International
Un homme poignarde des passants dans le Sud de Londres
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La police a abattu dimanche un homme qui a poignardé plusieurs personnes dans une rue de Streatham, dans le sud de Londres. L'acte est qualifié de "terroriste" par les autorités. L'assaillant est décédé, a confirmé la police. Deux personnes ont été blessées.
Cette attaque intervient un peu plus de deux mois après une attaque au couteau qui a fait deux morts à London Bridge, en plein centre de la capitale britannique, et qui a conduit le gouvernement conservateur de Boris Johnson à annoncer un durcissement de la législation antiterroriste.
Dimanche, les faits ont eu lieu vers 14h00 heures locale (15h00 en Suisse) dans le quartier d'habitation de Streatham. Après avoir déclaré que des agents armés avaient tiré sur un homme ayant "poignardé plusieurs personnes", la police a fait savoir que deux personnes avaient été blessées.
Attaque "contenue"
"Nous attendons des nouvelles quant à leur état", a précisé la Metropolitan police sur Twitter, assurant que l'attaque avait été "contenue". "Nous pouvons confirmer que l'homme sur lequel la police a tiré a été déclaré mort", a-t-elle poursuivi.
"Les circonstances sont en train d'être étudiées, l'incident a été qualifié de terroriste", a ajouté la police. Sur Twitter, le Premier ministre Boris Johnson a remercié les services de secours, ajoutant que ses pensées allaient aux "blessés et à tous ceux qui ont été affectés".
Le maire de Londres Sadiq Khan a réagi en disant : "Les terroristes cherchent à nous diviser et à détruire notre mode de vie. A Londres, nous ne les laisserons jamais y parvenir".
"Machette" et coups de feu
Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des policiers armés entourant un homme étendu sur le sol sur Streatham High Road. Les forces de l'ordre reculent ensuite brusquement et demandent aux témoins de la scène de faire de même, au moment où d'autres véhicules d'urgence arrivent sur les lieux.
Un témoin a raconté à l'agence de presse PA avoir vu un homme portant une machette pourchassé par un homme en civil : "Il s'est fait tirer dessus. Je pense avoir entendu trois coups de feu", a dit Gulled Bulhan, un étudiant de 19 ans.
Pas une première
Londres a été le théâtre de plusieurs attentats terroristes ces dernières années. Fin novembre, une attaque au couteau avait fait deux morts à London Bridge, un pont du centre de la capitale britannique, avant que l'assaillant ne soit abattu par la police.
L'auteur de l'attaque revendiquée par l'organisation jihadiste Etat islamique (EI), Usman Khan, 28 ans, était un ancien détenu pour des faits de terrorisme libéré à mi-peine. Il participait sur les lieux des fait à un programme de réhabilitation pour anciens détenus.
Depuis, le gouvernement de Boris Johnson a annoncé des mesures aggravant les peines pour les auteurs d'actes terroristes et interdisant leur libération anticipée. Dans le projet, qui doit être étudié au Parlement, il est prévu que ceux qui sont condamnés pour des actes considérés comme terroristes soient emprisonnés pour au moins 14 ans.
Budget en hausse
En outre, le budget alloué à la lutte antiterroriste doit être nettement augmenté pour la période 2020/2021 et une aide immédiate de 500'000 livres supplémentaires doit être débloquée pour l'unité chargée d'aider les victimes d'attentats.
La famille d'une des deux personnes tuées en novembre, un jeune homme, avait déclaré que celui-ci, qui travaillait dans la réhabilitation des prisonniers, "ne voudrait pas que cet événement terrible et isolé soit utilisé comme prétexte par le gouvernement pour introduire des peines encore plus draconiennes ou pour maintenir en prison des gens plus longtemps que nécessaire".
International
Immigration: entre Trump et les juges, le bras de fer s'accentue
Des "juges faibles": le président américain Donald Trump a encore fustigé dimanche les magistrats se dressant contre le renvoi des migrants. Samedi, la cour suprême a suspendu les expulsions d'immigrés vénézuéliens au Salvador en vertu d'une loi d'exception.
Dans un long message de Pâques sur son réseau social Truth Social, le milliardaire républicain a étrillé les "tarés de la gauche radicale" se battant pour "ramener dans notre pays des meurtriers, des barons de la drogue, des prisonniers dangereux, des aliénés mentaux et des membres bien connus du gang Ms-13".
Il s'en est aussi pris aux "juges faibles et inefficaces" permettant "à cette sinistre attaque contre notre nation de se poursuivre".
La veille, la plus haute instance juridique du pays avait pris de court son gouvernement en annonçant la suspension jusqu'à nouvel ordre des expulsions d'immigrés vénézuéliens vers le Salvador, réalisées en vertu d'une loi n'ayant été utilisée qu'en temps de guerre.
Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a érigé la lutte contre l'immigration clandestine en priorité absolue, évoquant une "invasion" du pays par des "criminels venus de l'étranger", et mettant en scène des expulsions.
"Crise constitutionnelle"
Washington a ainsi expulsé depuis la mi-mars plus de 250 immigrés vers le Salvador, dont une grande partie, des Vénézuéliens, l'ont été en vertu d'une loi d'exception sur "les ennemis étrangers" datant de 1798.
Ces expulsions sont vivement contestées par les avocats de plusieurs d'entre eux, qui assurent qu'ils n'appartiennent à aucun gang criminel, n'ont commis aucun crime et ont été ciblés principalement en raison de leurs tatouages.
"Nous nous rapprochons de plus en plus d'une crise constitutionnelle", a alerté dimanche Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota sur CNN.
Plusieurs magistrats ont tenté ces dernières semaines de freiner le gouvernement dans sa politique d'expulsions massives, s'attirant les foudres de l'exécutif.
Dans un cas distinct devenu emblématique, le gouvernement Trump a été sommé par la justice de "faciliter" le retour de Kilmar Abrego Garcia, un immigré salvadorien expulsé à tort et désormais emprisonné au Salvador.
Bien qu'il ait reconnu une "erreur administrative", le gouvernement se montre inflexible et assure que ce père de famille marié à une Américaine et qu'il accuse sans apporter de preuve d'être un gangster, "ne reviendra pas" dans le pays.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Arbitre touché par un projectile, ASSE - OL interrompu 45 minutes
Un juge de touche a été heurté à la tête par un objet jeté depuis une tribune lors du derby entre St-Etienne et Lyon, interrompu 45 minutes dimanche. Un nouvel incident visant le corps arbitral en L1.
Cet incident intervient dans un contexte de tension qui a vu les arbitres mis sous pression cette saison: Jérémy Stinat a été violemment mis en cause en février par le dirigeant marseillais Pablo Longoria avant d'être menacé après Auxerre-OM; en mars, Benoît Millot avait lui été violemment pris à partie par l'entraîneur de Lyon Paulo Fonseca, venu contester une décision tête contre tête, une image qui avait choqué.
Il intervient également au moment où deux clubs de supporters de Saint-Etienne, en lutte pour son maintien en Ligue 1, ont été sous la menace de dissolution par les autorités.
Dimanche, juste avant la mi-temps et alors que Saint-Etienne menait 1-0 dans ce match crucial pour son avenir dans l'élite, au moment où les Lyonnais s'apprêtaient à jouer une touche, l'arbitre assistant Mehdi Rahmouni s'est subitement pris la tête entre les mains.
Selon les images du diffuseur DAZN, l'arbitre central François Letexier a immédiatement fait rentrer les équipes au vestiaire sans siffler la mi-temps.
Pas de supporters lyonnais
Les supporters lyonnais n'avaient pas été autorisés à effectuer le court déplacement jusqu'à Saint-Etienne pour ce derby toujours très houleux et souvent émaillé d'incidents.
Après trois-quarts d'heure d'interruption, un délégué de la Ligue de football professionnel, Noël Mannino, a annoncé la reprise du match, l'arbitre touché ayant donné son accord. "Un médecin l'a surveillé, il n'est pas blessé, il a pris un doliprane. Après quelques minutes de repos, il a décidé de reprendre la partie", a-t-il ajouté.
Le match a donc repris quelques minutes à 22h15 avant que la mi-temps ne soit sifflée.
Avant le match, d'importants craquages de fumigènes avaient été constatés dans les deux kops stéphanois dont les tribunes sont sous le coup d'un sursis en raison justement "d'usages massifs d'engins pyrotechniques ou expression orales".
Toutefois, le projectile ayant atteint le juge de touche provient d'une tribune latérale.
"Les opérations d'identification de l'auteur du jet de projectile ont commencé dans la minute qui a suivi l'incident", a déclaré dimanche soir une source proche du club stéphanois.
Cet incident intervient quelques jours après que la Fédération française de football a annoncé un partenariat avec le ministère de l'Intérieur afin de mieux protéger les arbitres amateurs et professionnels, de plus en plus menacés sur et en dehors des terrains.
Philippe Diallo, président de la FFF, a notamment demandé au patron de l'arbitrage français Antony Gautier de réfléchir à des sanctions et des poursuites judiciaires renforcées pour les agresseurs ou encore le test de caméras embarquées.
Supporters sous surveillance
A la suite des propos de Longoria en février, les arbitres d'élite du football français avaient menacé par l'intermédiaire de leur syndicat d'exercer "leur droit de retrait".
L'Intérieur, qui dénonce une "explosion de la violence" parmi les ultras, examine depuis plusieurs semaines la situation des clubs de supporteurs stephanois des Magic Fans et des Green Angels, fondés respectivement en 1991 et 1992 et qui gèrent plus de 15'000 membres des kops sud et nord.
Au moment de l'interruption, le score était de 1-0 après un but inscrit à la 10e minute par le Belge Lucas Stassin, qui a peu après commis une grosse faute sur le milieu lyonnais Corentin Tolisso sorti sur blessure (avant d'inscrire un doublé en deuxième période). François Letexier a d'abord infligé un carton rouge à Stassin avant de l'annuler après avoir regardé les images du VAR.
Un changement de pied qui a suscité la colère du propriétaire de Lyon, l'Américain John Textor sur le réseau X/Twitter: "L'arbitre donne un carton rouge direct, normal... La VAR pense le contraire... L'arbitre change d'avis... Et l'un des cartons rouges les plus évidents est annulé... Dingue."
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Bologne se paie l'Inter dans les arrêts de jeu
L'Inter a fait une mauvaise opération à Bologne. Les Nerazzurri ont été battus 1-0 dans les arrêts de jeu sur un fantastique but d'Orsolini.
Avec Freuler, Aebischer et Ndoye titulaires, Bologne peut toujours rêver d'une deuxième participation de suite à la Ligue des Champions. Et ce grâce à un ciseau de Riccardo Orsolini à la 94e que Yann Sommer n'a pu qu'apprécier.
Entré à la 70e, le Transalpin a réalisé un geste de grande classe pour offrir les trois points à son équipe. Ce succès permet à Bologne de passer à la 4e place avec un point d'avance sur la Juventus mais avec un match en plus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Fin de série pour le no 2 mondial
Carlos Alcaraz n’a pas gagné un dixième match de rang. Le récent vainqueur du Masters 1000 de Monte-Carlo a buté sur la dernière marche à l'ATP 500 de Barcelone.
Le no 2 mondial s’est incliné 7-6 (8/6) 6-2 devant Holger Rune (ATP 13). Diminué par une douleur à la cuisse droite, il a très vite lâché prise après la perte du premier set. Il a désormais cinq jours devant lui pour retrouver l’intégralité de ses moyens avant d’engager le fer au Masters 1000 de Madrid.
Malade la semaine dernière à Monaco, Holger Rune a, pour sa part, cueilli à Barcelone le cinquième titre de sa carrière. Le Danois n’avait plus remporté de tournoi depuis sa victoire en 2023 à Munich.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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