Climat
Biden dans le Kentucky, frappé par des tornades dévastatrices
Joe Biden est arrivé mercredi dans le Kentucky porteur d'un message de rassemblement et de mobilisation en faveur de cet Etat rural et conservateur, qui vient de subir des tempêtes dévastatrices.
Le démocrate de 79 ans, après un survol en hélicoptère, a déambulé dans Mayfield, l'une des localités les plus touchées par les tornades qui ont traversé vendredi dernier cet Etat rural et conservateur du sud-est des Etats-Unis, y faisant au moins 74 morts.
On l'a vu s'entretenir avec des habitants, et s'arrêter dans la rue pour un court instant de recueillement. Autour de lui, des bâtiments effondrés, des amas de briques, de bois, de tôle, où s'activent des engins de chantiers et des ouvriers vêtus de jaune fluo.
"Ce que j'ai vu, c'est un groupe de gens incroyables qui se rassemblent, qui s'aident les uns les autres. Et qui sont plein d'espoir. Nous allons rester ici jusqu'à ce que ce soit fini et reconstruit", a-t-il dit aux journalistes, en finissant sa visite.
Peu avant, lors d'une réunion avec des responsables locaux dans un hangar où sont stockées des vivres et des bouteilles d'eau, le président avait lancé: "Il n'y a pas de tornades rouges ou de tornades bleues", en référence aux couleurs respectives du Parti républicain et du Parti démocrate, le sien.
Au centre-ville de Mayfield, avant que le convoi présidentiel n'arrive, Bryan Wilson mesure les dégâts dans ce qui reste de son bureau d'avocat. Il fouille, espérant sauver des documents, des registres, des ordinateurs.
Ses yeux s'embuent lorsqu'il dit à l'AFP: "C'est très important que (le président) vienne. Cela montre qu'il y a encore à Washington des gens qui s'intéressent à l'Amérique rurale".
Et d'évoquer "l'incroyable" élan de solidarité autour des sinistrés, alors qu'autour de lui des ouvriers et des bénévoles s'activent pour déblayer gravats et débris, au milieu des grondements des engins de chantier.
"Aussi longtemps que nécessaire"
Joe Biden a promis toute l'aide des autorités fédérales: "Nous serons sur place aussi longtemps que ce sera nécessaire pour aider", a-t-il dit lundi dans le Bureau ovale, après une réunion consacrée au phénomène météorologique exceptionnel qui a aussi fait au moins 14 victimes dans le Tennessee, l'Illinois, le Missouri et l'Arkansas.
"Voilà ce que l'administration (fédérale) a fait savoir à tous les gouverneurs: ce dont ils ont besoin, quand ils en ont besoin", ils l'auront, a encore dit le président.
Pas de politique
Joe Biden ne se rend pas en terre conquise, politiquement parlant: si le Kentucky a un gouverneur démocrate, l'Etat a donné une très large majorité au républicain Donald Trump lors de l'élection de 2020.
Le président américain a pris soin avant son départ de ne pas politiser la visite.
"Le président voit les gens à travers la tragédie qu'ils vivent: la douleur d'avoir perdu des proches, d'avoir perdu leur maison. (...) Il les voit comme des êtres humains, pas comme des personnes ayant des attaches partisanes", a dit mardi sa porte-parole Jen Psaki.
Le démocrate devrait donc rester dans un registre qu'il connaît bien: celui du réconfort et de la compassion.
Le président américain a perdu sa première épouse et une fille encore bébé dans un accident de voiture, puis a pleuré la mort de son fils aîné emporté par un cancer à l'âge adulte. Il dit avoir puisé dans ces deuils une capacité d'écoute et une empathie particulières.
Changement climatique
Joe Biden a évoqué avec de grandes précautions un lien entre ces tornades et le changement climatique, alors qu'en septembre, en constatant les ravages de la tempête Ida à New York et dans le New Jersey, il avait parlé d'"alerte rouge" climatique, et saisi l'occasion de vanter ses grands projets d'investissement.
"Nous devons être très prudents. Nous ne pouvons pas dire avec une certitude absolue que c'est lié au changement climatique", a-t-il dit lundi, qualifiant seulement les tempêtes du vendredi précédent d'"inhabituelles".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Les Etats-Unis balayés par une tempête hivernale: cinq morts
Cinq personnes ont perdu la vie à cause d'une grosse tempête hivernale qui balaie depuis dimanche le centre et l'est des Etat-Unis, affectant des millions d'habitants mais faisant la joie de résidents de la capitale Washington.
Les intempéries, qui se déplacent des Etats centraux vers ceux de la côte Est (Delaware, Maryland, Virginie, District of Columbia et sud de l'Etat de New York, où se trouve la mégalopole éponyme), ont entraîné annulations de vols, fermetures d'écoles et accidents de la route.
Plus de 50 millions de personnes sont touchées, dont environ 300'000 sont toujours sans électricité lundi après-midi, tandis que 2300 vols ont été annulés et des milliers d'autres retardés, selon les sites Poweroutage.us et FlightAware.
A Washington, un manteau blanc recouvre les rues. Par endroits, jusqu'à 30 centimètres de neige sont attendus, a fait savoir le Service météorologique national (NWS).
Les trottoirs et des parcs de la capitale fédérale sont le terrain de jeu de joyeuses batailles de boules de neige d'enfants et d'adultes.
Certains ont même chaussé les skis.
Au moins cinq morts
A 400 km au nord, la ville de New York et ses grandes banlieues de Long Island et du Westchester, à l'extrême sud de l'Etat rural du même nom, ont commencé à voir chaussées et toits d'immeubles recouverts de premiers flocons.
Mais cela ne représente pas plus d'un cm à Central Park, le poumon vert - et blanc pour l'occasion - de Manhattan, et sur les pistes des aéroports JFK et LaGuardia à Queens et Brooklyn, selon le NWS, pour la mégapole de neuf millions d'âmes aux saisons traditionnellement très marquées.
Mais lundi, toute l'attention est sur Washington, où le Congrès a certifié la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle du 5 novembre, quatre ans jour pour jour après le violent assaut du Capitole par les partisans du républicain après sa défaite contre Joe Biden en novembre 2020.
Non loin, les deux principaux aéroports de la capitale fédérale, Dulles et Ronald-Reagan, ont été contraints d'annuler plus de 500 vols depuis 06h00 (12h00 en Suisse).
Cinq personnes sont décédées depuis dimanche dans des accidents liés aux conditions dantesques, selon des médias locaux, dont trois dans les Etats centraux du Missouri et du Kansas.
Potentielles tornades
Les services météo avaient averti sur la quantité de neige devant tomber, notamment sur l'Ohio et le massif des Appalaches du sud-est au nord-est, mettant en garde contre tout déplacement "dangereux" sur les routes enneigées et verglacées.
"La neige s'est transformée en glace, entraînant des coupures d'électricité et des conditions routières plus dangereuses. Les équipes de sécurité des transports travaillent d'arrache-pied pour dégager les routes pour permettre aux équipes des services publics et aux urgences de se déplacer", a déclaré le gouverneur du Kentucky (centre-est) Andy Beshear, appelant les habitants à rester chez eux.
Les gouverneurs du Missouri, de la Virginie et du Maryland ont déclaré l'état d'urgence, à l'image du Kentucky.
Des vidéos publiées par la chaîne météo The Weather Channel montrent des véhicules déraper sur des routes verglacées et des semi-remorques finir dans des barrières en bord de route au Kansas.
Selon les services météo du pays, des orages accompagnés de grêle et de potentielles tornades pourraient frapper les Etats du sud-est. Ces puissants vents pourraient entraîner des dégâts matériels et des "pannes d'électricité prolongées", a averti le NWS.
Dans le centre et l'est du pays, les températures devraient chuter par endroits jusqu'à -18°C avec de fortes rafales de vent.
Les scientifiques affirment que les phénomènes météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves en raison du changement climatique provoqué par l'homme.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Sévère tempête de neige dans l'est des Etats-Unis
Une dangereuse tempête hivernale s'est abattue dimanche sur les États-Unis, où des millions de personnes dans la moitié est du pays sont menacées par le blizzard. Certaines localités devraient enregistrer les plus importantes chutes de neige des dix dernières années.
Plus de 60 millions de personnes se trouvent sur la trajectoire de la tempête, qui devrait balayer la moitié est des Etats-Unis avec de l'air arctique jusqu'à lundi et entraîner de fortes perturbations des déplacements.
Le Service météorologique national (NWS) a prévenu des risques de verglas, neige et vents violents de l'ouest du Kansas jusqu'aux Etats côtiers du Maryland, du Delaware et de la Virginie, soit sur une bande de territoire large de 2400 kilomètres.
Le NWS précise dans son dernier bulletin s'attendre à du "givre destructeur et des pluies verglaçantes".
L'agence a averti que les régions allant du nord-est du Kansas au centre-nord du Missouri connaîtraient "les plus fortes chutes de neige depuis dix ans".
Les scientifiques affirment que les phénomènes météorologiques extrêmes sont de plus en plus fréquents et de plus en plus graves en raison du changement climatique provoqué par l'homme.
La première grande tempête de 2025 a déjà provoqué la fermeture momentanée samedi de l'aéroport international de Kansas City, "en raison d'une accumulation rapide de glace". Les vols ont ensuite repris après le dégagement des pistes, a précisé le maire de Kansas City, Quinton Lucas.
La compagnie American Airlines a émis une alerte à ses clients pour 45 aéroports du pays touchés par la tempête.
Neige abondante
Certaines localités des Etats de New York et de Pennsylvanie, dans l'est du pays, seront confrontées à une neige abondante en provenance des Grands Lacs, qui pourrait totaliser 61 centimètres, selon le NWS.
Un blizzard est attendu sur les plaines centrales tôt dimanche, rendant les déplacements "extrêmement dangereux, avec des routes impraticables et un risque élevé pour les automobilistes de se retrouver bloqués", prédit le NWS.
La capitale des Etats-Unis, Washington, pourrait être recouverte d'un manteau neigeux de 12 centimètres ou plus, allant jusqu'à 25 cm dans les zones avoisinantes.
Chute des températures
Les températures devraient plonger, dans certains endroits, en dessous des 18 degrés Celsius, avec des fortes rafales de vent aggravant la situation.
La possibilité de pluies verglaçantes inquiète également les autorités, en raison de leur impact potentiel sur les routes et le réseau électrique. Une vaste coupure de courant aurait des effets dévastateurs pour des habitants qui seraient sans chauffage en pleine tempête hivernale.
Le massif des Appalaches, déjà touché par un ouragan cataclysmique fin septembre, est particulièrement à risque.
Des orages violents sont également attendus dans la vallée inférieure du Mississippi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
"Mayotte debout": Bayrou dévoile son plan pour l'archipel dévasté
Empêcher la reconstruction des bidonvilles, rétablir l'électricité "dans chaque foyer" d'ici fin janvier: François Bayrou a annoncé lundi une batterie de mesures lors de sa visite à Mayotte, deux semaines après le passage du dévastateur cyclone Chido.
Après une visite d'une journée à la tête d'une importante délégation ministérielle, le Premier ministre a présenté devant le Conseil départemental de l'archipel son plan "Mayotte debout" qui "a une seule ligne directrice: pas de phrases, des décisions concrètes et précises, des engagements concrets et précis".
Pris dans une polémique sur sa présence au Conseil municipal de Pau deux jours après le cyclone et trois jours après sa nomination à Matignon, confronté à l'impatience et à la colère d'habitants et de représentants de l'île sur la lenteur des secours, M. Bayrou a égrené plusieurs dizaines de mesures sur de nombreux thèmes, dont l'éducation, la santé, l'approvisionnement en eau et en électricité, ou encore le soutien à l'économie locale.
En parallèle, une "loi d'urgence" sera présentée vendredi en Conseil des ministres, avec "une présentation au Parlement sous quinze jours", a annoncé M. Bayrou. Un projet de "loi programme de refondation" de l'archipel "préparé et conçu avec les élus de Mayotte, sera mis au point dans les trois mois, a-t-il précisé.
Parmi les dispositions-phares détaillées lundi par le chef du gouvernement, l'engagement de l'Etat et des pouvoirs publics locaux à "interdire et empêcher la reconstruction des bidonvilles", reprenant un mantra d'Emmanuel Macron, venu les 19 et 20 décembre sur place.
Une volonté qui pourrait être "inscrite dans la loi", alors qu'environ un tiers de la population de ce département le plus pauvre de France réside dans des habitats précaires, entièrement détruits.
Face à l'urgence d'un archipel ravagé et encore en partie privé de services essentiels, M. Bayrou a également demandé que l'électricité soit "rétablie dans chaque foyer fin janvier", grâce notamment à "un renfort de 200 agents" et l'arrivée de "200 groupes électrogènes, une dizaine par commune" pour faire fonctionner "les équipements indispensables".
"Avant la fin de la semaine, le volume de production d'eau potable obtenu avant Chido sera atteint", a promis le chef du gouvernement en évoquant une "intervention" imminente de "l'armée" aider au rétablissement du réseau.
Le Premier ministre a aussi annoncé le lancement d'un "plan vigilance" à Mayotte associant armée et gendarmerie pour "surveiller" les établissements scolaires face aux menaces d'incendie et de pillage. Le maire de Mamoudzou venait, en séance, de dénoncer que l'on ait lundi "brûlé une école de la République" transformée depuis quinze jours en centre d'hébergement.
Face à l'immigration irrégulière - le département compte 320'000 habitants selon l'Insee, mais peut-être 100'000 à 200'000 de plus avec les sans-papiers - M. Bayrou a plaidé pour un "recensement général et précis de la population".
Une "opération vérité qui permettra de sortir des ambiguïtés et des incohérences que beaucoup d'élus ont signalé sur l'appréciation numérique de la population", a-t-il fait valoir, alors qu'il avait plus tôt dans la journée jugé "irresponsable" de prétendre "qu'il n'y a pas un problème d'immigration brûlant à Mayotte".
Sur le volet économique, M. Bayrou a indiqué que les cotisations sociales seraient suspendues "pour toutes les entreprises jusqu'au 31 mars". Des compensations de pertes de chiffres d'affaires, ou encore des facilités de prêts sont également prévues.
Objectif: deux ans
"Il ne s'agit pas seulement de reconstruire Mayotte comme elle était. Il s'agit de dessiner l'avenir de Mayotte, différent", avait expliqué dans la journée M. Bayrou, qui a répété son "objectif" de rebâtir Mayotte en deux ans, désireux de "faire mentir la fatalité".
Accompagné de cinq ministres, dont les ministres d'Etat Elisabeth Borne (Education) et Manuel Valls (Outremer), François Bayrou a notamment visité l'usine de dessalement d'eau de Petite Terre, un hôpital de campagne, une école dont plusieurs salles de classes ont été dévastées, avant de multiplier les rencontres avec les forces vives et les élus de l'île.
Chido, cyclone le plus dévastateur à Mayotte depuis 90 ans, a causé le 14 décembre la mort de 39 personnes et fait plus de 5600 blessés, selon un bilan publié dimanche par la préfecture.
Concernant le bilan des victimes, M. Bayrou a appelé lundi à une "très grande prudence", affirmant que les "rumeurs de milliers de morts" n'étaient "pas fondées" et que les décès se comptaient plutôt en "quelques dizaines ou quelques centaines".
A l'issue de sa visite à Mayotte, M. Bayrou se rendra sur l'île de La Réunion, importante base logistique pour l'aide à l'archipel mahorais, où il poursuivra sa visite mardi matin avant de regagner la métropole.
"Dans le sud, dans le nord, on est les oubliés de ce territoire. Ils (les plus hauts responsables politiques) restent toujours à Mamoudzou", déplore une habitante, Marachi Maoulida, "déçue" de cette visite primo-ministérielle d'une journée mais qui veut rester "optimiste".
Présent dans sa délégation, son ministre d'Etat en charge des Outremer, Manuel Valls, restera deux jours supplémentaires à Mayotte.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Climat
Espagne: 80'000 manifestants dans les rues de Valence
La colère reste vive dans les rues de Valence: quelque 80'000 personnes s'y sont rassemblées dimanche pour dénoncer la gestion par les autorités espagnoles des inondations meurtrières qui ont touché le sud-est du pays il y a deux mois.
La manifestation a réuni près de "80'000 personnes", selon la Délégation du gouvernement espagnol (préfecture) à Valence.
Munis de pancartes "Mazón, démission", en référence au président conservateur (Parti populaire) de la région de Valence, Carlos Mazón, les manifestants ont défilé en fin d'après-midi dans les rues du centre de Valence.
Et la colère ne retombe pas, deux mois jour pour jour après les inondations tragiques du 29 octobre qui ont fait 231 morts, selon le dernier bilan des autorités, dont 223 dans la seule région de Valence. Quatre personnes sont par ailleurs toujours portées disparues.
"Assassin", "criminel"
Aux cris de "assassin", "criminel", des milliers de personnes ont encore répondu à l'appel de plusieurs organisations locales et syndicales pour réclamer la démission de Mazón.
"Après tout ce qui s'est passé avec les inondations, aucun homme politique n'a démissionné, il n'y a eu aucune conséquence, et ils ne font rien", a regretté Enrique Soriano, responsable événementiel.
Pour Amparo Mateos, qui vit à Picaña, localité touchée par les inondations, Carlos "Mazón n'a pas fait son travail. Et ceux qui ne font pas leur travail doivent s'en aller. Surtout s'il s'agit d'un fonctionnaire", a estimé la femme au foyer.
En tête de cortège, des dizaines de tracteurs qui ont aidé les sinistrés à déblayer la boue et les carcasses de voitures qui encombraient les routes.
Habitants pas prévenus
Il s'agit de la troisième manifestation à Valence après celles du 9 et 30 novembre, qui ont rassemblé respectivement 130'000 et 100'000 personnes, d'après les chiffres de la préfecture de Valence.
Les sinistrés reprochent à l'exécutif régional de ne pas avoir prévenu les habitants suffisamment à l'avance du danger des pluies torrentielles malgré une alerte donnée très tôt le matin par l'agence météorologique nationale. Ils reprochent aussi aux autorités d'avoir tardé à déployer les secours.
En Espagne, pays très décentralisé, la gestion des catastrophes est une compétence des régions, mais le pouvoir central peut fournir des moyens et même assumer l'urgence dans les cas extrêmes.
Plaintes rejetées
Depuis des semaines, le président de la région Carlos Mazón et le chef du gouvernement socialiste Pedro Sánchez s'accusent mutuellement des ratés dans la gestion de cette catastrophe historique.
Lundi, le Tribunal supérieur de justice de la communauté valencienne a rejeté des plaintes contre Mazón pour sa gestion de la tragédie, se déclarant incompétente, tout en précisant que les requérants pouvaient solliciter une ouverture d'une enquête préliminaire devant un juge d'instruction.
Les inondations ont provoqué des dégâts importants dans près de 80 villes et de nombreux habitants peinent toujours à retrouver un cours normal à leur vie.
A Paiporta, commune considérée comme l'épicentre de la tragédie, seuls 20% des commerces ont rouvert, selon la chambre de commerce de région de Valence.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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