Genève
Une majorité de Genevois souhaite la démission de Pierre Maudet
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Plus de 62% des Genevois seraient "plutôt favorables" au départ du conseiller d’Etat genevois Pierre Maudet. C'est ce que révèle lundi un sondage commandé par la RTS, Le Temps et Radio Lac.
Les Genevois, à 62,4%, sont "plutôt favorables" à une démission de Pierre Maudet, selon ce sondage réalisé du 29 janvier au 5 février par l’institut M.I.S Trend auprès de 1032 citoyens genevois, âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population. Ils sont 26,1% "plutôt pas favorables" à un départ, et 11,5% indécis, lit-on sur le site de la RTS.
Ce souhait de voir le conseiller d’Etat partir est partagé par les sondés qui ont voté pour Pierre Maudet lors des dernières élections cantonales, en avril 2018, avec 61,5% d'avis "plutôt favorables" à une démission contre 33,2% "plutôt pas favorables". Les Genevois qui votent PLR, le parti de Pierre Maudet, sont eux aussi majoritairement favorables à une démission (64,6%).
Les sondés estimant que Pierre Maudet doit démissionner donnent plusieurs raisons. Pour eux, il doit partir parce qu’"il a menti à la population". C’est l’explication qui est le plus souvent donnée. Certains répondent qu’"il n’a pas montré l’exemple". D’autres souhaitent son départ "par respect pour la population et pour les gens qui l’ont élu".
Les 26,1% de Genevois qui ne souhaitent pas le départ de Pierre Maudet avancent notamment qu’"il y a un acharnement des médias à son encontre". Ils disent encore que l’élu "est un excellent politique malgré tout", mais aussi qu’il bénéficie "de la présomption d’innocence".
Image détériorée
Il ressort du sondage que l’affaire Maudet, dont 94% des sondés ont entendu parler, a détérioré l’image que les Genevois avaient des politiciens genevois en général. Pour plus de 68% des sondés, cette image a été "plutôt détériorée" ou "vraiment beaucoup détériorée". Une majorité (65%) estime que cette affaire a aussi détérioré l’image du PLR dans son ensemble.
Plus de 55% des Genevois estiment que le Conseil d’Etat, dans son ensemble, a eu une gestion "très mauvaise" ou "plutôt mauvaise" de l’affaire ces six derniers mois. Ils sont un peu plus de 25% à avoir un avis différent en parlant d’une gestion "plutôt bonne" ou "très bonne".
Dans une déclaration publiée par la RTS, Pierre Maudet dit prendre acte des résultats de ce sondage, "dont l'approche scientifique trahit une démarche qui ne l'est pas".
Selon lui, "il s'agit au fond plus d'une information orientée que d'une vérité absolue, compte tenu des nombreux biais (influence dans la formulation et orientation dans l'enchaînement des questions, consultation effectuée avant une décision judiciaire, etc.) de ce type d'exercice".
KEYSTONE-ATS
Genève
La patinoire du Trèfle-Blanc coûtera près de 300 millions
A Genève, les coûts de réalisation de la patinoire du Trèfle-Blanc et les dépenses liées à l'aménagement des alentours de l'enceinte sportive ont été revus à la hausse. L'investissement total est estimé à 293 millions de francs.
Rien qu'en raison de la guerre en Ukraine, les prix des matériaux de construction ont augmenté de 16%, a souligné mercredi, devant les médias, le conseiller d'Etat Antonio Hodgers. Les travaux de la patinoire du Trèfle-Blanc doivent démarrer au début de l'année prochaine.
La nouvelle infrastructure pourra accueillir 8500 spectateurs. Elle comprendra une surface de glace principale, où se dérouleront les rencontres de hockey, et une surface annexe, située sous l'esplanade du bâtiment, qui permettra aux apprentis hockeyeurs de s'entraîner et au public et aux écoles de profiter des joies de la glisse.
Le montant initial prévu pour la construction de la seule patinoire était de 167 millions de francs, a rappelé M. Hodgers. Le Conseil d'Etat a transmis mercredi au Grand Conseil un projet de loi ouvrant un crédit supplémentaire de 5,35 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le DCS se réorganise pour séparer la culture du sport
Après trois départs à la tête de l'office cantonal de la culture et du sport entre 2019 et 2024, le Département genevois de la cohésion sociale (DCS) se réorganise. L'office est remplacé par trois services cantonaux autonomes - de la culture, du sport et de l'art contemporain.
Afin d'officialiser la dissolution de l'office cantonal de la culture et du sport, créé en 2016, le Conseil d'Etat a adopté mercredi une modification du règlement sur l'organisation de l'administration cantonale, a-t-il annoncé. La nouvelle organisation du DCS se veut plus agile et adaptée aux défis actuels et futurs.
En juin, le DCS avait lancé une profonde refonte afin de rendre ces services plus autonomes au vu des spécificités de chaque domaine. Cette réorganisation vise à se rapprocher des acteurs culturels et sportifs, tout en améliorant le pilotage de ces politiques publiques.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
50 millions pour des projets d'infrastructures écologiques
Le Conseil d'Etat genevois veut investir 50 millions de francs jusqu'en 2030 dans des infrastructures écologiques. Ce montant doit servir à financer "plein de petites mesures" afin de consolider les apports de la nature et de la biodiversité pour la population. Le crédit doit encore être soumis au Grand Conseil.
Par infrastructures écologiques, on entend par exemple la restauration de réservoirs d'eau, la création de points de passage sous les routes pour la faune, la lutte contre les espèces invasives ou encore la modification des éclairages, a expliqué mercredi devant les médias le conseiller d'Etat Antonio Hodgers, en charge du Département du territoire.
"Nous voulons travailler à l'échelle du canton, des communes et des privés", a ajouté le magistrat. Les prestations de la nature sont de toutes sortes. Une nature préservée à des répercussions sur la santé humaine, la qualité de l'air, celle de l'eau ou la pollinisation des plantes.
Genève n'est pas un "canton ville", a rappelé M. Hodgers. Seulement 30% du territoire est urbanisé, le reste est composé de terrains agricoles, de plans et de cours d'eau et de forêts. La politique du gouvernement vise à garder cet équilibre et à ne pas "grignoter sur la zone agricole" dans le futur.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Le Conseil d'Etat annule une décision du délibératif d'Onex
Le Conseil d'Etat genevois a annulé une décision du délibératif d'Onex autorisant la maire à exercer son droit de préemption pour acheter une parcelle destinée à des activités commerciales pour 1,96 million de francs. Cette décision a fait l'objet d'un référendum de la droite, qui a abouti.
Le Conseil d'Etat est arrivé à la conclusion que le droit de préemption tel qu'exercé par la commune d'Onex ne remplissait pas les conditions posées par la loi sur le logement et la protection des locataires, a-t-il indiqué mercredi à l'issue de sa séance hebdomadaire. A moins d'un éventuel recours, la décision ne sera pas soumise au vote populaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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