Suisse
Lindt & Sprüngli investit environ 74 millions à Olten
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Le fabricant de chocolats et confiseur Lindt & Sprüngli investira environ 74 millions de francs d'ici 2024 pour agrandir son site de production d'Olten dans le canton de Soleure, a-t-il indiqué mardi.
Le site de production soleurois fabrique de la masse de cacao pour les usines Lindt, en Suisse, mais aussi en Allemagne, en Italie et en France.
"L'agrandissement et la modernisation du centre de cacao Lindt permettra d'augmenter les capacités de l'usine de 50% d'ici 2024 pour être à même de répondre à la demande anticipée du marché", a indiqué Marco Peter, directeur général (CEO) de Lindt & Sprüngli Suisse.
Les travaux, qui prévoient l'addition de lignes de production, une nouvelle rampe de chargement, un laboratoire et un réaménagement des bureaux, ont d'ores et déjà débuté.
L'entreprise reste fidèle à ses sites de production de Kilchberg, Olten et Altendorf. Lindt & Sprüngli est "l'un des rares chocolatiers" a fabriquer ses chocolats de la fève de cacao au produit fini, revendique le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Quelque 350 manifestants à nouveau devant le Grand Conseil
Une nouvelle manifestation a eu lieu mardi en fin d'après-midi devant le Grand Conseil vaudois, en plein débat sur le budget 2026 de l'Etat. Quelque 350 personnes étaient rassemblées devant l'entrée du Parlement, rue Cité-Devant à Lausanne, selon Keystone-ATS.
Il s'agissait de la huitième manifestation de la fonction publique depuis le début de la mobilisation en octobre, dans les rues de la capitale vaudoise (cinq) et devant le Parlement (trois) additionné. Comme les autres fois, le rassemblement de mardi visait symboliquement à "encercler" le Grand Conseil.
L'ambiance était plutôt bon enfant, entre chants, slogans et quelques huées et sifflements. En cours de journée, des représentants des syndicats et des membres du personnel des services publics et parapublics avaient déposé un cercueil noir devant le bâtiment.
Les deux premières avaient réuni respectivement plus de 1500 personnes le 2 décembre et près de 1000 le 3 décembre.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Amendes et confiscations requises contre Lafarge à Paris
Le Parquet national antiterroriste (PNAT) français a notamment requis mardi une amende de 1,125 million d'euros contre Lafarge, filiale d'Holcim depuis 2015, en tant que personne morale poursuivie pour financement du terrorisme et violation d'embargo.
Le PNAT demande aussi la confiscation partielle de 30 millions d'euros, déjà provisionnés. Il requiert également une amende solidaire de 4,6 millions au titre de l'infraction douanière de violation de sanctions financières internationales, à régler avec les prévenus poursuivis aussi sur ce volet, a constaté mardi l'agence AWP.
Des sommes à mettre en regard avec les fonds de 4,69 millions d'euros transmis aux factions djihadistes, dont l'Etat islamique, afin de maintenir l'activité de la filiale syrienne de Lafarge, entre 2012 et 2013.
La personne morale "n'est pas un écran, elle oblige", a asséné la représentante du parquet, ajoutant que l'entreprise hexagonale devra se charger du paiement intégral des frais de justice.
La représentante du PNAT a déclaré mardi après-midi être restée sur sa faim lors des débats concernant la personne morale Lafarge, "sans doute des enjeux parallèles extérieurs à cette enceinte, qui n'ont pas tous à voir avec le plaider-coupable américain (en 2021, ndlr)", a-t-elle dit. "On attendait davantage de cette entreprise française, qui assure sur son site avoir le courage de prendre les bonnes décisions".
Les fonds versés aux organisations djihadistes en Syrie ont permis "de ne pas arrêter les emprunts qui étaient redevables immédiatement en cas d'arrêt d'activité" de l'unité syrienne, cette "crainte de devoir déprécier des actifs dans le contexte de la fusion avec Holcim", actée en 2015.
"Ces fonds" transmis à des factions "ont permis de préserver cet actif", soit l'usine de Jalabiya. "Faute de trésorerie suffisante, Lafarge Cement Syria (LCS) faisait appel à Lafarge", a-t-elle déclaré, reprenant les termes du directeur financier du site, pour appuyer les liens entre le site syrien et le siège parisien.
Décision américaine ___
Il y a trois ans, Lafarge a plaidé coupable aux Etats-Unis pour avoir aidé des organisations terroristes entre 2013 et 2014 et été sanctionné à hauteur de 778 millions de dollars. A l'époque, Holcim, qui avait abandonné sa raison sociale Lafargeholcim au printemps 2021, soulignait que le Département américain de la Justice (DOJ) reconnaissait "que les faits n'impliquaient en aucune façon Holcim".
"Cet accord US n'était pas un élément à charge lors de l'instruction française, qui relève assez d'éléments probatoires pour sa culpabilité", a soutenu l'accusation. "Les paiements ont été objectivés".
Mais "selon la défense, l'accord de plaider coupable empêcherait Lafarge d'être à nouveau condamné", quand le PNAT vise une période plus large mais aussi des faits commis en France depuis le siège de la multinationale. De plus, la décision américaine n'arrête pas une procédure en France, a-t-elle ajouté, alors même que la défense compte plaider la relaxe.
Dès mercredi débuteront les plaidoiries des avocats des prévenus. Le procès doit s'achever vendredi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Les magasins genevois pourront ouvrir ce dimanche
A Genève, les magasins pourront ouvrir dimanche. La Chambre administrative de la Cour de justice (CACJ) a refusé d'octroyer l'effet suspensif à un recours déposé par les syndicats, indique mardi le Département de l'économie, de l'emploi et de l'énergie.
Les employés pourront choisir de travailler ou non ce jour-là, selon le communiqué. Le personnel qui travaillera verra son revenu être majoré de 100% ou pourra obtenir un congé compensatoire majoré de 100% des heures effectuées, selon le contrat-type de travail. Le recours avait été déposé pour s'opposer à la décision de l'office cantonal de l'inspection et des relations du travail (OCIRT) d'autoriser l'ouverture des commerces.
Les Genevois devront voter l'an prochain s'ils décident d'autoriser de manière pérenne les magasins à ouvrir deux dimanches par année. La votation initiale, prévue pour le 30 novembre, avait été annulée après un arrêt du Tribunal fédéral qui avait rendu les enjeux de la votation illisibles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Alpiq va supprimer jusqu'à 45 postes en Suisse
Alpiq prévoit de supprimer 40 à 45 postes en Suisse au cours des douze à 24 prochains mois, annonce l'énergéticien mardi. Ces coupes auront lieu dans le cadre d'une réorganisation de fond de la société en Europe.
"Des suppressions de postes sont prévues mais de nouvelles fonctions vont être créées, soit 100 au sein du groupe, dont plus de 50 en Suisse", a souligné un porte-parole de l'entreprise contacté par AWP. Alpiq compte 725 collaborateurs en Suisse, et 625 dans divers pays européens, selon son dernier rapport annuel.
Selon le porte-parole, la société envisage ainsi de garder un maximum d'employés concernés par les suppressions d'emplois, mais il est trop tôt, pour l'heure, de donner des chiffres ou même des détails concernant les nouveaux postes. Il n'a pas non plus pu dire où ces coupes auront exactement lieu. La société a son siège social à Lausanne, dans le canton de Vaud, mais dispose également d'un siège opérationnel à Olten, dans le canton de Soleure.
La restructuration du groupe a pour objectif de "rationaliser les activités et améliorer l'orientation client, alors qu'Alpiq poursuit son expansion sur ses marchés clés."
"Davantage de rationalisation et de clarté"
Dans le cadre de la mise en place de cette nouvelle stratégie, la société change sa structure de division: "Switzerland, Trading and International", deviendra ainsi "Assets, Trading and Energy Solutions" au 1er janvier prochain, selon un communiqué. "Ce changement conduira à des responsabilités plus claires, à une rationalisation des processus et à une meilleure collaboration transversale, ce qui renforcera à la fois l'orientation client et la création de valeur", soutient Alpiq.
"Cette réorganisation est effectuée en étroite consultation avec les comités d'entreprise, là où il y en a, et, dans tous les pays concernés, dans le strict respect des exigences locales", affirme l'énergéticien, qui n'en dit pas, là non plus, davantage.
Alpiq ajoute vouloir renforcer sa présence sur les principaux marchés que représentent la Suisse, la France, l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne et les pays nordiques, et explorer de nouvelles opportunités en Europe occidentale. Il entend se concentrer sur les produits énergétiques structurés, les offres de flexibilité innovantes telles que les BESS et les solutions de gestion de la demande, ainsi que les contrats d'achat d'électricité (PPAs).
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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