International
L'Espagnol Alex Palou sacré champion pour la première fois

- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2021/09/alex-palou-nouvelle-star-de-lindycar-1000x600.jpg&description=L'Espagnol Alex Palou sacré champion pour la première fois', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
L'Espagnol Alex Palou (Chip Gagnassi), âgé de 24 ans, n'incarne plus seulement la génération montante de l'IndyCar, mais triomphante.
Il s'est adjugé le championnat 2021, dimanche, au terme du Grand Prix de Long Beach remporté par l'Américain Colton Herta.
Le pilote catalan, dont c'est la deuxième saison en IndyCar, est le premier de son pays à être sacré champion. Il succède au palmarès au Néo-Zélandais Scott Dixon.
Une 15e place au pire lui était nécessaire pour écrire une nouvelle page de la compétition, lors de la dernière épreuve disputée en Californie. Il a fini 4e.
Seuls le Mexicain Pato O'Ward et l'Américain Josef Newgarden pouvaient l'en empêcher, même si leurs chances étaient minces. Et le premier a abandonné à mi-course, après un accrochage, le second finissant deuxième.
"Quelle course, quelle année, quelle saison!" s'est exclamé Palou. "Je suis super fier d'être champion (...) C'est un rêve qui se réalise."
Palou symbolise le rajeunissement de la discipline cette saison. Il est le premier champion âgé de moins de 25 ans depuis Scott Dixon en 2003. Il est aussi le 7e pilote le plus jeune de l'histoire à remporter le championnat IndyCar.
"Vous avez sous les yeux un jeune homme qui va établir beaucoup de records dans cette discipline et il n'en est qu'à ses débuts", a applaudi le propriétaire de son écurie Chip Ganassi.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Guerre commerciale: Pékin dénonce les pays jouant l'"apaisement"
La Chine a dénoncé lundi les pays qui pratiquent l'"apaisement" à l'égard des Etats-Unis dans les négociations commerciales sur les droits de douane américains. Elle a averti qu'elle "s'oppose fermement" à tout accord nuisant à ses intérêts.
"L'apaisement n'apportera pas la paix et le compromis ne sera pas respecté", a estimé dans un communiqué un porte-parole du ministère chinois du commerce chinois.
Pékin "s'oppose fermement à ce que toute partie parvienne à un accord au détriment des intérêts de la Chine", a-t-il ajouté. "Si une telle situation se produit, la Chine ne l'acceptera jamais et prendra résolument des contre-mesures réciproques".
Le président américain Donald Trump a imposé des droits de douane allant jusqu'à 145% sur un grand nombre de produits importés de Chine, ce qui porte le total des taxes jusqu'à 245% dans certains cas, par exemple pour les véhicules électriques. Pékin a répliqué par sa propre taxe de 125% sur les produits américains.
"Intérêts égoïstes"
Les partenaires commerciaux des Etats-Unis sont frappés par une surtaxe plancher de 10%, alors que l'entrée en vigueur de droits de douane bien plus élevés a été suspendue par M. Trump le 9 avril pour 90 jours, pour la plupart des pays concernés. Nombre de ces derniers ont engagé des discussions avec Washington.
"Chercher ses propres intérêts égoïstes temporaires au détriment des intérêts des autres [...] échouera en fin de compte des deux côtés et nuira aux autres", a averti le ministère du commerce chinois dans son communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Autre faille de sécurité pour le ministre américain de la défense
Le secrétaire américain à la défense Pete Hegseth, mis en cause dans une faille de sécurité le mois dernier, a aussi partagé des informations sur une frappe au Yémen sur un autre groupe Signal, selon le New York Times. Il fait l'objet d'une enquête interne.
Cet ancien présentateur de la chaîne Fox News avait partagé le 15 mars des informations sensibles sur la messagerie Signal, dans une conversation à laquelle participait un journaliste, apparemment invité par erreur.
Selon le New York Times, M. Hegseth a en outre participé le même jour à une conversation sur un autre groupe Signal, à laquelle assistait son épouse, son frère, son avocat, "ainsi qu'une dizaine de personnes de son entourage personnel et professionnel".
Le grand quotidien new-yorkais, qui cite "quatre personnes au courant de cette conversation", précise que le secrétaire à la défense a diffusé à cette occasion les horaires précis des vols des appareils qui devaient aller frapper des cibles rebelles houthis au Yémen, "essentiellement les mêmes plans d'attaque que ceux qu'il avait partagés le même jour sur un autre groupe Signal".
Avertissement du Pentagone
Le journal précise que l'épouse du ministre, journaliste et également ancienne salariée de Fox News, n'est pas employée par le Pentagone, alors que le frère et l'avocat de M. Hegseth y occupent des postes. "Mais on ne voit pas pourquoi l'un ou l'autre aurait eu besoin d'être au courant de frappes imminentes contre les Houthis au Yémen", écrit le NYT.
Selon le quotidien, des fonctionnaires du Pentagone avaient averti le ministre quelques jours plus tôt qu'il ne devait pas discuter d'informations concernant des frappes au Yémen sur Signal, une messagerie cryptée mais considérée comme moins sûre que les canaux officiels utilisés habituellement pour les données sensibles.
Un haut responsable du Pentagone, cité par le NYT, a assuré qu'il n'y avait pas eu de brèche dans la sécurité nationale.
Lors du premier "Signalgate", le président américain Donald Trump avait défendu ses ministres impliqués dans la conversation avec le journaliste Jeffrey Goldberg, du magazine The Atlantic. Mike Waltz, son conseiller à la sécurité nationale, en avait endossé la "responsabilité" en expliquant avoir créé le groupe sur Signal.
Selon le NYT, l'autre groupe a en revanche été créé par M. Hegseth en personne.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Immigration: entre Trump et les juges, le bras de fer s'accentue
Des "juges faibles": le président américain Donald Trump a encore fustigé dimanche les magistrats se dressant contre le renvoi des migrants. Samedi, la cour suprême a suspendu les expulsions d'immigrés vénézuéliens au Salvador en vertu d'une loi d'exception.
Dans un long message de Pâques sur son réseau social Truth Social, le milliardaire républicain a étrillé les "tarés de la gauche radicale" se battant pour "ramener dans notre pays des meurtriers, des barons de la drogue, des prisonniers dangereux, des aliénés mentaux et des membres bien connus du gang Ms-13".
Il s'en est aussi pris aux "juges faibles et inefficaces" permettant "à cette sinistre attaque contre notre nation de se poursuivre".
La veille, la plus haute instance juridique du pays avait pris de court son gouvernement en annonçant la suspension jusqu'à nouvel ordre des expulsions d'immigrés vénézuéliens vers le Salvador, réalisées en vertu d'une loi n'ayant été utilisée qu'en temps de guerre.
Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une "invasion" du pays par des "criminels venus de l'étranger", et mettant en scène des expulsions.
"Crise constitutionnelle"
Washington a ainsi expulsé depuis la mi-mars plus de 250 immigrés vers le Salvador, dont une grande partie, des Vénézuéliens, l'ont été en vertu d'une loi d'exception sur "les ennemis étrangers" datant de 1798.
Ces expulsions sont vivement contestées par les avocats de plusieurs d'entre eux, qui assurent qu'ils n'appartiennent à aucun gang criminel, n'ont commis aucun crime et ont été ciblés principalement en raison de leurs tatouages.
"Nous nous rapprochons de plus en plus d'une crise constitutionnelle", a alerté dimanche Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota sur CNN.
Plusieurs magistrats ont tenté ces dernières semaines de freiner le gouvernement dans sa politique d'expulsions massives, s'attirant les foudres de l'exécutif.
Dans un cas distinct devenu emblématique, le gouvernement Trump a été sommé par la justice de "faciliter" le retour de Kilmar Abrego Garcia, un immigré salvadorien expulsé à tort et désormais emprisonné au Salvador.
Bien qu'il ait reconnu une "erreur administrative", le gouvernement se montre inflexible et assure que ce père de famille marié à une Américaine et qu'il accuse sans apporter de preuve d'être un gangster, "ne reviendra pas" dans le pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Arbitre touché par un projectile, ASSE - OL interrompu 45 minutes
Un juge de touche a été heurté à la tête par un objet jeté depuis une tribune lors du derby entre St-Etienne et Lyon, interrompu 45 minutes dimanche. Un nouvel incident visant le corps arbitral en L1.
Cet incident intervient dans un contexte de tension qui a vu les arbitres mis sous pression cette saison: Jérémy Stinat a été violemment mis en cause en février par le dirigeant marseillais Pablo Longoria avant d'être menacé après Auxerre-OM; en mars, Benoît Millot avait lui été violemment pris à partie par l'entraîneur de Lyon Paulo Fonseca, venu contester une décision tête contre tête, une image qui avait choqué.
Il intervient également au moment où deux clubs de supporters de Saint-Etienne, en lutte pour son maintien en Ligue 1, ont été sous la menace de dissolution par les autorités.
Dimanche, juste avant la mi-temps et alors que Saint-Etienne menait 1-0 dans ce match crucial pour son avenir dans l'élite, au moment où les Lyonnais s'apprêtaient à jouer une touche, l'arbitre assistant Mehdi Rahmouni s'est subitement pris la tête entre les mains.
Selon les images du diffuseur DAZN, l'arbitre central François Letexier a immédiatement fait rentrer les équipes au vestiaire sans siffler la mi-temps.
Pas de supporters lyonnais
Les supporters lyonnais n'avaient pas été autorisés à effectuer le court déplacement jusqu'à Saint-Etienne pour ce derby toujours très houleux et souvent émaillé d'incidents.
Après trois-quarts d'heure d'interruption, un délégué de la Ligue de football professionnel, Noël Mannino, a annoncé la reprise du match, l'arbitre touché ayant donné son accord. "Un médecin l'a surveillé, il n'est pas blessé, il a pris un doliprane. Après quelques minutes de repos, il a décidé de reprendre la partie", a-t-il ajouté.
Le match a donc repris quelques minutes à 22h15 avant que la mi-temps ne soit sifflée.
Avant le match, d'importants craquages de fumigènes avaient été constatés dans les deux kops stéphanois dont les tribunes sont sous le coup d'un sursis en raison justement "d'usages massifs d'engins pyrotechniques ou expression orales".
Toutefois, le projectile ayant atteint le juge de touche provient d'une tribune latérale.
"Les opérations d'identification de l'auteur du jet de projectile ont commencé dans la minute qui a suivi l'incident", a déclaré dimanche soir une source proche du club stéphanois.
Cet incident intervient quelques jours après que la Fédération française de football a annoncé un partenariat avec le ministère de l'Intérieur afin de mieux protéger les arbitres amateurs et professionnels, de plus en plus menacés sur et en dehors des terrains.
Philippe Diallo, président de la FFF, a notamment demandé au patron de l'arbitrage français Antony Gautier de réfléchir à des sanctions et des poursuites judiciaires renforcées pour les agresseurs ou encore le test de caméras embarquées.
Supporters sous surveillance
A la suite des propos de Longoria en février, les arbitres d'élite du football français avaient menacé par l'intermédiaire de leur syndicat d'exercer "leur droit de retrait".
L'Intérieur, qui dénonce une "explosion de la violence" parmi les ultras, examine depuis plusieurs semaines la situation des clubs de supporteurs stephanois des Magic Fans et des Green Angels, fondés respectivement en 1991 et 1992 et qui gèrent plus de 15'000 membres des kops sud et nord.
Au moment de l'interruption, le score était de 1-0 après un but inscrit à la 10e minute par le Belge Lucas Stassin, qui a peu après commis une grosse faute sur le milieu lyonnais Corentin Tolisso sorti sur blessure (avant d'inscrire un doublé en deuxième période). François Letexier a d'abord infligé un carton rouge à Stassin avant de l'annuler après avoir regardé les images du VAR.
Un changement de pied qui a suscité la colère du propriétaire de Lyon, l'Américain John Textor sur le réseau X/Twitter: "L'arbitre donne un carton rouge direct, normal... La VAR pense le contraire... L'arbitre change d'avis... Et l'un des cartons rouges les plus évidents est annulé... Dingue."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
ClimatIl y a 2 jours
L'axe du Grand St-Bernard fermé à cause d'une avalanche
-
InternationalIl y a 3 jours
Ukraine: Trump menace de passer "bientôt" à autre chose sans accord
-
SuisseIl y a 2 jours
Drogue: la vague de violences n'épargnera pas la Suisse (police)
-
GenèveIl y a 3 jours
Disparition de Christiane Brunner
-
SuisseIl y a 3 jours
Jusqu'à 15 kilomètres de bouchons devant le portail nord du Gothard
-
LausanneIl y a 3 jours
Prospection géophysique à Lausanne: 750 géophones ont disparu
-
CoronavirusIl y a 2 jours
Covid-19: la fuite de laboratoire privilégiée par la Maison-Blanche
-
HockeyIl y a 3 jours
Des défaites sans conséquence pour les Suisses