôt, la gauchère s’est inclinée à Rouen devant Elina Svitolina (WTA 18).
Jil Teichmann a été battue sur le score de 6-4 6-2, identique à celui de samedi dans le cadre de la Billie Jean King Cup. Comme en Pologne, elle a tenu le score en début de rencontre avant de céder six jeux d’affilée pour être menée 6-4 4-0.
Tête de série no 1 de ce tournoi WTA 250, Elina Svitolina a cueilli un troisième succès en cinq rencontres face à une Jil Teichmann en panne de résultats en ce début de printemps. Depuis son succès au WTA 125 de Mumbai, elle reste, en effet, sur six défaites en sept rencontres.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Trump qualifie Harvard de "blague"
Donald Trump a criblé Harvard de critiques mercredi. Il a qualifié l'institution de "blague" qui ne mérite pas de subventions fédérales, intensifiant ainsi son bras de fer avec l'université.
"Harvard est une blague qui enseigne la haine et l'imbécilité, et qui ne devrait plus recevoir de fonds fédéraux", a écrit le président américain sur Truth Social, deux jours après avoir coupé 2,2 milliards de dollars de subventions fédérales pluriannuelles à l'établissement.
La présidence de l'université avait marqué les esprits lundi en s'opposant publiquement aux demandes de l'administration Trump.
Dans ce face-à-face qui illustre l'affront du président américain contres les prestigieuses universités du pays, Donald Trump a rétorqué qu'Harvard ne pouvait "plus être considéré comme un lieu d'apprentissage décent et ne devrait figurer sur aucune liste des grandes universités dans le monde", jugeant que l'institution recrute essentiellement "des gauchistes radicaux, des idiots et des cervelles de moineau".
"Folie idéologique"
Il avait demandé la veille à l'institution de "s'excuser" et fustigé l'exemption fiscale dont elle bénéficie, estimant qu'elle devrait "être imposée comme une entité politique, si elle continue de défendre sa 'folie' politique, idéologique, inspirée par/soutenant le terrorisme".
L'université privée installée près de Boston, dotée d'un immense patrimoine de plus de 50 milliards de dollars, bénéficie d'une exemption vis-à-vis de l'administration fiscale fédérale ainsi que de l'Etat du Massachusetts.
Harvard, comme d'autres universités américaines, a été le théâtre d'une mobilisation étudiante contre la guerre menée par Israël à Gaza, un mouvement régulièrement dénoncé comme antisémite par des conservateurs américains, et a été ciblée par la Maison Blanche depuis le retour au pouvoir de Donald Trump.
Le républicain accuse l'université et ces autres institutions de laisser prospérer l'antisémitisme sur leurs campus, et son gouvernement leur a demandé de mettre en place toute une série de mesures - dont un "audit" des opinions des étudiants et du corps enseignant - faute de quoi l'Etat fédéral couperait le robinet à subventions.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'OMC prévoit une contraction du commerce d'au moins 0,2% en 2025
L'Organisation mondiale du commerce (OMC) prévoit une contraction du commerce mondial de 0,2% en 2025. Si les Etats-Unis appliquent les droits de douane réciproques et l'incertitude plus large se durcit, le recul pourrait atteindre 1,5%, a-t-elle dit mercredi à Genève.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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