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Olaf Scholz élu chancelier, l'ère Merkel se referme

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L'élection d'Olaf Scholz met un terme aux 16 années de l'ère Angela Merkel. (© KEYSTONE/AP/Markus Schreiber)

Deux mois et demi après les élections en Allemagne, le social-démocrate Olaf Scholz a été élu mercredi chancelier par les députés. Il ramène le centre-gauche au pouvoir et referme définitivement les 16 années de l'ère Angela Merkel.

Sur les 736 élus du Bundestag issu du scrutin du 26 septembre, 395 ont voté pour Olaf Scholz, 303 contre et 6 se sont abstenus, lui permettant de devenir le neuvième chancelier de l'Allemagne d'après-guerre.

"Oui", a ensuite répondu Olaf Scholz à la présidente du Bundestag, Bärbel Bas, qui lui demandait s'il acceptait le résultat du vote. Le président de la République fédérale, Frank-Walter Steinmeier lui a ensuite remis son "acte de nomination", marquant ainsi le début officiel de son mandat. Il a ensuite prêté serment devant les députés.

Confortable majorité

Son élection ne faisait aucun doute: son Parti social-démocrate (SPD), arrivé en tête aux législatives, dispose d'une confortable majorité (206 sièges), avec ses deux nouveaux partenaires de coalition, les Verts (118 sièges) et les libéraux du FDP (92).

Ce vote marque le retrait d'Angela Merkel à l'issue de quatre mandats qui, à neuf jours près, ne lui auront pas permis de battre le record de longévité détenu par Helmut Kohl (1982-1998).

Présente dans l'assemblée pour assister à l'élection de son successeur, elle a été longuement applaudie par les députés, la plupart debout, avant l'ouverture de la séance plénière. En réponse, Angela Merkel, masque médical sur le visage, les a salués de la main depuis la tribune d'honneur.

Félicitations de Guy Parmelin

Le président de la Confédération Guy Parmelin a chaleureusement félicité le nouveau chancelier allemand Olaf Scholz et son gouvernement pour leur élection. Dans un tweet, il a également remercié la chancelière sortante Angela Merkel.

Le président français Emmanuel Macron, qui recevra vendredi le nouveau chancelier, a promis à Olaf Scholz d'écrire "la suite ensemble" tandis que la présidente de la Commission européenne, l'Allemande Ursula von der Leyen, entend travailler avec lui "pour une Europe forte".

Le Kremlin a souhaité quant à lui "une relation constructive" avec le nouveau chancelier au moment où les tensions sont fortes entre l'UE et Moscou.

Hommages en pagaille

Angela Merkel, qui a reçu des hommages en cascade ces dernières semaines, quittera définitivement la chancellerie après une cérémonie de passation des pouvoirs dans l'après-midi avec Olaf Scholz, son adversaire politique mais aussi, jeu des alliances oblige, son ministre des Finances et vice-chancelier ces 4 dernières années.

La dirigeante, au faîte de sa popularité il y a peu encore, met un terme à 31 ans de carrière politique.

Gouvernement paritaire

Féministe convaincu, Olaf Scholz prendra à sa suite les rênes d'un gouvernement composé pour la première fois d'autant d'hommes que de femmes. Trois d'entre elles seront à la tête de ministères clés: les Affaires étrangères pour l'écologiste Annalena Baerbock, la Défense et l'Intérieur pour les deux sociales-démocrates Christine Lambrecht et Nancy Faeser.

Inédit, le gouvernement le sera aussi dans sa composition politique. Il réunira en effet pour la première fois depuis les années 1950 trois partis: le SPD, les Verts et le Parti libéral-démocrate (FDP).

Ces trois formations sont parvenues rapidement à s'accorder sur un programme qui fait la part belle à la protection du climat, la rigueur budgétaire et l'Europe.

Christian Lindner, le dirigeant des libéraux et parangon de l'austérité budgétaire, doit d'ailleurs prendre la tête du puissant ministère des Finances.

Crise sanitaire

A peine installés dans leurs nouvelles fonctions, les ministres vont affronter une crise sanitaire d'une ampleur inégalée depuis l'apparition du Covid-19. La flambée épidémique a déjà poussé Berlin à un tour de vis drastique pour les non-vaccinés.

La stratégie du nouvel exécutif repose désormais sur une vaccination obligatoire souhaitée par Olaf Scholz et qui pourrait être adoptée en février ou mars. Le nouvel attelage risque toutefois de se heurter à la colère dans l'ex-RDA, région où l'extrême droite a ses fiefs et où une partie de la population se repaît de théories complotistes en rejetant la vaccination.

Le nouveau gouvernement est également très attendu à l'international en plein remous géopolitiques avec la Russie et la Chine. Olaf Scholz n'a pas commenté l'annonce par les Etats-Unis d'un "boycott diplomatique" des Jeux olympiques d'hiver de Pékin alors que la nouvelle cheffe de la diplomatie n'a pas exclu d'emboîter le pas de Washington.

Annalena Baerbock a également promis d'adopter un ton plus ferme que le gouvernement précédent à l'égard de Moscou au moment où la Russie masse des troupes et des moyens militaires importants aux frontières de l'Ukraine, faisant redouter une agression.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Un superbe cadeau d'anniversaire pour Alexander Zverev

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Alexander Zverev: un 24e titre le jour de ses 28 ans (© KEYSTONE/AP/Matthias Schrader)

Alexander Zverev a fêté dimanche de la plus belle des manières son 28e anniversaire. Le no 3 mondial s'est offert comme cadeau le titre à l'ATP 500 de Munich.

Il s'est imposé 6-2 6-4 devant Ben Shelton (ATP 15) sans avoir concédé la moindre balle de break. Il a ravi le service de l'Américain d'entrée de jeu dans les deux manches pour cueillir le 24e titre de sa carrière, son troisième à Munich après ses succès en 2017 et en 2018.

Méconnaissable depuis sa défaite en finale de l'Open d'Australie face à Jannik Sinner en début d'année, Alexander Zverev a retrouvé toutes ses sensations à Munich. Il a rappelé en Bavière qu'il demeure l'un des grands favoris du prochain Roland-Garros, dont il fut le finaliste l'an dernier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Malgré la fatigue, le pape s'offre un bain de foule pour Pâques

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Le pape François s'est offert un bain de foule malgré son état encore faible. (© KEYSTONE/EPA/ANGELO CARCONI)

Le pape François, toujours très affaibli, s'est offert dimanche un bain de foule surprise place Saint-Pierre auprès de milliers de fidèles réunis pour célébrer Pâques. Il a plus tôt délégué la lecture de son discours.

Un mois à peine après sa sortie de l'hôpital, où il a frôlé la mort avec une double pneumonie, le pape de 88 ans a parcouru pendant une quinzaine de minutes les allées de la place à bord de sa "papamobile" et béni des nourrissons dans une ambiance survoltée, encadré par de nombreux gardes du corps.

Quelques minutes plus tôt, il était apparu en fauteuil roulant, sans canules nasales à oxygène, au balcon de la basilique Saint-Pierre pour donner sa traditionnelle bénédiction "Urbi et Orbi" (à la ville et au monde). "Chers frères et soeurs, joyeuses Pâques", a-t-il lancé d'une voix essoufflée aux fidèles, qui l'ont chaleureusement applaudi.

"Je suis émue par la force qu'il déploie parce qu'il est malade et très vieux. C'est un Argentin comme nous. Il est des nôtres. Nous nous sentons bénis", a confié à l'AFP Maria Repezza, une Argentine de 58 ans, les larmes aux yeux.

Rencontre "privée" avec JD Vances

Apparu fatigué et peinant à s'exprimer malgré l'amélioration de ses capacités respiratoires, François a délégué à un collaborateur la lecture de son texte où il a appelé au respect de la "liberté de pensée et d'expression" et exhorté les dirigeants à "ne pas céder à la logique de la peur qui enferme".

"Que de mépris se nourrit parfois envers les plus faibles, les marginalisés, les migrants", a-t-il lancé en invitant à "abattre les barrières qui créent des divisions".

Quelques instants plus tôt, François a reçu le vice-président américain JD Vance pour une "rencontre privée" de "quelques minutes", deux mois après avoir vivement critiqué la politique migratoire de l'administration de Donald Trump.

"Dignité"

Du Yémen à l'Ukraine en passant par le Soudan, le Sahel ou la Syrie, le pape a cité une dizaine de pays en conflit et a de nouveau plaidé pour le désarmement, un thème central de son pontificat. Il a dénoncé la "situation humanitaire dramatique et ignoble" à Gaza tout en mettant en garde contre "le climat d'antisémitisme croissant qui se répand dans le monde entier", qu'il estime "préoccupant".

"J'appelle les belligérants: cessez le feu, que les otages soient libérés et que l'aide précieuse soit apportée à la population affamée qui aspire à un avenir de paix", a-t-il lancé. "Face à la cruauté des conflits qui impliquent des civils sans défense, qui s'en prennent aux écoles et aux hôpitaux ainsi qu'aux agents humanitaires, nous ne pouvons pas nous permettre d'oublier que ce ne sont pas des cibles qui sont touchées, mais des personnes avec une âme et une dignité."

Date commune

Pour la première fois depuis son élection en 2013, le chef du 1,4 milliard de catholiques a manqué la plupart des rendez-vous de la Semaine sainte, dont le Chemin de Croix au Colisée vendredi et la veillée pascale samedi soir, dont il a délégué la présidence à des cardinaux.

La messe de Pâques a été présidée par le cardinal italien Angelo Comastri sur la place Saint-Pierre ornée de milliers de fleurs hollandaises en présence de quelque 300 prêtres, évêques et cardinaux. Pour son seul engagement public de cette Semaine sainte, Jorge Bergoglio - censé observer un strict repos de deux mois, sans activités publiques - s'était rendu jeudi dans une prison du centre de Rome pour rencontrer des détenus.

Déjà affaibli par des problèmes de santé à répétition et des interventions chirurgicales, François a frôlé la mort à deux reprises au cours de son hospitalisation de 38 jours à l'hôpital Gemelli, dont il est sorti le 23 mars.

Depuis, il poursuit sa rééducation et continue de travailler depuis sa résidence, sans donner d'audiences à des groupes ni présider de messe. Fait rare, les chrétiens du monde entier célèbrent cette année Pâques le même jour du fait de la concordance des calendriers grégorien, suivi par les catholiques et protestants, et julien, suivi par les orthodoxes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Ukraine: Zelensky dénonce la poursuite des attaques malgré la trêve

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La trêve de Pâques décrétée par Vladimir Poutine a été décidée pour des "raisons humanitaires". (© KEYSTONE/EPA/RAMIL SITDIKOV / SPUTNIK / KREMLIN / POOL)

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé dimanche les forces russes de poursuivre leurs attaques. Cela malgré le cessez-le-feu promis la veille par Vladimir Poutine pour Pâques.

Cette proposition de trêve inattendue de 30 heures, déclarée unilatéralement par le président russe, aurait constitué la pause la plus significative dans les combats en trois années de conflit.

Mais quelques heures seulement après cette annonce, les alertes aériennes ont repris en Ukraine où les autorités - qui s'étaient engagées à respecter le cessez-le-feu - ont dénoncé sa violation par les Russes.

Volodymyr Zelensky a indiqué sur sa page Facebook dimanche que les tirs d'obus, assauts et attaques par drone s'étaient poursuivis pendant la nuit.

"Dans l'ensemble, le matin de Pâques, nous pouvons affirmer que l'armée russe tente de donner l'impression générale d'un cessez-le-feu, tout en poursuivant dans certaines régions des tentatives isolées d'avancer et d'infliger des pertes à l'Ukraine", a écrit le président, citant un rapport du commandant en chef de l'armée ukrainienne, Oleksandre Syrsky.

Entre 18H00 locales et minuit, ce rapport signale "387 bombardements et 19 assauts par les forces russes" ainsi que l'usage de dizaines de drones. Depuis minuit "il y a déjà eu 59 cas de bombardements et cinq assauts d'unités russes", ajoute-t-il.

Accusations russes

L'Ukraine répondra "symétriquement" à toute attaque, a affirmé M. Zelensky. La Russie a affirmé de son côté dimanche que ses forces avaient "repoussé" des attaques ukrainiennes durant la nuit.

"Malgré l'annonce de la trêve de Pâques, des unités ukrainiennes ont tenté, durant la nuit, d'attaquer les positions russes dans les zones de Sukhaya Balka et Bogatyr, dans la République populaire de Donetsk, mais ces attaques ont été repoussées", a annoncé le ministère russe de la Défense, en faisant référence à des villages situés dans la partie orientale de la région de Donetsk, contrôlée par la Russie.

Un journaliste de l'agence étatique russe RIA Novosti dans la ville de Donetsk tenue par les Russes a rapporté avoir entendu des explosions et vu un incendie dimanche matin.

Impasse

La trêve ordonnée samedi par M. Poutine intervient alors que les efforts de l'administration américaine pour trouver une issue au conflit en Ukraine paraissent dans l'impasse.

Vendredi, le président américain Donald Trump a menacé de se retirer des négociations faute de progrès rapides dans les discussions séparées que ses lieutenants ont depuis plusieurs semaines avec Kiev et avec Moscou.

Vladimir Poutine a justifié cette trêve de Pâques "par des considérations humanitaires", la décrétant de 17h00 samedi à 23h00 dimanche.

"Je donne l'ordre de cesser toutes les hostilités pendant cette période", a déclaré le dirigeant russe à la télévision, tout en demandant à ses forces de se tenir prêtes à une "réponse immédiate et complète" en cas de "violations de la trêve".

Son homologue ukrainien s'était dit prêt à respecter le cessez-le-feu, proposant même de l'étendre "au-delà du 20 avril".

"Chance à la paix"

"La Russie doit se conformer pleinement aux conditions du cessez-le-feu. La proposition de l'Ukraine de mettre en oeuvre et de prolonger le cessez-le-feu pendant 30 jours après minuit ce soir reste sur la table," a déclaré Volodymyr Zelensky dans un message posté dimanche.

Précédemment, il avait estimé que "30 jours pourraient donner une chance à la paix".

Mais les habitants de Kiev interrogés par l'AFP ne croyaient pas à une trêve. "Ils ont déjà rompu leur promesse. Malheureusement, nous ne pouvons pas faire confiance à la Russie", a déclaré Olga Grachova, une commerçante de 38 ans.

"Tout ce que nous proposons, malheureusement, reste seulement au stade de proposition. Personne n'y répond", déplorait Natalia, une médecin de 41 ans.

Il faut que "cette guerre terrible se termine, pour que notre peuple, nos soldats et nos enfants cessent de mourir", soulignait Sergiy Klochko, 30 ans, un cheminot.

"Diabolique"

"Il est impossible de croire à un quelconque cessez-le-feu de la part de ces gens", estimait Dmitri, un soldat urkainien de 40 ans, samedi, à Kramatorsk (est). "Je pense que cet homme (Poutine) est diabolique, un meurtrier".

A Moscou, Evgeniy Pavlov, 58 ans, affirmait pour sa part qu'il ne fallait "pas donner de répit à l'Ukraine".

La Russie a annoncé samedi avoir échangé 246 prisonniers de guerre ukrainiens, contre le même nombre de prisonniers russes, en plus de 31 blessés ukrainiens et 15 blessés russes.

Les Emirats arabes unis, médiateur sur ce dossier, ont salué "le plus grand échange" de prisonniers depuis le début de la guerre.

La fête de Pâques, l'une des plus importantes du calendrier chrétien, qui commémore la résurrection du Christ, est célébrée cette année dimanche, à la même date par les catholiques et les orthodoxes.

Dans une allocution de Pâques, M. Zelensky a déclaré que le sens de cette fête religieuse était que "le mal reculera, et que la vie triomphera".

"Aujourd'hui, ces mots résonnent dans chaque coeur ukrainien. Et ils renforcent notre foi, qui, malgré tout, n'a pas faibli pendant 1152 jours de guerre totale", a-t-il affirmé.

Des tentatives d'instaurer un cessez-le-feu à cette occasion en Ukraine ont déjà eu lieu à deux reprises depuis le début du conflit en février 2022.

La Russie a revendiqué samedi avoir "libéré" la quasi-totalité - "99,5%" -, de la région russe de Koursk, cible en août 2024 d'une offensive surprise des forces ukrainiennes. Une telle progression replacerait à nouveau en totalité le front sur le sol ukrainien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Clap de fin pour "Andor", la série Star Wars préférée des critiques

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Le personnage principal de la série "Andor", Cassian Andor, est campé par l'acteur mexicain Diego Luna (archives). (© KEYSTONE/EPA/CAROLINE BREHMAN)

Souvent qualifiée de "meilleure série Star Wars" par la critique, la série télévisée "Andor" revient mercredi pour une nouvelle saison, nourrie de livres d'histoire sur la guerre et les révolutions, selon son créateur Tony Gilroy. Ce sera cependant sa dernière saison.

Lancée sur Disney+ en 2022, cette superproduction a coûté plus de 645 millions de dollars pour ses deux saisons, d'après le magazine américain Forbes. Elle retrace les prémices de la rébellion contre l'empire galactique, sur les cinq ans conduisant au film "Rogue One" (2016), à travers le parcours d'un de ses protagonistes, Cassian Andor (Diego Luna).

Loin de se concentrer sur son héros éponyme, "Andor" explore les motivations et côtés obscurs des deux camps, suivant aussi bien l'architecte de la rébellion naissante campé par Stellan Skarsgard que les sbires de l'empire fascisant.

"Physiquement infaisable"

Initialement prévue pour cinq saisons, la série a été recalibrée pendant le tournage de la première, selon son créateur Tony Gilroy. A la signature du projet, "je n'avais pas idée du volume de travail nécessaire [...] C'était physiquement infaisable", a-t-il relaté lors d'un passage à Paris.

Résultat, la deuxième fournée de 12 épisodes, diffusés à raison de trois par semaine, couvre une période de quatre ans jusqu'à "Rogue One". Elle s'avère "beaucoup plus intense, plus complexe" que la première, assure Diego Luna.

Disney, qui a multiplié, avec plus ou moins de réussite, les films et séries télévisées Star Wars depuis le rachat de Lucasfilm en 2012, mise gros sur la saga pour attirer des abonnés à sa plateforme.

Son plus gros succès intergalactique sur le petit écran, "The Mandalorian", aura droit à une déclinaison en salles en mai 2026. Mais pour nombre de critiques, "Andor", plus sombre, plus politique et plus réaliste, sort du lot.

La deuxième saison se penche plus particulièrement sur le thème de la propagande, à travers le sort tragique du peuple d'une planète nommée Ghorman, pour laquelle il a fallu "imaginer une civilisation entière", avec son économie, sa langue, sa culture, sa garde-robe et son esthétique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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