Suisse
Le directeur de Swisscom s'excuse
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Le directeur de Swisscom Urs Schaeppi s'excuse auprès des pompiers et de toutes les personnes concernées par la panne des numéros d'urgence de vendredi dernier. Il assure dans la Neue Zürcher Zeitung que tout sera fait pour éviter de tels incidents à l'avenir.
Interrogé dans l'édition de mercredi du quotidien zurichois, M. Schaeppi affirme que les nombreuses mesures prises par Swisscom après la série de pannes de l'année dernière ont eu un vrai impact. "Swisscom effectue 4000 opérations de maintenance du réseau par semaine", ajoute-t-il également. "Bien que la stabilité du réseau soit une priorité absolue, des pannes peuvent toujours survenir."
A la question de connaître la cause exacte de la panne des numéros d'urgence vendredi, M. Schaeppi répond que Swisscom a assuré la maintenance d'un composant du réseau d'une plateforme de téléphonie destinée aux clients professionnels. Une mise à jour du logiciel a entraîné un dysfonctionnement et déclenché un effet domino.
Swisscom a aussi dû impliquer le fournisseur du composant réseau, ce qui explique selon lui la longueur de la panne. Le système d'appel d'urgence a fini par fonctionner à nouveau, mais comme les centres d'appels d'urgence sont également des clients professionnels du réseau fixe, ils ont eux aussi été touchés.
Simplification défendue
Dans une interview au Temps, Christophe Aeschlimann, responsable des réseaux au sein de Swisscom et membre de la direction, s'excuse lui aussi tout en pointant la complexité du système. "Nous travaillons avec des dizaines de centrales d'alarme différentes en Suisse, chacune avec des procédures différentes", dit-il. "Coordonner tout cela dans un pays très attaché au fédéralisme n'est pas simple."
Quant à simplifier le système, ce n'est pas le rôle de l'opérateur: "Nous sommes un prestataire télécom choisi par ces centrales d'alarme pour acheminer les appels et nous remplissons notre contrat", note M. Aeschlimann.
"Mais il est clair que nous appelons de nos vœux une simplification du système et une attribution claire des responsabilités afin de le rendre plus robuste", poursuit-il. "Car il n'y a pas aujourd'hui de supervision globale du système par l'Etat."
Parmi les meilleurs
Le directeur de Swisscom Urs Schaeppi ne pense pas que les programmes d'économies aient eu des répercussions négatives sur la qualité du réseau. "Swisscom investit chaque année environ 20% de son chiffre d'affaires dans les infrastructures", fait-il remarquer. "Rien qu'en Suisse, cela représente 1,6 milliard de francs."
Selon M. Schaeppi, le réseau Swisscom figure parmi les meilleurs du monde. "Nous avons toutefois besoin d'un modèle de référence aux niveaux technologique et organisationnel pour rendre ces systèmes de numéros d'urgence plus robustes", souligne-t-il encore.
Suisse
La loi sur l'approvisionnement en gaz a toujours du mal à passer
Le projet de loi sur l'approvisionnement en gaz révisé par le Conseil fédéral est largement rejeté. Parmi les cinq plus grands partis de Suisse, seul le Centre le soutient.
Selon le Conseil fédéral, les objectifs du projet sont une sécurité accrue de l'approvisionnement grâce aux gaz renouvelables et une ouverture partielle du marché avec des règles claires pour les ménages et les gros clients.
Pour le PS et les Vert-e-s, le projet de loi réglemente un "modèle de fin de vie pour l'énergie fossile" au lieu d'encourager le passage aux gaz renouvelables comme le biogaz ou l'hydrogène. Pour eux, le gaz naturel fossile doit disparaître de l'approvisionnement énergétique. Les deux partis ne veulent en outre pas d'une libéralisation globale du marché du gaz.
Pour le PLR et l'UDC, la réglementation prévue va trop loin dans le contexte d'un marché en déclin. Au lieu d'une "politique réglementaire allégée visant à éliminer des incertitudes juridiques ponctuelles", le projet "met en place une nouvelle architecture de marché et de surveillance", ce qui représente une charge supplémentaire pour les clients finaux, écrit l'UDC. Les libéraux-radicaux proposent eux des accords sectoriels au lieu d'une loi.
Seul le Centre soutient le projet. Ce parti estime que le statu quo actuel en matière d'approvisionnement en gaz est "inacceptable".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
En Valais, un élan solidaire qui rayonne pendant les Fêtes
Repas de Noël, collectes de produits et récoltes de dons: en période de Fêtes, la solidarité s'organise et s'intensifie. En Valais aussi, associations et bénévoles tendent la main aux personnes seules, fragilisées ou démunies. Mais les besoins sont là toute l'année.
Sur les quatre collectes annuelles de produits et de denrées alimentaires organisées par Les Restos du Coeur de Sion, celle de Noël est la plus fructueuse. "Les gens sont encore plus enclins à donner à cette période", explique à Keystone-ATS Magali Charlet, présidente de l'association sédunoise.
"Peut-être qu'ils dépensent pour les cadeaux et trouvent normal de donner un peu aux plus démunis, ou simplement, c'est une période de Fêtes qui encourage à penser à ceux qui ont moins de moyens", estime la directrice de la Croix-Rouge Valais, Isabelle Darbellay Métrailler. En cette période où la générosité est sans pareille, la récolte de fonds est essentielle.
Entre actions et récoltes de dons
L'association au logo rouge et blanc tient ainsi un stand d'emballage cadeaux à Sierre pendant dix jours jusqu'au 24 décembre. L'opération nationale "2 x Noël" vise, quant à elle, à collecter des denrées non-périssables et des produits d'hygiène corporelle pour les personnes touchées par la pauvreté. On estime que 6,4% de la population du canton, soit 19'500 personnes, comptent parmi celles-ci.
Les Restos du Coeur de Sion ne s'arrêtent pas non plus à leur collecte de dons matériels à la sortie des supermarchés. L'envoi de 55'000 flyers tout-ménages, début décembre, fait partie intégrante des différentes actions.
"Un franc investi de notre côté nous permet de récolter 7 francs de dons", se réjouit Magali Charlet. Cela représente près de la moitié des dons reçus à l'année.
Davantage de bénévoles à Noël
Mais l'engagement de la population va au-delà du soutien matériel et financier. Beaucoup profitent des instants festifs pour dédier de leur temps aux différentes actions qui s'organisent dans le canton.
Qu'est-ce qui anime les gens à s'engager? "A Noël, les gens sont très sensibles au fait que certaines personnes peuvent être seules les soirs de réveillon, avance Magali Charlet. Il y a aussi peut-être encore une valeur chrétienne" qui se glisse dans les initiatives.
En guise d'exemple, l'association Les Repas du Coeur de Martigny prévoit depuis 2021 un souper annuel le 24 décembre, reprenant une tradition ancrée dans la ville depuis près de vingt ans. L'année dernière, l'événement a accueilli près de 400 personnes, un chiffre qui augmente d'année en année, et qui comprend autant les bénévoles que les bénéficiaires.
Valeurs liées au partage
"On compte tout le monde ensemble, on n'aime pas faire de différence", souligne Jade Andrey, co-présidente de l'organisation qui rappelle aussi que, parfois, "les personnes qui s'engagent sont elles-mêmes des personnes seules ou dans le besoin, qui ont envie d'aider." Les bénévoles seront près de 85 cette année et s'attèleront en cuisine, au service du repas ou encore en tenant des ateliers pour les enfants.
"Ce qui nous tient à coeur, c'est l'idée du partage et de la solidarité de Noël, que les gens viennent sans être jugés et que l'humain soit remis au centre." La Valaisanne note d'ailleurs que les gens ont tendance à venir en famille, pour transmettre les valeurs du partage aux enfants, ou simplement pour vivre une fête moins traditionnelle.
Les Restos du Coeur de Sion ont, eux aussi, organisé un repas de Noël le 19 décembre, qui a convié plus de 80 bénéficiaires et bénévoles. Etre en contact avec les personnes aidées est essentiel, relate la présidente de l'association. "Cela permet que les actions trouvent leur sens, et que les bénévoles gardent leur motivation", poursuit Magali Charlet.
Le défi, l'engagement à long terme
Cet engouement est essentiel, notamment pour s'engager pendant plus longtemps. "Ce qui est difficile, c'est de trouver des gens disponibles régulièrement sur une longue période", regrette la directrice de la Croix-Rouge Valais. "Pour les visites aux personnes âgées par exemple, c’est souvent toutes les semaines, ce qui est assez astreignant. Mais du trop ponctuel n’aurait pas de sens, car la relation est très importante."
Les deux types d'engagement restent essentiels, s'accordent Isabelle Darbellay Métrailler et Magali Charlet. "Le bénévolat, ce n'est plus comme il y a dix ans. On n'a pas rendez-vous tous les mardis. Ça peut être très ponctuel, et ça nous aide tout autant", relève la seconde. Et les événements des Fêtes s'insèrent volontiers dans cette veine-là, en offrant un "moment hors du temps, l'espace d'une soirée", raconte Jade Andrey.
Il n'en reste que chacun peut espérer trouver à tout moment de l'année une activité "hyper gratifiante" - pour reprendre les mots de la présidente des Restos du Coeur de Sion Magali Charlet. Un moment tel qu'une collecte "booste et permet de se réconcilier avec l'humanité."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Lausanne sur sa lancée européenne?
Le LS reçoit Lucerne lors de la 19e journée de Super League dimanche. Les Vaudois doivent surfer sur leur qualification en Conference League pour distancer le club de Suisse centrale.
Auréolés de leur victoire de prestige sur la Fiorentina jeudi soir, les Lausannois doivent profiter de l'euphorie pour dominer des Lucernois qui couchent sur quatre défaites de rang. L'attaque de la troupe de Mario Frick semble en berne en ce moment. Le LS reste lui sur deux nuls 0-0 en championnat. Et les hommes de Peter Zeidler, 8es, ne comptent que trois points de marge sur leur adversaire. Une victoire leur donnerait un peu d'air.
En visite à GC, St-Gall va tenter de se rapprocher de Thoune, mais les Zurichois ont infligé un 6-2 à YB dernièrement. Des Bernois qui se déplacent eux à Lugano avec la ferme intention de remettre les pendules à l'heure face à ses Tessinois invaincus depuis quatre matches.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Roche veut une augmentation du prix des médicaments
Le CEO de Roche, Thomas Schinecker, fait pression dans une interview pour que le prix des nouveaux médicaments en Suisse soit revu à la hausse. Le patron du groupe pharmaceutique montre les conséquences que cela aurait si la Suisse n'augmente pas les prix.
"Refuser une rémunération adéquate (...) mettrait automatiquement en péril le lancement de nouveaux traitements", déclare M. Schinecker dans une interview publiée dimanche dans la SonntagsZeitung et le Matin Dimanche.
"La Suisse est le pays qui a le plus à gagner et le plus à perdre", a déclaré le patron de Roche. Rien que les recettes fiscales de la branche pharmaceutique sont supérieures à ce que l'on dépense en Suisse pour des médicaments innovants", ajoute-t-il. Les recettes fiscales de la branche pharmaceutique sont à elles seules supérieures à ce que l'on dépense en Suisse pour des médicaments innovants.
Si la Suisse ne suit pas le système de référence des Etats-Unis et n'augmente pas en conséquence les prix des nouveaux médicaments, "Roche réaliserait moins de chiffre d’affaires, investirait moins dans la recherche de pointe, verserait moins d’impôts et créerait moins d’emplois en Suisse", dit-il aux journaux.
La Suisse est un pays de référence pour les prix des médicaments américains. L'administration américaine s'attend à ce que des pays comme la Suisse contribuent plus équitablement au financement de l'innovation et du progrès médical, explique M. Schinecker. La contribution est liée à la puissance économique.
Les calculs des Américains
Le CEO de Roche explique: "Si le PIB par habitant d’un pays est inférieur de 50% à celui des États-Unis, le gouvernement américain considérera qu’un prix équivalent à la moitié du prix américain peut être considéré comme comparable. En revanche, si le PIB dépasse celui des États-Unis, on s’attendra à ce que les prix y soient proportionnellement plus élevés, en fonction de la richesse et du niveau de vie."
Augmentation progressive des prix
Les thérapies qui sont déjà sur le marché ne seront pas plus chères, selon le patron de Roche. Les pays de référence "contribueront de manière comparable aux investissements nécessaires pour développer une nouvelle thérapie". M. Schinecker s'attend à ce que les prix de ces nouvelles thérapies changent progressivement au cours des prochaines années.
Il s'attend en outre à ce que les prix des médicaments fassent partie des négociations douanières de la Suisse avec les Etats-Unis.
Pas de hausse des primes
La ministre de la Santé, Elisabeth Baume-Schneider, s'était montrée ouverte à des discussions autour d'un nouveau modèle de prix dans l'émission "Samstagsrundschau" de la SRF. "Un nouveau modèle de prix ne signifie toutefois pas que tous les prix vont augmenter", a déclaré la cheffe du Département fédéral de l'intérieur dans cette émission diffusée mi-novembre. Elle y a également déclaré que les Suisses ne devraient pas payer une baisse des prix des médicaments aux Etats-Unis par une augmentation des primes d'assurance maladie.
Il y a quelques jours, neuf groupes pharmaceutiques, dont Genentech, filiale de Roche, et Novartis, se sont mis d'accord avec le gouvernement américain sur une baisse des prix des médicaments aux Etats-Unis. En échange d'une baisse des prix des médicaments et d'investissements aux Etats-Unis, ils seront exemptés de droits de douane pendant trois ans.
Dans l'interview, M. Schinecker s'est défendu de l'idée que les prix des nouveaux médicaments sont responsables de l'augmentation des primes d'assurance maladie. "Les nouveaux médicaments innovants ne sont pas responsables de la hausse des primes en Suisse. Chaque habitant dépense en moyenne 37 francs par mois pour ces traitements". La Suisse ne résoudrait pas les problèmes des coûts de la santé même si elle ne payait plus rien pour de tels médicaments, soutient-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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